Il a été développé davantage dans les années 1960 par le Brigadier Gauthier. Il a planté des groupes d’arbres ornementaux en bordure des parcelles forestières.
La ville d’Esneux a encore enrichi cette collection depuis 1985 en y ajoutant une grande variété de nouvelles essences.
Il peut y découvrir des cerisiers, des érables, un chêne à 6 troncs, des hêtres, des séquoias.
D’autres espèces y ont été ajoutées par le garde-forestier de la DNF Monsieur Charlier.
Cet arboretum de 6 ha comporte de nombreuses espèces végétales d’essence variée tels que des feuillus et des conifères d’Europe, d’Asie et d’Amérique.
On y trouve également un séquoia de Californie qui a été planté en 1916.
Cet arbre se situe au pied de la Croix Saint-Christophe.
Ces arbres gigantesques sont disséminés dans le parc du Domaine du Rond-Chêne, dont un à rue le long des barrières.
Ce chêne planté le 10 août 1930 avec la stèle qui l’accompagne commémorent l’indépendance de la Belgique.
Il fut planté par V. Lambion et H. Longueville, délégués de la commune.
Majestueux, à l’angle de la lisière de Lawé.
Une plante mythique pour les botanistes. Mythique car si beaucoup de choses ont été décrites à son sujet, en réalité on ne sait toujours pas précisément s’il s’agit d’une espèce à part entière, d’une
Séquoia géant dans le parc communal à Hamoir.
La circonférence du tronc de l’arbre est 3,55 m mesurée à une hauteur de 1,50 m.
La hauteur est de 35 m.
Il s’agit d’un lieu où les magistrats locaux rendaient justice. Cette place de la justice était déjà signalée au 11è siècle.
Ce tilleul classé en 1941 est aussi appelé Vî Tiyou.
Il a une circonférence de 5,07 m à 1,5 m du sol, une hauteur de 20 m et est classé en 20è position en Belgique (devant l’arbre de Dalhem).
Cet arbre séculaire a été classé par arrêté royal le 5/11/1965.
Ce tilleul fait partie des arbres ayant une croyance certaine : un arbre à clous.
Tilleul dont la ramure composée de 5 grosses branches forme un vase. Le tronc de l'arbre est complètement creux depuis 1911.
Tilleul plus que centenaire le long de la voirie menant de Filot à Xhoris.
Chêne tricentenaire qui marquait jadis la limite des territoires des Principautés de Liège et de Stavelot.
Actuellement, entre les communes d’Aywaille et de Stoumont.