Les habitants les plus pauvres de Torgny venaient s’y recueuillir pour l’angélus.
La croix a été vendue en 1936 par le curé de Torgny, pour payer les frais du tricentenaire de la chapelle de l’ermitage de Torgny.
Elle fut retrouvée des années plus tard chez un carrier de Saint-Mard puis remise à son emplacement d’origine.
Son nom provient des terrains communaux laissés en occupation aux habitants du village.
Une famille y a recueilli un enfant qui avait été abandonné au pied de la croix. C’est pourquoi elle fut également appelée la "Croix Jamin-Poupart", du nom de cette famille.
Ce calvaire élevé en 1832 à l’initiative de Jean-Baptiste Lhommel, a servi plus tard de sépulture à deux artilleurs francais, tués entre Couvreux et Montquintin durant la 1è guerre mondiale. La croix de bois a été remplacée en 1978.
Ce calvaire du 18è siècle a vraisemblablement été érigé par Etienne Danloup et Odile Genin, la fille du meunier de Radru, en remerciement d’une grâce accomplie : l’arrivée d’un enfant. C’étaient des tenanciers de cabaret au village.
Croix érigée en mémoire à la mission prêchée en 1935.
Ces manifestations et processions étaient destinées à attirer les fidèles par leur côté grandiose.
Cette croix fut érigée en 1746 sous deux tilleuls remarquables, en mémoire de F. Demasep.
Première croix menant à l’ermitage, elle était déjà mentionnée sur la carte Ferraris datant de 1771.
Une petite croix en bois posée sur un socle en béton, proche de la Chapelle du Bonlieu.