CC BY-SA 3.0 YexxEgalement appelé Piedra del Peñol, ce monolithe de 220 m de haut et âgé de 70 millions d’années, est situé à 2 135 m d’altitude. Il est accessible par un escalier de 740 marches qui monte en zigzags à son sommet.
Cette cascatelle s’écoule sur une roche de tuf, très poreuse et formée de concrétion calcaire. Cette appelation provient de l’ancien français créon signifiant craie (calcaire).
La légende raconte que ce rocher vient boire dans l’Ourthe lors des nuits de pleine lune. Son origine est due au reflets projetés dans la rivière par le sommet du pic.
CC BY-SA 3.0 Michel wal Il s’agit de deux énormes pierres polies par les eaux.
L’une d’elle est en quartz rose et l’autre en grès, de forme trapézoïdale.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne Ce rocher composé de schistes est à la base d’une légende locale.
CC BY-SA 4.0 Bernard Gagnon Ce canyon profond d’origine tectonique et fluviale a été déclarée Patrimoine Culturel et Naturel de l’Humanité en 2003 par l’UNESCO. Autour de celui-ci, on découvre des villages qui abritent des vestiges précolombiens et coloniaux.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne Un amas d’énormes blocs de poudingue, une sorte de béton naturel qui s’est déposé le long de la ligne côtière il y a 500 millions d’années, lorsque les Ardennes étaient baignées par une mer préhistorique, dans le cadre de la dérive des co
Ce rocher surplombe la confluence de l’Our avec la Lesse.
Une légende locale raconte que l’on y jetait les vieux chevaux dans le précipice.
Ce rocher chaotique présente un calcaire très sculpté et parsemé de nombreux trous. Il mesure 20 à 30 m et à une inclinaison verticale à surplombant.
Public Domain Vberger Cette falaise calcaire est située à 200 m d’altitude et à environ 100 m au-dessus de l’Ourthe.
La hauteur des différents secteurs rocheux varie de 30 à 35 m.
CC0 Romaine Ce rocher situé à 280 m d’altitude a une hauteur d’environ 15 m. C’est un vestige du premier rivage marin formé de quartzites et des schistes.
Une paroi rocheuse remarquable au sud-est du village.
Un rocher situé à l’ouest du village, juste avant la frontière franco-belge.
Cette roche surplombe la Semois sur son flanc est et en rive gauche. Elle est à l’origine d’une légende locale.
La légende raconte qu’au pied de cette roche s’ouvre un trou et qu’un ermite l’aurait occupé. Il s’y serait livré à son inquiétante et horrible passion : l’étranglement de vierges.
Roche dont un Lancaster fut le témoin de son atterrissage catastrophique la nuit du 30 au 31 mars 1944.
Une stèle est élevée un peu plus en avant.
CC BY-SA 4.0 Trougnouf (Benoit Brummer) Un rocher en rive droite de la Semois. Pinco proviendrait de pennos signifiant "tête", et par extension "hauteur".
Il s’agit de deux monolithes de calcaire hauts de 2 à 5 m dont l’un d’entre eux a véritablement la forme d’une cour. D’après la légende, une méchante sorcière immolait les enfants sur ce rocher, d’ou la sinistre dénomination.
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