Il s’agit d’un centre d’interprétation de la rivière, de découverte et sensibilisation aux milieux aquatiques.
Ce château étale d’imposantes ruines, témoignage de l’architecture médiévale militaire, comportant de nombreux vestiges d’époque.
Des tables de pique-nique en retrait de la N876 qui traverse le hameau d’Eveux
Promenade dans une ambiance rurale aux confins méridionaux de la commune d’Aywaille, elle débute à la chapelle Sainte-Anne, petit sanctuaire caché dans les bois au sud du massif du Mahousseux.
On gagne ensuite les essarts qui s’ouvrent en direction d’Ernonheid. Là, on y rencontre les hameaux de La Levée et de Faweux, avec son château-ferme où règne le calme de la campagne aqualienne.
Bref, une promenade bien reposante, qui s’articule autour du Ruisseau du Pouhon.
Depuis le joli village de Mormont qui surplombe l’Aisne sur sa rive droite, cette balade s’engage dans les Baudrissarts, un bois qui s’étend depuis Erezée.
Nous bifurquons alors soudainement vers un village tranquille proche de sa commune : Clerheid.
L’itinéraire nous mène ensuite dans le vaste Bois du Pays avant de redescendre vers la Vallée de l’Amante, un affluent de l’Aisne qui la rejoint en contrebas de Mormont.
Avant d’atteindre cette confluence, nous remontons vers le village et notre point de départ.
Cette balade vous invite à une incursion sur les hauteurs de l’Ourthe au sud de Hotton, que vous pourrez admirer d’une tour-belvédère avant d’atteindre le premier kilomètre.
Ensuite, immanquables, les grottes de Hotton valent la visite : des concrétions calcaires magnifiques vous y attendent !
Mais ce n’est pas tout. Un peu plus loin, vous pourrez découvrir la Réserve Naturelle de l’Alouette. Il s’agit d’une ancienne carrière qui a été exploitée entre 1899 et les années 1960. On y extrayait du grès et du calcaire, très présents dans toute la région de la Calestienne. Ces matériaux ont servi pour construire des maisons en moellons mais ont également servi de gravier pour construire des routes.
Il y subsiste des vestiges industriels.
L’itinéraire poursuit son cours par le bois pour réaboutir à Hotton par le sud-ouest et la N86 Hotton-Marche.
Une table de pique-nique au rond-point de la Rue Haute, près de la petite voiture du tram de l’ancienne ligne vicinale.
Une table de pique-nique le long du Ravel.
Une table de pique-nique le long du Ravel proche du rocher surplombant l’Ourthe.
Une table de pique-nique au cœur du hameau situé le long de l’Estinale.
Toujours au cœur de la Calestienne, cette longue bande géologique calcaire traversant l’Ardenne, les abords de l’Ourthe nous réserve bien des surprises !
Entre grottes, rochers, chantoirs et résurgences de ruisseaux, ces zones habitées depuis la nuit des temps nous gratifient de leurs richesses naturelles, historiques et paysagères.
La balade pousse jusqu’aux villages de Werpin et de Hampteau, avant de revenir sur Hotton.
Cette ferme en moellons de grès et calcaire datant principalement du 18è siècle a été acquise par la Province de Liège et est à présent un centre récréatif.
Une table de pique-nique en pleine nature, jouxtant la croix.
Une table de pique-nique proche de la salle des fête du village et de la ligne du tramway touristique de l’Aisne.
Ce musée est établi dans un hôtel de maître datant du début du 20è siècle.
Il possède une collection de plus de 1000 jouets datant de la fin du 19è aux années 50.
Une aire de barbecue assez vaste avec plusieurs tables de pique-nique le long du Ruisseau de l’Ai-l’Oiseau.
Le Rocher de la Cathédrale, le Rocher de Nandouire, la Vau aux Corneilles... Voilà tous noms qui en disent long sur la pente très abrupte qui sépare les hauteurs de Sy et l’Ourthe.
Mais rassurez-vous, il ne s’agit pas d’escalade, quoique bien des sportifs de la pratique viennent s’y essayer ici, mais bien d’une balade sur les balcons surplombants ces rochers, qui offrent bien entendu de somptueux panoramas sur la rivière.
Attention toutefois de bien rester sur les sentiers. Si ces derniers sont sans aucun danger, la falaise reste proche et parfois très abrupte.
Une fois quitté la zone, l’itinéraire se dirige vers la Croix du Curé. Impressionnante avec son crâne gravé et son histoire liée, surtout dans un bois où règne une certaine pénombre.
Ensuite le paysage s’ouvre l’espace d’un moment pour découvrir le beau Château de Lassus un peu en amont de Hamoir.
Puis il revient au point de départ en longeant l’Ourthe, cette fois en contrebas de nouvelles crêtes rocheuses. On en a décidément plein la vue, à Sy ! Si ! Si !
L’extrême est de la commune de Durbuy réserve encore de belles surprises, comme ce village perché sur les hauteurs de l’Aisne : Villers-Sainte-Gertrude.
Ce village assez dynamique attire pas mal de touristes, non seulement pour son domaine avec un grand parc ; en effet, celui-ci comporte plusieurs gîtes d’étape autour de la Ferme-Château, mais aussi pour son très bel environnement boisé d’une part et agricole de l’autre. Bref, une variété de paysages à la fois intimistes ou panoramiques.
C’est cet environnement très agréable que nous vous invitons à côtoyer, en battant la campagne jusqu’au village d’Ozo et son menhir et en flirtant avec un affluent de l’Aisne bien pittoresque : le Ruisseau de Pont-le-Prêtre.
2 tables de pique-nique situées dans un parking un peu plus au sud que le Hotton War Cemetery.
Une table de pique-nique le long du Ravel en contrebas du Chemin touristique de Durbuy.
Plusieurs tables de pique-nique accessibles dans le domaine du château de Villers-Sainte-Gertrude.
Depuis la célèbre et pittoresque plus petite ville du monde, le but de cette balade est de flâner le long de l’Ourthe sur le Ravel en direction de Barvaux, puis de remonter via le village de Bohon, sur les hauteurs de la petite ville afin de pouvoir l’admirer d’en haut et enfin d’y redescendre pour explorer ses belles ruelles pavées.
Au passage, ne manquez pas d’admirer l’Anticlinal de Durbuy (ou Rocher d’Omalius), un rocher qui d’un point de vue géologique est assez exceptionnel, celui-ci ayant la particularité d’être en forme de U inversé, grâce à une sédimentation marine qui s’est faite progressivement au gré de la dérive des continents, et datant d’environ 300 millions d’années.
Ce hameau en cul-de-sac caché à l’écart des grandes voies de communication est une excellente opportunité de vivre l’Ardenne dans ce qu’elle a de plus typique.
Les âmes sensibles à ce caractère y percevront cette magie dont les aspects visibles sont : une nature omniprésente, entourée de vastes forêts, des fermettes en moellons qui font remonter dans le temps au 19è siècle et ce dans un cadre paisible et à l’écart de la circulation.
Cette localité est divisée en deux petites entités contiguës : Grande Hoursinne et Petite Hoursinne dont la limite entre les deux est matérialisée par une petite chapelle.
Elle est entourée d’un massif forestier assez important en superficie qui s’étend jusqu’aux confins de la commune d’Erezée et même au-delà sur celle de Manhay. Voici une bonne occasion de le découvrir.
Assez giboyeux, les essences d’arbres y sont assez variées, on a parfois l’impression de se promener dans un parc.
Ensuite, on revient tout au fond de la petite route du côté de Petite Hoursinne et on descend jusqu’au Ruisseau de Hoursinne, un petit affluent de l’Aisne avant de remonter au point de départ.
Une balade bien agréable au large du village de Harre, aménagée depuis peu, autour du Château et du Moulin de Harre dans le très beau Bois de Harre. Elle s’étend sur les hauteurs septentrionales du Ruisseau de l’Ai-l’Oiseau, un petit affluent de l’Aisne.
Le Pont des Soupirs d’Erezée n’est certes pas aussi touristique que celui de Venise mais Erezée possède le sien, avec un charme bien différent mais aussi présent !
Il n’est peut-être pas aussi romantique que celui de Venise mais enjambant l’Estinale, un sous affluent de l’Aisne, il nous emmène dans un très beau coin typiquement ardennais, vers le village de Clerheid situé à l’orée d’une grande forêt : le Bois du Pays.
Autour de ce village, on peut découvrir de magnifiques paysages !
La balade reprend ensuite le cap d’Erezée. On descend dans la vallée de l’Estinale avant de gravir le dernier croupet qui mène à notre point de départ, perché sur les hauteurs du petit affluent de l’Aisne.
Pour les nostalgiques des anciennes photos de villages, qui déplorent la détérioration progressive de leur charme par une certaine forme de modernité, venez vite ici à Ferrières ! Ce village a su garder en de nombreux endroits un caractère particulièrement authentique, bien aidé par sa position à l’écart de la voie principale située à un kilomètre de la petite place arborée.
Il est rare de trouver autant de ruelles avec des maisons qui recèlent un tel caractère. Les habitants, par leurs aménagements, parfois dans certains détails, démontrent leur attachement à leur village si charmant.
Pour encore y ajouter, un nombre de sentiers pittoresques plus élevés que la moyenne, soit à travers champs, soit entre deux haies, soit encore constitués de petits escaliers, jalonnent les environs campagnards du village. De surcroît, ils sont rehaussés par une multitude d’anciens petits panneaux toponymiques, que l’on aimerait voir fleurir partout ailleurs, tant cela donne de la convivialité lorsque l’on s’y promène.
La variété des paysages y est pour beaucoup : de champs en bosquets, de prés en forêt, le tout se déroule dans des petits endroits arborés où serpentent ces chemins et sentiers.
Ici, on va prendre un peu de hauteur afin d’admirer le village d’en-haut : le Nokar. Un point de vue y cotoie une zone de barbecue.
On revient alors vers le village en passant par les hameaux de Ferrières aux connotations elles aussi bien pittoresques : Le Houpet, Lognoul et la Fontaine. Toujours parmi les maisons disséminées dans la campagne et les bosquets qui les entourent.
Une table de pique-nique attenante à la chapelle principale du hameau, dans un petit parc aménagé avec quelques bancs. Endroit calme.
Un escalier en colimaçon mène à une vue panoramique sur Hotton et Melreux.
Ce centre d’exposition présente 50 bioramas en 7 thèmes pédagogiques notamment sur la campagne, le bois, le bord de l’eau, la migration, la gestion du patrimoine naturel, l’incidence humaine, flore et faune, etc.
Une table de pique-nique sous les tilleuls, en sortie du village.
Un barbecue couvert avec plusieurs tables de pique-nique dans un parc situé le long de la voirie bordant la Réserve Naturelle de la Picherotte.
Cette piscine tropicale couverte, dont l’eau avoisine les 30°, est agrémentée d’un sauna et d’un jacuzzi.
Une plaine de jeux dans le vaste parc arboré du domaine.
Une table de pique-nique à l’entrée ouest du village, le long d’un chemin empierré.
Cette table de pique-nique est située au cœur du hameau, sur une place arborée.
Une petite plaine de jeu en recul du village.
Cette attraction consiste en un labyrinthe géant formé par des plants de maïs.
Le thème change chaque année et des animateurs-acteurs jalonnent le parcours en fonction de celui-ci.
Cette aire de barbecue couverte du Syndicat d’Initiative de Harzé est utilisable SUR RÉSERVATION.
Il est nécessaire d’aller chercher et de ramener les grilles.
Une caution peut être demandée pour leur prêt.
Cette tour offre un très beau panorama sur la ville. Elle est accessible en parallèle avec le petit train touristique de la ville.
Plusieurs tables de pique-nique sous abri au niveau du bâtiment de la vitrine muséale du tramway touristique de l’Aisne. Il a été inauguré le 14 mai 2022.
Voici une balade riche en éléments tant naturels que culturels mais pas forcément facile car les reliefs autour de l’Ourthe et de son confluent, la Lembrée, sont relativement bien marqués.
C’est souvent synonyme de beaux panoramas et rien que pour cela, moyennement un brin de sportivité dans les côtes, elle en vaut certainement la peine.
D’autant qu’elle démarre au très attractif Domaine de Palogne, qui offre pas mal d’infrastructures touristiques et qui justifie une journée entière si l’on souhaite s’adonner aux activités qu’il propose : brasserie, kayak, mini-golf, sans oublier bien entendu le Château-fort de Logne, l’objet principal de cette balade !
Après l’avoir rejoint après un petit kilomètre, on se dirige vers le village de Vieuxville par la rive gauche de la Lembrée, que l’on traverse à Vieuxville.
Ensuite, retour au point de départ par une zone assez boisée, cette fois sur les hauteurs de la rive droite de la Lembrée.
Cette plaine jouxte le parc communal et les bureaux de l'administration communale
Une plaine de jeux sur un îlot formé par deux bras de l’Ourthe. Sortie possible vers la Rue Simon par une passerelle.
Les hauteurs méridionales de la confluence Ourthe-Amblève recèlent quelques villages très agréables à traverser : Aisne, Villers-Sainte-Gertrude, Izier, Ferrières, la Rouge Minière et Awan, le tout dans un bel équilibre de champs, de prés et de bois.
Mais bon, le relief est relativement accidenté, néanmoins sans raideurs excessives, et la longueur est là : 25 km, quand même ! Ce qui en fait une balade plus sportive. Le principe de gare à gare vous permet de garer la voiture, aller en train au point de départ et revenir vers l’auto après une bonne dégustation dans cette petite ville touristique très gastronomique qu’est Aywaille !
Cette balade permet de prendre un peu de hauteur pour admirer une très belle vue panoramique de la ville.
Elle redescend par le Bois de Chapli, traverse la route en provenance de Petithan. Elle passe ensuite en rive gauche de l’Ourthe puis la longe par le Jardin des Topiaires pour revenir vers le centre, après avoir traversé le Pont de Durbuy.
Musée illustrant la vie quotidienne et les pratiques funéraires des sociétés néolithiques d’agriculteurs éleveurs, bâtisseurs des mégalithes en Europe occidentale.
Depuis ce lieu de ravitaillement en pleine nature, situé sur la petite route qui joint Burnontige à Ferrières, voici l’occasion de digérer son bon repas en faisant le tour d’un bosquet appelé "Le Bois de Lige aux Sarts".
Une zone de barbecue avec des tables de pique-nique.