Ce musée mené par Jean-Claude Noben retrace l’histoire de la mine et de la métallurgie dans le bassin lorrain qui a connu 100 ans durant, une prospérité grâce à la production industrie de fonte.
Une table de pique-nique à la fin du Sentier des Songes, un sentier didactique qui longe un petit moment le Rabais près de sa source.
Ce musée à l’architecture moderne semi-enterré, dessiné par le belgo-polonais Constantin Brodzki et son associé scénographe Corneille Hannoset, influencé par l’archéologue Louis Lacoste, abrite des découvertes archéologiques.
Une table de pique-nique sur le Ravel de l’ancienne ligne 155, entre Ethe et Virton, le long du Ton.
Une table de pique-nique proche de l’intersection de la Rue du Château-Fort et du chemin vicinal vers Couvreux, à l’abri de la circulation, dans le chemin en question.
Cette table de pique-nique se situe sur l’ancienne voie ferrée reliant Signeulx et Gorcy. On y rend hommage à la petite cabane d’Emile Gillard et Fernand Depiesse qui proposait un petit arrêt convivial le long du tracé.
Cette incursion dans le département de Meuse, en Lorraine gaumaise, va vous permettre de découvrir cet ancien haut lieu de pèlerinage datant du 12è siècle : Avioth.
Sa basilique, au style gothique flamboyant, vaut vraiment le détour. Et c’est le moment de découvrir aussi ses environs, sur les hauteurs de la rive droite de la Thonne : Thonne-le-Thil et Breux, des villages déjà cités au 12è siècle également.
Cette table de pique-nique sous toit est située en plein milieu du bois à un carrefour de chemins forestiers.
Une table de pique-nique à l’est du village, à l’entrée du bois.
Le Bois de Bonlieu, au nord de Ethe, est un lieu empreint de légendes gaumaises. Parmi celles-ci, la légende du Trou des Fées nous les fait apparaître comme de petites coquines toujours prêtes à faire une bonne blague !
En partant à leur rencontre, faites bien attention de ne pas vous faire attraper ! Leur grotte se trouve à la fin de cet itinéraire non sans être passé par l’ancienne gare de Buzenol et par la Réserve naturelle de Laclaireau, à travers des chemins très majoritairement boisés.
Une table de pique-nique abritée, en plein bois, à une centaine de mètres de la Chapelle du Bonlieu.
Ce carrefour a été renommé en l’honneur de Joseph Jordant, garde forestier.
Il était membre de l’armée secrète. Fait prisonnier durant la guerre, il est décédé le 28 décembre à Buchenwald.
Depuis ce village très traditionnel isolé dans les prés de Gaume, cette balade vous invite aux confins de la Belgique, en passant par un autre village typiquement gaumais : Couvreux.
Les chemins qui suivent sont situés pile poil sur la frontière, laissant entrevoir de part et d’autre de larges paysages, les uns vers la France, les autres vers la Belgique.
La boucle est bouclée 1 km avant le retour à Montquintin, pour éviter au maximum l’asphalte et la circulation, en reprenant le chemin de terre reliant Couvreux et Montquintin.
Voilà une balade qui ravira essentiellement les amateurs d’asphalte. Les baroudeurs des bois n’apprécieront pas ce type de tracé par contre ceux qui n’aiment pas salir leurs baskets seront ravis !
On peut donc dire que c’est propre et en plus, la légère déclivité permet d’avaler aisément les kilomètres.
Et l’environnement n’est pas pour autant désagréable : la première partie se déroule essentiellement à travers bois. On y rencontre l’ancienne gare de Buzenol, la Réserve naturelle de Laclaireau ainsi que de nombreuses zones de pique-nique. Tandis que la seconde partie, après avoir traversé le village de Ethe, se déroule le long du Ton, qui nous ramène à Virton, après environ 14 km.
Pour éviter de prendre deux voitures, un bus relie Virton à la Croix-Rouge ou inversement.
Une table de pique-nique sous abri le long du Ravel de l’ancienne ligne 155.
Une aire de barbecue en pleine forêt, dans la vallée du Radru, entre Torgny et Lamorteau.
Cette ferme tricellulaire (corps de logis, grange, étable) en grès calcaire et chaulée, est liée à l’ancien château féodal. Elle se caractérise par son toit en pente légère recouvert de tuiles "canal" à la romaine.
Cette table de pique-nique se situe sur le Ravel de l’ancienne ligne 155, à la lisière nord du village de Ethe.
Cette table de pique-nique couverte est située en plein bois au croisement du sentier des songes et du chemin en direction de la Chapelle du Bon Lieu.
Cette table de pique-nique se situe sur le Ravel de l’ancienne ligne 155, entre Ethe et Virton, le long du Ton.
Ce bâtiment datant de 1839 a été réhabilité afin d’accueillir des expositions sur deux niveaux.
Ce n’est pas spécialement que cette balade familiale en plein cœur de la Gaume soit particulièrement ardue ou pentue. Elle est juste un peu plus longue, du fait de ses près de 12 km.
Mais le village de Saint-Léger est parsemé de curiosités à gauche et à droite et il eut été dommage de passer à côté, à la fois, de l’Ermitage du Wachet, de son Ravel, du Fourneau David ou encore de la source pétrifiante (Cron occidental). Ce tour permet donc de passer par chacun de ses coins et recoins !
Une table de pique-nique couverte, en face de l’ancienne gare de Buzenol.
Cette aire de pique-nique comportant plusieurs tables est située juste à l’entrée de la réserve naturelle Raymond Mayné.
Le Rabais est un petit affluent du Ton. Non loin de leur confluence, un complexe touristique a été édifié. La balade commence aux abords du complexe sportif pour partir à la rencontre des Zigomars, le long du ruisseau.
La vallée de ces lutins qui protègent les fées, dont on peut découvrir les grottes au cours d’une autre balade, est jalonnée par un sentier le long duquel on peut admirer des œuvres artistiques et poétiques, notamment des sculptures en bois originales.
Après la visite, le tracé revient vers le point de départ par le Bois de Virton, un peu plus au sud.
Ferme datant de 1846.
Elle a été reconvertie grâce à un collectif qui promeut à la fois la culture et l’agriculture, grâce à sa position privilégiée en pleine nature.
Un théâtre d’une centaine de pl
Ce centre a été créé en 1984. Au départ nomade selon une volonté politique, il est passé par Jamoigne avant de s’implanter à Buzenol. Il propose la création d’œuvres monumentales et environnementales temporaires.
Une table de pique-nique sur le Ravel de l’ancienne ligne 155, entre Ethe et Virton, le long du Ton.
Une balade qui vous emmène dans la petite Provence belge, dans le village le plus méridional du pays, à l’abri la colline qui lui confère un microclimat digne du sud !
On pénètre sur cette colline en faisant un crochet par le village de Lamorteau puis on revient par le bois, ce qui permet d’organiser un petit barbecue à mi-chemin dans une aire prévue à cet effet, avant de regagner la ligne frontalière franco-belge, que l’on longe vers l’ouest jusqu’à Torgny !
Même s’il ne s’agit pas d’une boucle, Torgny, le village le plus méridional de Belgique, qui pousse sa ressemblance avec la Provence jusqu’à posséder ses propres vignobles grâce à son microclimat, est facilement accessible en bus depuis Virton, point de chute de cette balade d’un peu plus de 10 km.
Entre Buzenol et Ethe se trouve un site archéologique qui démontre que l’activité humaine fut autrefois très importante à cet endroit.
La balade démarre d’un parking situé près d’un grand étang. Il alimentait d’anciennes forges.
Depuis celui-ci, on monte directement dans le bois en direction du Musée lapidaire de Montauban, un espace à l’architecture remarquable, parfaitement intégré dans la forêt.
Puis on fait le tour du site archéologique, qui révèle une vaste forteresse gallo-romaine.
On fait ensuite un tour dans la forêt avant de revenir dans la vallée du Gros Ruisseau, un sous-affluent du Ton, qui traverse le village d’Ethe plus au sud.
Après avoir rejoint la route et suivi celle-ci sur une cinquantaine de mètres, on repasse derrière les ruines des forges de Montauban où se trouve un musée : le Centre d’Art contemporain du Luxembourg belge, avant de revenir juste après au point de départ.
Une table de pique-nique à l’entrée du bois, sur la N87 qui relie Virton à Etalle en passant par la Croix-Rouge.
Toute cette rando se déroule dans cette belle région située aux confins méridionaux du pays. Elle part du cœur de la Lorraine belge, à Virton puis longe la vaste forêt gaumaise qui forme un très large bandeau forestier entre Florenville et Arlon. On y découvre les villages de Robelmont, Meix-devant-Virton et Gérouville, avant de pénétrer dans les profondeurs du Grand Bois.
Au nord de la forêt, on retrouve la civilisation avec les villages de Pin et de Izel.
La suite se déroule dans des paysages beaucoup plus ouverts sur les hauteurs de la rive gauche de la Semois, pour finalement atteindre Florenville après un périple de près de 33 km.
Si vous vous attendiez à un énorme tilleul majestueux... ben c’est râpé !
Mais normalement, vous ne devriez malgré tout pas être trop déçu.
Car de ce tilleul, il ne reste que le tronc. Et ce depuis belle lurette puisque l’arbre est tombé en 1877 ! Il a quand même tenu le coup plus de 6 siècles, ce qui n’est déjà pas mal !
" Serait-il dans l’arbre ? Ou "dans" l’arbre ? "
Mais ce tronc était tellement énorme (14 m de diamètre) que les habitants de Gérouville ont pu le transformer en une aubette dans laquelle on peut carrément rentrer et s’asseoir.
Donc voilà. Cette curiosité locale est un prétexte pour faire un tour bien agréable dans la campagne gaumaise environnante, mélange de prés et de bosquets, qui fait environ 6 km et sans dénivellation particulière.
Une balade assez plane qui depuis le hameau de Cussigny, qui se situe dans le prolongement de la commune française de Gorcy, va à la rencontre d’une zone naturelle marécageuse, qui s’étend entre la France (Gorcy) et la Belgique (Baranzy).
Ce musée a été établi par Edmond Fouss en 1939, après la restauration du Couvent des Récollets, construit en 1659.
Il évoque les divers aspects des activités humaines des générations passées.