CC BY 3.0 Jean-Pol GRANDMONTLe chasseur converti
Une ville touristique dynamique d’un peu plus de 5000 habitants, entourée de vastes forêts, dont certaines sont encore des possessions royales. Le tourisme cohabite avec l’exploitation forestière et les études agronomiques.
CC BY 3.0 Jean-Pol GRANDMONTCe palais abbatial est originaire du 7è siècle. De style classique français en pierres calcaires, les briques sont peintes. L’ensemble forme un U fermé par une grille.
Les colonnes ioniques en marbre reçoivent les arcades des trois avant-corps.
Les fenêtres de l’étages sont coiffées de frontons alternativement courbes et triangulaires.
Les façades latérales sont dotées de frontons triangulaires et chronogrammes mentionnant le nom de l’abbé bâtisseur : Célestin de Jong et date de construction (1729).
La façade supérieure est surmontée d’un fronton courbe qui porte la devise de l’abbé : "Amore non timore" : "Par l’amour et non par la crainte" et le millésime 1729, année de reconstruction de l’abbaye.
Propriété de l’Etat : siège des Archives du Royaume et des Services culturels de la Province de Luxembourg.
Jean-Pol GrandmontL’impressionnante crypte du 11è siècle
Cette basilique de style gothique flamboyant (16è) a été bâtie sur la place d’une crypte datant de 1064.
Le plan est en forme de croix latine.
Elle a une longueur de 81,50, une largeur de 30,50 m et mesure 65 m de hauteur.
Elle comporte 5 nefs, un déambulatoire et 13 chapelles rayonnantes.
A l’intérieur, les coûtes sont en brique.
Le cénotaphe est en marbre de Saint-Hubert.
Il y a également des stalles de 62 places décorées de 18
panneaux sculptés.
Le Maître autel est de style baroque.
Le trésor comprend des pièces très anciennes.
Préhistoire : avant -3000 (premières écritures)
Antiquité : -3000 à 476 (chute de l'empire romain d'occident)
Moyen-Age : 476 à 1453 (chute de l'empire romain d'orient)
Temps modernes : 1453 à 1789 (Révolution française)
Epoque contemporaine : 1789 à 1945 (Fin de la seconde guerre mondiale)
Histoire récente : 1945 à nos jours
Une crypte est construite à la place de la basilique.
La basilique est construite.
La façade est reconstruite selon l’aspect actuel.
Les stalles sont construites.
CC BY 2.5 Jean-Pol GRANDMONTLe temps d’une retraite...
Ce monastère construit en 1938 sur le site d’une ancienne ferme abrite une communauté de moniales bénédictines qui suivent la règle de Saint-Benoît. Il accueille hôtes, pèlerins et personnes en quête de retraite au calme.
Ce village aux nombreuses maisons en grès schisteux et toits à croupettes se situe dans une clairière de la très vaste Forêt de Freyr.
Un chemin de croix aux flambeaux y est organisé le vendredi précédant le dimanche des rameaux.
Une table de pique-nique au cœur du village.
Cette église paroissiale en briques et pierres de taille a été construite en 1865, sur base d’un édifice plus ancien datant de 1738.
Le vendredi soir précédant le dimanche des rameaux, un chemin de croix aux flambeaux a lieu dans le village.
Un bosquet jalonné de panneaux informatifs pour découvrir la forêt et ses secrets grâce à une fourmi.
CC BY-SA 3.0 L. MahinCette ancienne commune a été créée en 1839 sous le régime français en réunissant les villages de Journal et de Champlon.
CC BY 3.0 Jean-Pol GRANDMONTCette église néo-gothique en pierres et en briques a été édifiée en 1870. L’ameublement a été réalisé en 1874.
CC BY 3.0 Jean-Pol GRANDMONTLes environs de ce village d’environ 200 habitants, ancienne seigneurie foncière du 16è siècle appartenant à la famille de Ronchy, étaient déjà occupés lors de l’époque gallo-romaine, comme en attestent les sépultures qui y ont été découv
CC BY 3.0 Jean-Pol GRANDMONTCet édifice date de 1864.
Ce village situé sur le plateau surplombant la vallée du Bronze compte de nombreuses fermes en long datant du 19è siècle. On y trouve aussi plusieurs puits souvent dissimulés sous des dalles de schiste.
Cette maison en grès et pierre calcaire du 18è siècle, remaniée au 19è, se situe juste à côté de l’église.
Cette église a été construite en 1734.
La tour quant à elle, date de 1884.
Adossée à un puits du 19è.
Beausaint était déjà habité du temps des romains. Il était situé sur une voie romaine qui reliait Trèves à Bavay. Ceci est attesté par les vestiges d'une cinquantaine de tombes gallo-romaines.
En 132
Beausaint était déjà habité du temps des romains. Il était situé sur une voie romaine qui reliait Trèves à Bavay. Ceci est attesté par les vestiges d'une cinquantaine de tombes gallo-romaines.
En 1324 y fut érigé une seigneurie par Jean l'Aveugle, elle relevait du Comté de La Roche. Il y fit construire un château féodal.
Celui-ci fut brûlé dans la première moitié du 17è, lors d'une guerre avec les Pays-Bas. Le village, autrefois très étendu, fut détruit par le feu et par la peste.
Il subsiste de ce château qui fut par deux fois ravagé, une simple aile d'habitation.
Cette église de style néo-gothique, en moellons de grès schisteux et en pierre de taille calcaire, fut construite en 1891 (millésimée) selon les plans de l'architecte Verhas.
L'intérieur fut restauré
Cette église de style néo-gothique, en moellons de grès schisteux et en pierre de taille calcaire, fut construite en 1891 (millésimée) selon les plans de l'architecte Verhas.
L'intérieur fut restauré en 1975 par L.M Londot.
La pierre de taille englobe la tour à l'avant et se termine par le chœur aux pans coupés.
Le cimetière contient une petite chapelle funéraire de la famille de Halleux.
La croix en pierre calcaire est celle de Pierre Guissart qui était le châtelain et officier de la seigneurie de Beausaint, décédé en 1774.
A l'intérieur, les bancs de la nef datent du 18è.
Le Christ en bois peint date du début du 16è et les statues du 17è et du 19è.
Ce monument en pierre de 3.7 m de haut, décidé en novembre 1919, a été conçu par Eudore Hault, un artiste rochois.
Il a été complété en l’honneur des victimes de la seconde guerre mondiale.
Potale de la 2è moitié du 19è.
Elle est aussi appelé Trou des Nutons.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenneCette ville touristique très animée en saison, d’un peu plus de 4000 habitants, est un véritable écrin serti dans la vallée de l’Ourthe, en plein cœur des Ardennes belges.
Les ruines de son château féodal datant du 11è siècle dominent la ville et lui confèrent un caractère particulièrement pittoresque.
Une petite rue commerciale la traverse et attire pas mal de badauds.
Une zone d’activité économique a été créée sur le plateau de Vecmont afin de diversifier ses atouts.
Les grès de La Roche sont des poteries artisanales peintes avec du bleu de cobalt et vernissée au sel. Un musée leur est consacré dans la ville.
Cette tradition a été initiée par Henri Hoffman en 1836. La famille Kalb a poursuivi l’activité dès 1878.
Les activités y sont légion : nombreux circuits VTT et rando, restaurants gastronomiques, hôtels, kayak et hébergements de toutes sortes.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenneAttention au fantôme !
Ruines d’une forteresse imposante dont la structure médiévale est bien conservée. L’une des tours (Tour des Sarrasins) daterait de l’époque romaine.
La forteresse elle-même a été construite aux 11è et 12è siècle.
Une légende célèbre est liée à l’histoire de ce château : la légende de Berthe.
Un sire de La Roche voulait donner en mariage Berthe, sa fille unique au chevalier qui, au cours d’un tournoi sanglant, imposerait sa valeur.
Le Comte de Montaigu s’étant présenté, aucun autre candidat n’osa s’aligner.
Alors que la douce Berthe allait être confiée au Comte, un cavalier fit son entrée dans la cour, si chétif face au puissant comte que l’assemblée en fut émue. Prompt à esquiver les coups grâce à sa sveltesse, le petit chevalier finit par trancher la gorge de son ennemi. Berthe fut abandonnée à son mystérieux époux au seuil de la chambre nuptiale.
Le lendemain matin, le père de Berthe découvrit la chambre vide : deux corps écrasés gisaient au bord de l’Ourthe. C’étaient Berthe de La Roche et la Comtesse de Salm que le Comte de Montaigu avait bafouée en parjurant la foi qu’il lui avait promise.. Depuis, le château reste hanté par son fantôme qui sort chaque soir de juillet et août.
11ème et 12ème siècle Construction de la forteresse
12ème siècle La place forte assume un rôle stratégique dans la protection et le développement de la région.
1681 (10 août) Louis XIV prend le château. Les français réaménagent le logis.
1780 Joseph II abandonne la forteresse après l’avoir enseveli sous 3000 mètres cube de terre, afin de protéger les salles voûtées de l’artillerie. Le château, laissé à l’abandon, tombe en ruine.
Jean-Pol GrandmontCette église de style néo-gothique a été construite en 1900.
Elle fut endommagée en 1945 mais remise en état. Rare que pour être souligné : un fond musical accompagne en permanence.
De nombreux vitraux datant des années 1980 apportent à l’intérieur un beau bouquet de couleurs chaudes. Plusieurs statues, tableaux, retables méritent qu’on s’y attarde, notamment à droite et à gauche du chœur, des statues en bois de tilleul représentant la Vierge et Saint-Nicolas, parton de la paroisse.
Source : eglisesouvertes.be