Préhistoire : avant -3000 (premières écritures)
Antiquité : -3000 à 476 (chute de l'empire romain d'occident)
Moyen-Age : 476 à 1453 (chute de l'empire romain d'orient)
Temps modernes : 1453 à 1789 (Révolution française)
Epoque contemporaine : 1789 à 1945 (Fin de la seconde guerre mondiale)
Histoire récente : 1945 à nos jours
Un château est construit à cet emplacement par le bourgmestre de Chevetogne, Charles Delvaux de Fenffe.
Une loi française relative au contrat d’association entraîne la dissolution de centaines de congrégations religieuses. Les moines de l’abbaye Saint-Martin de Ligugé viennent trouver refuge à Chevetogne, après avoir été chassés de France.
Les moines de l’abbaye Saint-Martin quittent les lieux. Le château est loué à des particuliers avant de servir de refuge à des jésuites espagnols.
La communauté fondée par Dom Lambert Beauduin à Amay s’installe à Chevetogne car les bénédictins du prieuré d’Amay souhaitent disposer de bâtiments plus spacieux.
L’église byzantine est édifiée après deux années de construction, basée sur les principes de la tradition byzantine, selon laquelle une église doit offrir à travers son architecture et sa décoration intérieure un condensé du cosmos.
Le monastère héberge un centre œcuménique avec une bibliothèque œcuménique riche d’environ 150 000 volumes. On y conserve des icônes et d’autres pièces liturgiques provenant d’Orient et datant généralement du 9è au 11è siècle.
La première pierre de l’église latine est posée par Robert Runcie, l’archevêque de Cantorbéry, chef spirituel de la Communion anglicane ainsi que par le cardinal Godfried Danneels, archevêque de Malines et primat catholique de Belgique.