L’on raconte que c’est grâce à la fille de Charlemagne, la princesse Berthe, que l’église a pu être édifiée en 779.
Un raid normand la ravagea déjà en 881.
Elle acquit le titre de collégiale à la suite de l’arrivée de chanoines de Celles.
Elle fut fortifiée grâce à un mur d’enceinte et une épaisse tour carrée.
Elle fut mise à sac par Charles le Téméraire, duc de Bourgogne en 1467.
Elle fut incendiée le 10 août 1914 lors de la première guerre mondiale mais le chœur gothique de 1524 et les vitraux de l’abside furent sauvés.
Elle fut reconstruite selon les plans des architectes Edmond Jamar et Léon Habran en 1924. La chapelle contenant les reliques de Saint-Hadelin fut adk-jointe à ce moment.
Le chœur fut classé en 1935.
Cette chapelle en brique est fermée par une grille en fer forgé. Le toit est en ardoise et porte une croix à son sommet.
Sur la plaque, pn peut y lire :
"À LA MÉMOIRE DE
GERVAIS TOUSSAINT
MORT POUR LA PATRIE À SAINT-PIERRE
LEDEGHEM LE 9 OCTOBRE 1918 ÂGÉ DE 26 ANS
FAMILLE DEMOLLEIN-LECHANTEUR
1921"
Gare située sur l’ancienne ligne vicinale Liège - Barchon - Fourons-le-Comte.
Ce moulin a été construit vers 1800 pour moudre le grain. La roue à aujourd’hui disparu.
La toponymie de ce hameau de la commune de Dalhem, s’étalant le long d’une rue perpendiculaire à la Berwinne, signifie un lieu planté de chênes.
Mortroux est situé à la confluence de la Berwinne et du Ruisseau d’Asse. Le centre du village est très charmant, grâce à ses petites berges arborées.
Il est encore relevé par sa petite église, ses façades du 17è et 18è, et son monument aux morts, proprement aménagé.
Ses habitants se nomment les Mortrousiens.
Chaque année s’y déroule une fête le premier week-end de septembre, organisée par les groupirs depuis 30 ans.
Cette maison au cœur du village date de 1721.
Ce monument est dédié aux combattants morts durant la guerre 1914-1918.
Il a été remis à la commune en décembre 1920 par le "Comité du Monument". Une lampe du souvenir a été placée devant à la même époque.
Haute pompe en fonte du 19è blanchie et possédant un bec de sortie.
Le logis de cette ferme en quadrilatère, en moellons de grès truffés de calcaire, date de la fin du 17è siècle ou du début du 18è.
Magnifique point de vue sur la plaine hervienne.
Répartis autour du cloître au sud de l’église, ils furent ravagés par les troupes calvinistes en 1574 et relevés au début du 17è siècle. Puis pillés à nouveau en 1684 par les Français.
Cette abbaye implantée au coeur du Pays de Herve dans la Vallée de la Berwinne a été fondée vers l’an 1200 par des moines cisterciens, établis non loin de Maastricht.
Ce lieu-dit était, avant le 13è siècle, appelé le Val du diable.
Le lieu inculte et inhabité était en effet assez inhospitalier.
C’est aux alentours de l’an 1200 que des moines cisterciens, établis non loin de Maastricht, vivant d’une manière assez miséreuse, décidèrent d’y fonder une abbaye.
Ils y développèrent de nombreuses activités : une église, un couvent, une ferme, un moulin, une auberge.
Devenu lieu de spiritualité, le nom changea ainsi de diable en Dieu.
Aujourd’hui, on peut encore la visiter (sur réservation pour les groupes), y déguster des produits du terroir ou se ravitailler à la brasserie. Le moulin de l’abbaye peut aussi être visité. Sa roue à auges est remarquable.
Une bière est brassée dans l’enceinte même de l’abbaye.
C’est l’un des édifices religieux les plus remarquables de la région.
Cette abbaye datant du 13è siècle se situe au milieu d’un parc de 6 ha et comporte de nombreuses annexes.
Il s’agit d’un pôle touristique très prisé au coeur du Pays de Herve.
La boutique permet d’acheter des produits artisanaux : des fromages, des sirops, des bières.
La bibliothèque très riche contient des estampes abbatiales.
Elle comporte des portraits des abbés et des stucs remarquables.
On y découvre aussi un moulin à roue à auges et de rouages de bois abrités derrière les murs de moellons. Il s’agit d’un musée.
Ce moulin est dit "Tise le Moulin". Il a été cédé à l’abbaye par Renard de Bombaye en 1354.
Il est toujours en activité.
Le long du bief d’alimentation, le bâtiment actuel a été réédifié en moellons
Cette ancienne ferme en long, constituée d’un imposant ensemble de bâtiments datant des 17è et 18è siècles, a été restaurée récemment.
Cette petite chapelle en sous-bois, entourée de deux tilleuls, est dédiée à Saint-Roch.
On priait ce dernier pour prévenir de la peste et des maladies contagieuses.
Il était aussi imploré par les fermiers afin qu’il protège leur bétail et leur famille.
La croix en fer qui la surmonte a été restaurée en 2001 par l’association Qualité-Village de Sart-Jean-Sart.
A l’intérieur, on peut y voir une ancienne toile ainsi que des statues en bois.
Cette maison en briques et calcaire, de style mosan, précédée d’un jardinet, date de 1733.
Elle a été édifiée à partir d’une construction plus ancienne.
Cette église paroissiale de style gothique date de 1910, bâtie sur les plans de l’architecte Emile Deshayes originaire de Charneux-Herve.
Haut de 64 m, son clocher est visible de tous les recoins du
Cette église paroissiale de style gothique date de 1910, bâtie sur les plans de l’architecte Emile Deshayes originaire de Charneux-Herve.
Haut de 64 m, son clocher est visible de tous les recoins du Pays de Herve.
Les vitraux sont l’œuvre du maître-verrier Ganton-Defoin.
Le patron la paroisse est Saint-Hubert, représenté par une statue figurant dans la nef centrale et sculptée par Francis Jacobs de Hermée.
Les orgues quant à elles sont l’œuvre de Nagel-Nijs, de Kozen et datent de 1991.
L’ancien cimetière qui l’entoure, au milieu d’un parc, comporte certaines pierres funéraires qui remontent parfois au 16è siècle.
Exode urbain
Passage dans le plus long tunnel du genre : presque 150 m !
Cette ancienne ferme date du 18è.
Son statut de château fut rendu dans la seconde moitié du 19è par l'adjonction d'un donjon.
Il est situé au sein d'un parc de un hectare planté de nombreux arbres c
Maison datant de 1700