Cette ville située au cœur du Val de la Warche a été fondée vers 648 par Saint-Remacle, originaire d’Aquitaine et prieur de l’abbaye de Solignac.
En ce qui concerne sa naissance et sa jeunesse, l’histoire de Malmedy se confond en grande partie avec celle de son abbaye.
A l’intérieur, on y trouve une chaire à prêcher et 4 confessionnaux datant de 1770. Un autel en marbre de la Sainte-Vierge (1773), une châsse en bois de St-Quirin (1698), des bustes reliquaires en argent de St-Géréon et de ses compagnons (en soldats romains harnachés) et des vitraux datant de 1944.
Les visites ont lieu tous les jours à l’exception de certains jours de fête.
Elle est voulue et fondée par le célèbre polémiste Jean-Ignace (de) Rodrigue, colonais d’origine malmédienne.
Elle contient une relique du chef de Sainte-Emérentienne (3è siècle) et 2 monuments funéraires sculptés et armoriés, en schiste ardoisier de Recht.
Elle se visite tous les jours à l’exception de certains jours de fête.
Le cimetière a été béni le 17 mai 1795 par le vicaire Henri Bragard, commis à cette fin par son frère, le révérend curé Godefroid Bragard, et ce, après désaffectation du cimetière entourant l’ancienne église Saint-Géréon.
On peut y lire :
"Souvenir de la mission donnée par les révérends pères jésuites dans la paroisse de Malmedy du 11 au 23 décembre 1850"
"Cette croix, ainsi que son socle se trouvait primitivement à une centaine de mètres plus à l’est, dans l’enceinte de l’ancien cimetière du Parc".
Calvaire moderne "A Crucifix" lié à la légende de St-Remacle et érigé sur une source.
La légende dit que Saint Remacle, apôtre des Ardennes, renversa l’autel de Diane, qui se trouvait à cet endroit et purifia la fontaine qui lui était consacrée.
La Fontaine St-Remacle se trouve au pied de la croix (appelée avant le début du 20è Fontaine Saint-Quirin).
Un corps de garde se trouve au premier étage, de trace de départ de chemin de ronde et de meurtrières
Des expositions culturelles sont organisées par l’ ASBL Malmedy Folklore.
Il a servi de Landratur durant la guerre 14-18.
Les baies des fenêtres sont liaisonnées avec déharpements, celles des portes sont en plein cintre, inscrites dans le rectangle.
L’imposante toiture d’ardoise, à croupets en dessous d’un niveau à la Mansart.
La Correspondance des façades antérieure et postérieure avec enrichissements, côté rue (fronton et consoles à l’entrée, bardeaux d’appui en cordon unissent les cinq travées de chaque étage, lucarnes richement ornées au premier étage de la toiture).
Date inscrite sur le fronton de la porte d’entrée : 1724
Plusieurs auteurs affirment sans citer leurs sources que sa campagne de construction se situe entre 1714 et 1724.
On y découvre la chambre, la cuisine, ainsi qu’un mannequin de Madame Vinette, et des images pieuses.
Devant le monastère, trois monuments ont été érigés à la mémoire des militaires victimes des deux guerres mondiales.
Dans le jardinet jouxtant l’ancien presbytère, se détache sur un tronc le médaillon du paysagiste Jean Nicolas Ponsart, ami de Madou.
Buste en bronze dédié à la mémoire de l’ Abbé Peters, abbé à Comblain-au-Pont, résistant pendant la seconde guerre mondiale.
Il combat la propagande de la "Hitler jugend".
Il aide plusieurs jeunes de Malmedy à échapper aux griffes des allemands en les encourageant à déserter.
Il est incarcéré à la prison d’Aix puis guillotiné le 1er juillet 1943.
Cette auberge de Jeunesse se situe au cœur des Hautes Fagnes. Elle dispose d’une mare écologique pour l’étude du biotope, d’un terrain d’aventure et d’une plaine de jeux. Elle organise également des soirées de danse folklorique.
Ce centre de loisirs comporte 8 chambres d’hôtel, 1 loft et 37 chalets.
Equipé avec piscine intérieure et extérieure, wellness avec jacuzzi et hammam, salles de séminaire, restaurant, terrasse ensoleillée, terrain de tennis, minigolf…