Sa construction est dûe au prévôt de Laroche Georges de Waha-Baillonville.
Elle contient un autel en maçonnerie dans lequel est inséré un portillon mouluré dans son encadrement, avec pentures datant du 17è siècle. On y trouve également une statue de Sainte-Marguerite en bois polychrome datant de la même époque.
Son clocheton est muni à son sommet d’une croix en fer forgé.
Une légende narre qu’elle est construite sur une source et que celle-ci alimentait la citerne d’eau du Château féodal de La Roche, citerne que s’y trouve toujours à l’heure actuelle.
Sainte-Marguerite est invoquée par les femmes enceintes pour que l’accouchement se passe au mieux.
On peut y lire ce texte, inscrit sur une pierre :
Souviens-toi
Seigneur,
Ne te souviens pas seulement
des hommes de bonne volonté
mais également
des hommes de mauvaise volonté.
Ne te souviens pas
de leurs multiples violences
mais des fruits que nous avons portés.
Souviens-toi du courage
qu’ils ont réveillé en nous
pour ta plus grande gloire
et le bonheur de l’humanité.
Cette prière a été trouvée dans un camp de la mort.
Sous des arbres remarquables, cette chapelle carrée en moellons de schiste a été construite en 1831 par Félix Maréchal-Gillet. Elle est surmontée d’un clocheton carré et d’une croix en fer forgé.
Cette chapelle ouverte carrée, en schiste et grès, est couverte d’un toit en ardoises. Elle est surmontée d’une croix en fer forgé.
Chapelle rebâtie au 19è et enclavée entre deux bâtisses. Elle jouxte le Musée de la Bataille des Ardennes.
Cette chapelle attenante à l’hospice Jamotte (fondé en 1840) a été construite en 1964 à la place d’une autre chapelle détruite durant la seconde guerre mondiale. Elle avait été elle-même rebâtie en 1832 sur base de l’originale de 1697.
Cette grotte était déjà citée en 1943.