Selon J. de Walque, le "Chêne des Chênes" serait, en fait, le "Chêne du Chemin", le second terme de l’appellation dérivant de "Tchan", qui peut notamment signifier "Chemin".
Cette plantation était au départ une collection expérimentale d’essences d’arbres. S’étendant sur environ 10 hectares, elle datait de 1916. L’arboretum issu de cette plantation, fut créé en 1932. En libre accès.
Hêtre planté à une époque indéterminée sur la frontière entre la Principauté de Liège et la Principauté de Stavelot - Malmedy. Disparu, un nouveau a été replanté à cette place.
Vestige témoin du supplice qu’encoururent les frères Renard pour avoir assassiné le curé de Xhignesse en 1778.
Ce bouquet d’arbres isolé en plein milieu des tourbières de la réserve domaniale est formé par des saules. Ils ont servi de point de repère au milieu de la vaste étendue du Haut Plateau.
Chêne multiséculaire classé en 1964 auquel la cour de justice de Sart rendait ses sentences. Peut-être un ancien poste de douane (tonlieu) sur l’ancienne voie Limbourg - Stavelot - Luxembourg
De cet arbre, il ne reste plus que des débris dans une rangée de hêtres plus jeunes.
Il a constitué un repère de première importance au croisement de plusieurs voies anciennes (vers Solwaster, Jalhay, Hockay et peut-être Drossart).
Chêne vénérable auquel on a donné le nom du professeur Léon Frédéric(q), illustre savant fagnard.
Ce savant visitait fréquemment ce secteur.
Ce chêne a été planté le 2 avril 2004 par les bénévoles de Sart, remplaçant un vieux chêne mort, sur le sentier de la Hoëgne.
Ce hêtre remarquable à clous (plusieurs dizaines) est situé à un carrefour forestier au nord du village de Foyr.
Sa circonférence à 1.30 m de haut atteint pratiquement 3.80 m.
Il s’agit d’un ancien arbre repère célèbre dont le souvenir est perpétué par quelques jeunes hètres plantés en 1970 par " les Amis de la Fagne" et les Forestiers.
Un vénérable hêtre au milieu de la Vêcquée, à peu près à mi-chemin entre la Baraque Michel et la Passerelle du Centenaire.
Ces arbres vénérables servaient autrefois de lieu de repos (prandjlahe) aux herdiers de Sourbrodt et à leurs troupeaux.
Ce majestueux bosquet de hêtres tricentenaires est entouré actuellement de pessières.
En 1965, L’Administration des Eaux et Forêts a planté à la demande des "Amis de la Fagne" un certain nombre de jeunes arbustes pour assurer leur pérennité.
Arbres, plus que centenaires, soudés à la base et provenant d'une souche unique, ce qui justifie leur appellation. L'intérieur est un vide circulaire laissant apercevoir le ciel.
En 1870, le premie
Ces hêtres en fin de vie, vieux d’environ 250 ans ont été classés en 1936.
Jadis, les bergers et leurs troupeaux utilisaient cet endroit comme prandj’lohe (lieu de repos). Des jeunes hêtres ont été replantés par les Amis de la Fagne en 1993.
Ce tilleul qui s’élève devant l’église date de 1668. Sa circonférence approche les 5 m et sa hauteur est proche de 20 m.
Ces arbres ont été replantés en 2005 (d’origine en 1943 à 1953) à la mémoire de trois fagnards intimes bien connus, inséparables compagnons de randonnées : Alphonse Petit († 1942), Louis Pirard († 1948) et Jean Wisimus († 1953).
Ce hêtre remplace un ancien arbre de plus de 200 ans, un arbre-repère pour la zone d’entraînement militaire aménagée en 1894 par l’empereur Guillaume II. 6 bornes de l’ancienne frontière Juliers-Luxembourg ont été plantées autour.