Cette fontaine est composée d’un bac abreuvoir et est alimentée par le Ruisseau de Hévurzal.
Cette ancienne fontaine de village en fonte est adjointe d’un bac abreuvoir.
Un bac-abreuvoir à côté d’un banc de repos sur un accotement pavé.
Deux bacs-fontaines datant du 18è siècle devant un muret en moellons de grès.
Un ancien bac-abreuvoir en pierre de schiste agrémenté d’un reposoir.
L’eau de cette fontaine ressort d’un robinet inséré dans un mur en schiste. Ce dernier est surmonté d’une croix en pierre de taille. Cette petite place est agrémentée d’une table de pique-nique.
Un ensemble de bacs-lavoirs et d’une pompe en fonte. L’un d’entre eux a été joliment décoré de fleurs et l’autre, à double compartiment, contient toujours de l’eau.
Une ancienne pompe-fontaine en fonte dotée d’un bac-abreuvoir.
Cette fontaine publique a été remplacée par un simple robinet en cuivre de récupération. On se demande si le support du bac en pierre de taille n’a pas été récupéré d’une église.
Construction rectangulaire et couverte de dalles de schistes.
D’anciens bacs-abreuvoirs à l’entrée du village.
Le jet de ce bac-fontaine joliment fleuri en pierre provient de la bouche d’un gros poisson. L’explication nous donne l’origine du toponyme Samrée, rey signifiant ruisseau et sam signifiant saumon.
Il s’agit d’une ancienne pompe en fonte avec un décor végétal, dont il subsiste le levier, le robinet et la vasque en forme de coquille. Elle date du 19è siècle.
Elle est aussi appelé Trou des Nutons.
Cette source est située en contrebas de la chapelle Saint-Thibaut.
Les pèlerins y pratiquaient des ablutions en y plongeant les membres malades ou en buvant son eau.
Une pompe de la première moitié du 20è siècle dans un petit renfoncement muré.