De tijdlijn
Dit hunebed werd voor het eerst vermeld in een artikel uit 1879, maar was waarschijnlijk al bekend.
De Belgische staat verwierf het land in 1882 en de eerste restauratie vond plaats in 1885.
Het werd geclassificeerd in 1974.
Meer recent werden wetenschappelijke opgravingen uitgevoerd van 1979 tot 1984 en van 1999 tot 2001. Ze omvatten menselijke botten, scherven van aardewerk, vuursteen, schraper, hamers en pijlpunten.
Tijdens een nieuwe restauratie in 1991 werden de drie menhirs rechtgetrokken.
Het staat sinds 1993 op de lijst van uitzonderlijke archeologische vindplaatsen in Wallonië. Sinds 2000 behoort het tot het Waals Gewest.
Ce dolmen est composé d’une chambre sépulcrale collective rectangulaire, enfermée entre quatre piliers sur lesquels sont posées deux dalles de couverture.
Trois menhirs retrouvés aux alentours ont été redressés.
1850 Date probable de la connaissance de l’existence du dolmen.
1879 Le dolmen est signalé officiellement pour la première fois dans "Les Antiquités du village de Wéris", un article du Major Auguste Daufresne de la Chevalerie, qui croit avoir affaire à la tombe d’un chef de tribu gaulois.
1882 L’Etat belge acquiert le dolmen ainsi que le terrain où il se situe, suite à un rapport d’Emile Tandel.
1885 Le dolmen subit une première restauration. Il est ceintré d’un soubassement et d’une grille de protection.
1888 Des fouilles sont menées aux alentours du dolmen.
1906 Nouvelles fouilles autour du dolmen.
1974 Le site est classé.
1979 Une nouvelle campagne de fouilles est menée cette fois de manière plus moderne et scientifique par l’ex-Service national des Fouilles.
1991 Le dolmen est restauré une nouvelle fois. Les 3 menhirs retrouvés couchés devant le monument sont redressés. La grille de protection est ôtée.
1993 Le site est inscrit sur la liste des sites archéologiques de caractère exceptionnel de Wallonie.
1999 Une seconde campagne de fouilles scientifiques est menée par la Direction de l’Archéologie de la Région wallonne et l’Association wallonne d’Etudes mégalithiques.
On retrouve des ossements humains, des tessons de poteries et des silex taillés. Pour une sépulture collective, le nombre d’ossements retrouvés est réduit. C’est dû sans doute au pillage de la chambre sépulcrale, qui semblait être autrefois une pratique courante. Le matériel lithique comprend quelques percuteurs, un petit grattoir, sept pointes de flèches.
2000 Le dolmen est cédé à la Région wallonne.