Ce monument rend hommage aux victimes des deux guerres, résistants et prisonniers politiques. 13 à la première, 8 à la seconde.
Il s’agit d’un ancien puits de la Société Anonyme des Charbonnages d’Argenteau.
Devant le Grand Curtius, deux canons rappellent que Liège a eu sa fonderie de canons. On y fondait aussi des boulets.
Cette haute obélisque qui domine le sommet de la Montagne de Bueren a été érigée en l’honneur du 14è Régiment de ligne de l’armée belge qui a combattu lors de la première guerre mondiale.
Monument dédié aux combattants de la première guerre mondiale.
Ce monument a été érigé aux combattants tués durant la première guerre mondiale.
Un bas-relief en pierre affiche la mention : "C'est au fond de cette horreur qu'il a commencé à sourire. Il n'avait pa
Sur ce monument en pierre de taille dédié aux victimes des deux guerres mondiales, 28 noms liés à la première et un hommage aux résistants et combattants de la seconde.
Monument dédié aux victimes des deux guerres mondiales.
Ce monument est dédié à 1250 enfants de Liège tombés au champ d’honneur durant les deux guerres mondiales.
Ce monument est dédié aux morts des deux guerres. Il est doté de noms sur chacune de ses faces et de plusieurs plaques commémoratives.
Ce monument a été érigé en mémoire au général Albert Thys, homme d’affaires belge, associé proche de Léopold II lors de la colonisation de l’État indépendant du Congo.
Cette stèle, avec un bas-relief de la Vierge Marie, dédiée aux victimes liégeoises de la première guerre mondiale, comporte 11 noms auxquels sont venus s’ajouter de part et d’autre 8 noms de militaires et de résistants de la seconde.
Cette plaque a été apposée en remerciement aux Américains pour la libération du village en septembre 1944. Elle a été dédicacée par les vétérans des divisions d’infanterie le 19 septembre 1994.
Cette statue équestre de Charlemagne a été sculptée par Luc Jehotte et inaugurée en 1868. Le grand empereur tend le bras et les Liégeois lui font dire "Ploû-t-i?" (Pleut-il ?). Dans le piédestal, on peut voir la représentation de ses ancêtres.
Statue montrant un homme pensif : Charles Rogier, artisan de la Révolution de 1830, réconforté par une muse fort bien en chair et heureusement dédaignée par un lion tout pensif lui aussi.
Cette plaque apposée sur une pierre est dédiée à la mémoire de Jean-Marie Léonard, né en 1964 et décédé en 2016. Il a contribué à l’érection en réserves naturelles et sites protégés, de plusieurs zones autour de la Montagne Saint-Pierre.
Sur cette voie romaine qui reliait Tongres à Tirlemont, l’artiste Hans Lemmen a placé 5 bancs en béton de couleur terre cuite qui ont la forme de base d’une villa romaine. Sur leur dos, on trouve un plan des villas révélées lors de fouilles.
Cette chapelle proche du Château de Hulsberg est construite sur le modèle de la Maison Sainte, dans la ville italienne de pèlerinage de Loreto.
Ce château de style néo-classique éclectique a été construit en 1882 sur la colline, située à une altitude de 108 m, nettement plus haute que le paysage environnant. Il est habité par la famille De Coster.
Cette église moderne trapézoïdale en briques et en béton a été bâtie en 1964 sur les plans de l’architecte A. Nivelle. Elle remplace un bâtiment plus ancien datant du 12è siècle et rénové plusieurs fois.
Cette basilique en croix à 5 nefs possède un riche mobilier intérieur. Il a été complété par deux chefs-d’œuvre de l’abbaye de Mariënlof : le reliquaire de Sainte Odilia et la chaise de Sainte Lutgardis.
Une table de pique-nique située sur un parking le long de la N79 Saint-Trond - Tongres.
Une table de pique-nique au croisement de la Neremstraat avec l’ancienne voie romaine qui reliait Tongres à Tirlemont.
Une aire de pique-nique sur le site artistique des bancs en forme de villas romaines.
Une aire de pique-nique avec deux tables, proche de la chapelle transparente.
Une table de pique-nique en plein champ, proche de l’ancienne voie romaine.
Cette œuvre d’art paysager formant une "église transparente" se traduit par "en lisant entre les lignes". Elle date de 2011 et à été conçue par les architectes Gijs et van Vaerenbergh.
On peut traduire cette sculpture par "frontière du doute". Il s’agit d’une forme de sculpture en ligne ondulée permettant de lire ce mot en néerlandais. Elle a été réalisée par le belge Fred Eerdekens.