Ce musée est consacré à la fagne et à la forêt. On y présente la flore et la faune locales. Les Hautes Fagnes font également l’objet d’un exposé d’ordre géologique (formation, évolution...).
Une table de pique-nique située dans le parc, non loin de l’orée du bois Les Aisances d’Arimont.
Une table de pique-nique au creux de la vallée de la Holzwarche, près d’une ancienne carrière.
Pour qui aime admirer ces paysages uniques de tourbières fagnardes, cette balade s’écarte quelque peu du centre névralgique de la Baraque Michel et de Botrange, afin de découvrir la partie fagnarde qui s’étend du côté de la commune de Malmedy.
Ainsi, plusieurs zones tourbeuses jalonnent ce parcours, telles que le Fraineu mais aussi le Lovaiseu, le Setai et un petit bout du Neûr Lowé. On les découvre parfois sur caillebotis, parfois en les longeant sur de très larges coupe-feux (balisés).
Le départ se situe dans un recoin de la route qui relie Hockai à Xhoffraix, au niveau du lieu-dit Nâpire ou Nampire. On est à cet endroit, proche de la source du ruisseau bien connu des fagnards : le Ruisseau du Trô Maret qui file vers la Warche.
On remonte le courant presque jusqu’à sa source mais on quitte son sillon pour découvrir le Fraineu (caillebotis), un peu plus loin le Lovaiseu (près de l’ancienne cabane du Negus) puis le Setai que l’on longe sur plus d’un kilomètre par un large coupe-feu comme annoncé plus haut.
Mais attention ! Au niveau du Lovaiseu, cette zone est particulièrement humide et généralement dénuée de caillebotis. Donc pour celui qui n’a pas de bottes ou de chaussures étanches, les pieds mouillés sont quasi assurés !
On traverse ensuite la grand’route Eupen - Malmedy que l’on suit sur 200 m vers la gauche (prudence, malgré la piste cyclable !) et on se retrouve en pénétrant à droite au sud-ouest du Neûr Lowé. C’est la zone où le Bayehon, ruisseau non moins connu des fagnards prend sa source. On le suit un peu vers l’aval. Là encore, de bonnes chaussures sont bien utiles car le sentier qui longe le Bayehon est particulièrement boueux.
On bifurque à droite avant le fameux Tchâne as tchânes (Chêne des Chênes). Rien ne vous empêche de pousser jusqu’à lui pour aller admirer ce vieil arbre tout noueux puis de revenir sur l’itinéraire. Il n’est vraiment pas très loin.
Le chemin qui revient sur la Fagne Thîrifaye est encore un peu humide mais une fois arrivé au carrefour forestier où se trouve un pique-nique couvert, les chemins en durs se succèdent pour oublier la boue et l’humidité jusqu’à la fin de la balade.
Après quelques crochets, on retrouve la N68 qu’il faut suivre sur une centaine de mètres vers la droite, avant de bifurquer à nouveau à gauche dans le bois. Prudence ! On roule assez vite dans cette ligne droite !
Il reste un bon kilomètre à parcourir à travers bois et Nâpire, pour rejoindre le parking d’où nous avons démarré.
Musée installé dans le château fort (14è).
On y trouve des collections uniques retraçant l'histoire de la poterie locale, depuis ses origines (15è) jusque 1860 (déclin).
Une table de pique-nique située en sous-bois près du parking de la Croix Noire, sur la N68 Eupen - Baraque Michel - Malmedy.
Cette aire de pique-nique, située entre Hockai-Centenaire et Belleheid, est placée en bord de Hoëgne.
Ce petit village situé à l’est de Malmedy invite volontiers à la flânerie. Déjà, en contrebas coule la Warchenne, le long de laquelle se déroule un Ravel qui relie Malmedy à Waimes.
Il est jalonné par toute une série de ruelles généralement très calmes.
Parmi celles-ci, la Route des Aminces constitue un bon point de départ.
A proximité se trouve un très beau parc, avec une plaine de jeux et des modules sympas, une table de pique-nique, un terrain de mini-foot, un terrain de volley, un petit terrain de basket et même un grand barbecue couvert (sur réservation).
De bonne augure pour un petit kid’s tour. Elle est située entre cette route-ci et la Route de Hottleux, où un parking permet de se garer.
La promenade quant à elle se déroule dans le bois adjacent, calme et ombragé : L’Aisance d’Arimont.
Attention au début, ça grimpe un coup, durant 300 m environ puis ça redevient nettement plus facile après avoir tourné à droite. Aussi l’avons nous classée rouge pour un kid’s tour, sachant que ces codes couleurs de difficulté sont relatives aux types de balades.
Donc rien de bien méchant, à part peut-être un peu de portage sur les épaules l’espace d’un moment pour les plus petits.
Ce pique-nique est très proche du Barrage de Robertville, sur un chemin menant au Château de Reinhardstein.
Falize, Cligneval, Thioux... Tous ces noms de hameaux au sud de Malmedy sonnent agréablement et fleurent bon la campagne de la rive gauche de la Warche.
Au départ, un accotement le long d’une ruelle située entre Falize et Cligneval permet de garer sa voiture non loin du Rocher de Falize, objet de cette balade, qui domine la vallée de la Warche.
On part ensuite à la rencontre de cette dernière en fond de vallée et on la suit jusqu’à sa confluence avec l’Amblève, entre le village de Warche, homonyme de la rivière et le hameau de Thioux.
C’est par ce dernier que l’on remonte vers Cligneval à travers les campagnes malmédiennes jusqu’à notre point de départ.
Une aire de pique-nique avec trois tables au sommet de la côte de la Grotte Notre-Dame de Lourdes.
Une table de pique-nique à la sortie ouest du hameau, près d’un étang arboré.
Cette petite table de pique-nique est située à quelques pas du célèbre arbre multiséculaire.
Cette balade part à la découverte de la vallée du Ruisseau des Trôs Marets, un ruisseau en provenance directe des Hautes Fagnes, qui prend sa source dans la tourbière du Fraîneu, au sud-ouest de Botrange.
Il s’agit en fait d’un affluent de la Warche qui va se jeter dans celle-ci un peu en amont de Bévercé, au nord de Malmedy.
Mais nous n’irons pas jusqu’à la confluence !
Au niveau du Pouhon des Cuves, nous rejoindrons le village de Mont (Malmedy) traversé par la N68 Eupen - Malmedy.
Après l’avoir traversée, il reste un beau bois à parcourir avant de remonter vers Xhoffraix, notre point de départ.
Le choix de ce sens depuis Eupen vers les Hautes Fagnes est volontairement plus sportif et plus ressourçant, grâce à la sensation de quitter la civilisation et l’effervescence, pour se diriger vers le calme et la brousse, ô combien sauvage et naturelle du côté du Haut Plateau fagnard, quoique fréquenté par de nombreux férus.
Vous pouvez tout aussi bien le réaliser dans l’autre sens et profiter de la pente assez douce et progressive creusée gentiment par la Helle sur des millions d’années, pour se jeter dans la Vesdre une vingtaine de kilomètres en aval.
La longueur de cette balade magnifique est donc à prendre en compte pour la réaliser car il est impossible de venir vous rechercher à mi-chemin, étant donné qu’aucune route accessible aux voitures ne vient la couper de près ou de loin durant son parcours.
Une table de pique-nique au sein de l’arboretum de Mefferscheid, sur le sentier du dragon !
Tables de pique-nique et barbecue public en plein bois, le long du Roannay à ses débuts.
Voici un point de départ idéal et facilement accessible avec un grand parking, à l’emplacement de l’ancienne gare de Francorchamps, située sur la ligne 44, devenue à présent le Ravel reliant Spa à Stavelot.
Nous allons justement emprunter ce dernier en direction de Spa, afin d’aller à la rencontre d’un petit village proche de celui du célèbre circuit : Ster-Francorchamps.
Nous rajoutons toujours "Francorchamps" car il existe un autre Ster de surcroît sur la même commune, sur les hauteurs de Coo et de Stavelot.
Après avoir traversé le village, l’itinéraire revient vers le point de départ en venant flirter avec la Route du Circuit qui contourne ce dernier.
Sans l’emprunter, une petite route à travers bois nous ramène à notre point de départ.
Une table de pique-nique sous abri, juste à côté du pavillon qui contient un barbecue. Des photos des travaux réalisés pour l’arboretum sont à découvrir sous cet abri.
Visitons ce rocher de 8m³ à l’authenticité controversée : certains y voient un authentique dolmen car il est orienté selon certaines données astronomiques. D’autres y voient le fruit du hasard.
En s’enfonçant par la route (sans issue pour les autos) de Devant Chêneu depuis Hockai (accessible par la Route de Cokaifagne), le profane ne s’imagine pas arriver dans un recoin aussi enchanteur de ce village pré-fagnard.
C’est l’endroit où la Hoëgne prend subitement le cap nord, après avoir traversé les zones fagnardes des Mousseux dans une orientation plutôt sud-ouest.
On y découvre un endroit souvent effervescent et très prisé ; les amateurs de beaux coins ne s’y trompent pas : la belle passerelle en bois assemblés à côté du gué où jouent tous les enfants dans la Hoëgne rouge de joie. Des tables de pique-nique mais aussi un beau portail en bois qui annonce la couleur : la Promenade de la Hoëgne.
On n’a pas pu s’empêcher d’en faire le point de démarrage de cette balade tant l’invitation y est tentante.
Mais au lieu de poursuivre la Hoëgne jusqu’au Gué de Belleheid qui fait l’objet d’une autre balade, nous remonterons vers le Belvédère de la Hoëgne pour atteindre Cossonfays, qui hume déjà l’air des vastes étendues fagnardes de la Baraque Michel.
Immanquable elle aussi, elle aboutit sur la Vêcquée qui nous ramène au point de départ, un peu plus d’un kilomètre après l’avoir rejointe.
Ainsi, en à peine 5 km, on a un déjà un bel aperçu des atouts du coin : la passerelle, la Hoëgne, le belvédère et la Vêcquée.
Une table de pique-nique près du pavillon de chasse.
Ce bâtiment de 2 étages est construit en pierre calcaire.
Le portail cintré à clé ornée d’un écu est daté de 1681 et de la croix de Bourgogne.
Depuis cet agréable lieu de ralliement qu’est la Ferme Libert, où l’on peut manger les célèbres gaufres aux airelles en forme de cœur, cette balade vous invite à découvrir la vallée du Ruisseau du Trô Maret, en provenance directe des Hautes Fagnes, où il prend sa source au niveau de la tourbière du Setai.
On part le rejoindre au niveau de la Spinette pour se laisser descendre tranquillement le long de son cours, bordé de passerelles en bois, pratiquement jusqu’à sa confluence avec la Warche.
On rejoint alors Bévercé puis une côte nous attend pour remonter jusqu’à la Ferme Libert.
Pour celui qui désire découvrir le cœur de la Réserve Naturelle Domaniale des Hautes Fagnes sans s’embarquer dans un périple trop aventureux ou trop long, voici un grand classique qui en met plein les yeux, au sein d’un paysage unique au monde !
Un petit bémol pour ceux qui ont des toutous. Ils sont interdits dans cette zone, même tenus en laisse. Les pauvres n’apprécieraient de toute façon pas les caillebotis, car ils pourraient facilement y mettre la patte et se blesser.
Pour ne pas faire un simple aller-retour de la Baraque Michel au Noir Flohay, cette pinède désolée au milieu des tourbières, la balade décrit comme elle peut de petites boucles internes car les accès sont, en raison de la nécessité de préserver cette nature exceptionnelle, un peu limités. De cette manière, elle donne un bon aperçu de ce tableau idyllique local, sans s’enfoncer vers la suite du cours de la Helle, qui file vers Eupen près de 20 km en contrebas ou vers Monschau, qui se trouve à l’opposé oriental de la réserve.
Pour qui aime se promener sur caillebotis, c’est la portion fagnarde la plus riche en ces sentiers de bois qui surplombent les nombreuses tourbières, ruisseaux et autres pingos.
Une table de pique-nique en sous-bois le long du Ravel de l’ancienne ligne 44A.
Ces deux tables de pique-nique sont situées à un point de départ névralgique vers les Hautes Fagnes, Belleheid ou la Vêcquée, en bordure d’un crochet de la Hoëgne.
Entre Allemagne et Belgique, ce petit tour recèle quelques curiosités agréables, nichées aux alentours de la vallée de la Rur.
Cette formation rocheuse faite de conglomérats de poudingue, qui se dresse comme une grosse arête haute d’une vingtaine de mètres et longue de 80 m, le Richelsley, est assez particulière, notamment par la présence d’une grande croix en métal : la Kreuz im Venn.
Ensuite, on se dirige vers une enclave allemande due à la Vennbahn. En effet, l’ancien tracé ferroviaire étant toujours sous souveraineté belge, cette situation administrative a créé 5 enclaves allemandes à l’ouest de la frontière belgo-allemande.
Dans ce cas-ci, il s’agit de celle de Ruitzhof, hameau avec lequel on vient flirter, avant de redescendre dans la vallée de la Rur.
Là, on y rencontre cette fameuse Vennbahn, reconvertie en Ravel, que l’on peut suivre sur un bon kilomètre jusqu’au point de départ.
Cette balade se déroule exclusivement en Allemagne entre la jolie et pittoresque ville de Montjoie et le Barrage du Paerlenbach.
On y rencontre les formations rocheuses du Teufelsley et de l’Engelsley, que l’on pourrait traduire par le Rocher de l’Ange et le Rocher du Diable.
Les hauteurs de ces rochers offrent un magnifique panorama sur la région très boisée du Perlenbach.
Les amateurs des fagnes ont généralement l’habitude de se cantonner à l’ouest du vaste camp militaire d’Elsenborn.
Mais en deçà de celui-ci, du côté oriental, il subsiste un bout de Belgique qui recèle encore quelques curiosités fagnardes intéressantes, aux confins de Rocherath.
Parmi celles-ci, il y a notamment le Weisser Stein qui est le second sommet en altitude de Belgique, à une encâblure de la hauteur du Signal de Botrange.
Puis, il y a encore le Rocher de Bieley, majestueux, mais dont l’accessibilité est limitée en raison de la proximité avec le camp : il vaut mieux s’assurer en téléphonant au syndicat d’initiative qu’il ne s’agit pas d’une journée de tir à ballles.
Ce dernier est situé le long d’une rivière fagnarde méconnue : la Schwalm.
Mais dans le cas de cette balade, point question de danger de tir à balle car cette rivière poursuit son cours vers le nord à travers bois et passe la frontière allemande au sud-est de Kalterherberg.
Puis la rivière est retenue par un barrage un peu à l’ouest et en contrebas de Höfen, un patelin allemand situé au sud de Montjoie, pas tellement loin de sa confluence avec la Rur dans cette même ville.
C’est le tour du lac de retenue que nous vous proposons de parcourir ici, en venant flirter à l’ouest du barrage avec les prés de Kalterherberg, avant de redescendre vers le lac, puis de remonter au parking situé à Höfen.
Une table de pique-nique à l’entrée de la forêt, non loin de la N68 Eupen - Malmedy.
A cet endroit confluent 2 ruisseaux dans la Helle : le Ruisseau du Petit Bonheur venant du sud-ouest et le Spohrbach en provenance du nord-est.
Ce centre a pour vocation de vous faire découvrir les richesses naturelles du milieu fagnard à travers une multitude d’activités basées sur certains thèmes comme l’eau, la flore et la faune.
Cette table de pique-nique est située juste en bordure du Ravel de la ligne 48 à une centaine de mètres du rond-point.
Le choix du point de départ à Jalhay vous permet de découvrir la superbe vallée de la Hoëgne, dans sa plus belle portion, sans avoir besoin nécessairement d’utiliser deux voitures.
En effet, un bus direct (la ligne 390 Verviers – Rocherath) relie la Baraque Michel à Jalhay en à peine une dizaine de minutes.
La première partie consiste à rejoindre le fond de la vallée de la Hoëgne au niveau du Trou Colas, là où elle commence à devenir très pittoresque.
Une fois dans la vallée, nous allons la suivre au plus près d’abord en direction du Moulin Gohy puis de Royompré.
On s’enfonce alors dans une zone particulièrement boisée entre le Bois Roslin et la Forêt Domaniale de Gospinal avant d’arriver au bien connu Gué de Belleheid, point de rendez-vous et de ravitaillement qui vient à point au cours de cette rando.
Ensuite le long de sentiers qui suivent la rivière de très près, on s’enfonce dans le Bois de la Hoëgne, entre souches et rochers et l’on la traverse maintes fois par des passerelles en bois. On arrive alors à la Passerelle du Centenaire.
A cet endroit, la Hoëgne décrit une bifurcation nette vers le nord-est, où l’on va s’enfoncer dans un milieu de plus en plus fagnard : les Mousseux.
On reprend alors le cap nord pour rejoindre la Vêcquée, pour passer devant la célèbre Croix des Fiancés. Il reste alors moins de deux kilomètres avant de rejoindre le point de destination : la Baraque Michel.
La Brackvenn est en fait un ensemble fagnard situé de part et d’autre de la N67 Eupen - Montjoie. Elle se trouve très près de la frontière allemande.
Elle est constituée de plusieurs zones tourbeuses. Parmi celles-ci, on trouve le Nahtsief et Puzen au nord de la N67. Au sud, ce sont les Königliches Torfmoor (les tourbières royales) et la Platten Venn (la fagne plate). Ce sont ces dernières qui font l’objet de cette balade, qui se déroule pratiquement sur une moitié sur caillebotis. Attention, les chiens, même tenus en laisse, y sont interdits !
Oui c’est vrai, le mot gorge est peut-être exagéré, nous en convenons !
Mais depuis le haut plateau fagnard où ils prennent leur source, les ruisseaux tels que le Bayehon ou le Pouhon ont creusé leur sillon de manière assez abrupte, de sorte que lorsque l’on les parcourt, on se sent assez engoncé entre ces versants plus raides qu’à l’accoutumé.
Et c’est ce qui fait tout leur charme ! Car le fond de ces vallées est pour le moins pittoresque avec ces ruisseaux au cours vif, ces ponceaux de bois qui jalonnent leur parcours, ces bois qui recouvrent entièrement leurs versants.
La Warche dans laquelle ils se jettent en aval du Barrage de Robertville a d’aileurs jusqu’à Bévercé un peu la même configuration. Ce qui renforce d’ailleurs le cachet du Château de Reinhardstein, perché sur un éperon rocheux. Mais celui-ci fait l’objet d’une autre balade.
La Warche, on s’y dirige depuis Longfaye au cœur de la vallée du Bayehon, connu pour sa cascade. Cette dernière se trouve en amont de cet itinéraire et fait elle aussi l’objet d’une autre balade. Ici, nous allons plutôt découvrir le Bayehon vers sa confluence avec le Pouhon, dans le Bois "Le Cheneux".
C’est environ 500 m en aval de cette confluence que le cours d’eau atteint la Warche mais nous n’irons pas jusque là. En effet, une fois atteint la confluence Bayehon/Pouhon, l’itinéraire remonte le cours de ce dernier pour rejoindre la Route de Hargister, entre Xhoffraix et Longfaye.
On la traverse alors pour rejoindre le point de départ à Longfaye, par l’ouest du village.
Les petites ruelles proches de la cathédrale de Malmedy sont très pittoresques et invitent, pour ceux qui ont le courage de grimper sur le calvaire, d’admirer la ville d’en haut.
En poursuivant sur la colline de Livremont, le chemin arrive à Chôdes, un village situé sur les hauteurs méridionales de la Warche.
Il suffit alors de se laisser descendre jusqu’à la Warchenne vers Winbomont et l’Avenue Monbijou, pour reprendre le Ravel, bien plat, qui nous ramène au point de départ.
Cette balade est un grand classique très apprécié des amateurs de la région sub-fagnarde.
Il s’agit de découvrir la vallée de la Sawe à partir du parking situé entre Solwaster et Gospinal, au pied de la forêt domaniale.
Elle forme un 8 au centre duquel un pique-nique se place idéalement pour se ravitailler.
Elle permet de découvrir les deux versants de la vallée, parfois au creux de celle-ci, parfois en surplomb.
Cette balade démarre d’un petit patelin allemand situé juste derrière la frontière belge.
Pour maintenir une distance raisonnable pour une balade familiale (un peu plus de 8 km), le petit problème qui se pose dans cette région à l’écart des grands axes, du fait de la grandeur du massif forestier (L’Hertogenwald Oriental), c’est de pouvoir garer sa voiture au plus proche de l’objet de cette visite : le hameau abandonné de Reinartzhof. Et le dernier lieu accessible pour se garer au plus proche, c’est Schwerzfeld.
Pour ceux qui viennent d’Eupen, ce n’est pas si compliqué, malgré qu’il reste une trentaine de kilomètres à parcourir en auto : il suffit de se diriger vers Montjoie. Mais au lieu de descendre dans la belle petite ville allemande, il faut bifurquer à gauche après une grande épingle de la L214, environ 2 km après avoir traversé le village de Mützenich. Après quelques zigzags, l’itinéraire devient plus rectiligne et traverse les villages de Imgenbroich, Konzen. Puis on repasse en Belgique dans une zone très boisée. 3 km plus loin, c’est à nouveau la frontière allemande ; on arrive au Fringhaus. Là, on se dirige à gauche vers Roetgen et il reste un peu plus de 5 km pour atteindre enfin ce fameux point de départ. Avant de traverser le cœur de Roetgen, on prend la Schwerzfelder Straße à gauche peu après l’ancien passage à niveau pour atteindre ce petit coin blotti entre Belgique et Allemagne.
Dans un cadre d’une forêt très profonde, l’Hertogenwald Orientale, le but de cette balade est de découvrir ce hameau datant vraisemblablement du 12è siècle, dont le refuge pour les nombreux pèlerins médiévaux, était tenu par un ermite : un lieu chargé d’histoire !
2 tables de pique-nique située juste à la frontière belgo-allemande, au fond du parking du Grenzweg, aux abords de la Brackvenn.
Une table de pique-nique dans la descente de Klerberg au-sud-est de Montjoie.
Un tour sans prétention mais bien agréable autour du Bois du Moulin avec quelques dénivelés un brin plus rudes.
Cette balade suit d’abord la Hoëgne jusqu’au Trou Colas. Elle passe ainsi devant l’ancien Moulin Gohy, caractérisé par son étonnant apport d’eau par dessus la route via un petit aqueduc. Le hameau qui s’ensuit est tout aussi étonnant : des petites maisons en bois ou des caravanes recarrossées en maisons qui créent un ensemble assez bohême et très singulier.
Ensuite, au Trou Colas, on remonte le Ruisseau d’Hélévy à travers les deux parties du Chaumont. Arrivé dans les plaines de Foxhalle, Surister n’est plus très loin mais il faut gravir un croupet assez costaud pour atteindre le village.
C’est ensuite la traversée de la Heid des Fourmis pour rejoindre Charneux. Il faut pour cela descendre dans la vallée du Ruisseau du Botné, cet affluent de la Hoëgne que l’on a rencontré AU-DESSUS de nous au Moulin Gohy, juste avant sa confluence.
Une fois remonté depuis ce ruisseau jusqu’à Charneux, il ne reste plus qu’à se laisser descendre par la vallée du Ruisseau de Charneux, lui aussi un petit affluent de la Hoëgne assez court, pour rejoindre Royompré en contrebas.
Cette table de pique-nique est située le long de la Sawe, tout près de la Pîre al Macrâle.
Engoncée dans de profonds bois ombragés de feuillus et de conifères, cette vallée procure décidément une atmosphère très particulière.
Située entre Solwaster et les Croupets du Moulin, cette balade vous invite à en découvrir une toute petite portion, mais ô combien sauvage et pittoresque, autour du Bois Roslin.
Cette rando vous propose de faire le tour du Côreu, une partie de la très vaste Hertogenwald située au sud du Lac de la Gileppe.
Elle vient flirter avec la pointe la plus au sud du lac au niveau de la zone de bivouac et de l’abri en bois avant de remonter le cours de la Gileppe, un ruisseau en provenance du haut plateau des Fagnes.
Sans le suivre jusqu’à sa source, on reprend le cap ouest et on quitte son sillon. Il reste alors environ 5 km avant de retourner au village d’Herbiester.
Cette table située au calme, un peu plus haut que le cours du ruisseau, est accessible par le chemin reliant la Route de Jalhay à l’Ermitage.
Ce pique-nique est situé à la fin du chemin du Bois de Rondfahay, côté est, près de la cabane des nûtons, au lieu-dit Vieux Marchés.