Cette ancienne commune est située sur la Meuse environ 2 km en amont de la ville de Dinant. Elle est déjà citée dans un écrit du prince-évêque de Liège en 817 sous la forme Anseromia.
Cette église de style néo-gothique en pierres bleues et au clocher élevé a été bâtie entre 1906 et 1907 sur les plans des architectes les architectes H. Smits et Joostens d’Anvers.
Ce point d’arrêt de la ligne 166 a été mise en service en 1896 par les Chemins de fer de l’État belge. Le bâtiment a été démoli en 2014. La halle à marchandises existe toujours, malgré qu’elle ne sert plus depuis longtemps.
Ce viaduc routier permet à la N97 de franchir la Meuse, 80 m au-dessus de la rivière. Il s’agit du plus haut viaduc routier de Belgique.
Ce pont a été détruit à plusieurs reprises au cours de l’histoire lors de conflits. Appartenant à la Ville de Dinant, elle est intervenue à chaque fois dans sa reconstruction.
Cette ancienne dépendance de l’abbaye de Saint-Hubert datant du 15è siècle et de style roman, résidence d’été des moines, accueille à présent des événements privés ou professionnels tels que des fêtes de mariage, des réceptions...
50 personnes minimum.
Ce grand massif rocheux est un site d’escalade privilégié en Belgique. Il est inscrit au Patrimoine majeur de Wallonie.
Il est composé de 7 rochers principaux (d’aval vers l’amont) : Du Mérinos, Les 5 Anes, La Tête du Lion, Le Pape, Al’Lègne, Louis-Philippe et La Jeunesse, et de 9 rochers secondaires : La Carrière, l’Ecole, Fissure Georget, Les Pucelles, Les Autours, Du Point de Vue, Du Fromage, Du Groseillier, et le Colébi.
600 voies d’escalade, gérées par le Club alpin belge, ont été ouvertes allant de 2 à 8c. La première le fut par Xavier de Grunne en 1930, en ouvrant à l’intersection de la Tête de Lion et du Pape, la fissure-cheminée qui porte son nom.
Ce viaduc ferroviaire en treillis, long de 300 m, appelé aussi Pont ferroviaire de Dinant, permet à la ligne 166 de franchir la Meuse. Ila nécéssité 6800 tonnes d’acier et 11 000m³ de béton armé. Il a été mis en service en 1898.
Ce moulin restauré date du 15è siècle et a été aménagé dans son état actuel au 17è siècle.
Le barrage, le bief, les vannes et la machinerie sont toujours en place.