L’église est consacrée.

La nef et bas-côtés sont reconstruits entièrement et agrandis au vu de l’augmentation du nombre de fidèles. Le travail va s’étendre sur 40 années.

Le clocher est reconstruit sur les base de celui du 13è siècle.

L’église est incendiée suite au siège de l’armée de Henri II, roi de France.

Les toitures de la nef et des chapelles sont restaurées. Le clocher, riche de 26 000 ardoises de Fumay, est entièrement reconstruit. La grande croix de la flèche est également remplacée.

Dégradée, l’église est rénovée en profondeur. Le vieux sanctuaire gothique est réaménagé.

Le cimetière qui entoure l’église est transféré au nord de la localité.

On remplace les deux accès nord et sud par un grand escalier, afin d’améliorer l’accessibilité à l’édifice.

Des obus allemands abîment la tour, la sacristie, la tourelle d’escaliers, la toiture du chœur, le pavement et l’autel.

Une grande restauration est entreprise sur les plans de l’architecte bruxellois H. Vaes. Ceci à l’initiative du curé de la paroisse, le chanoine Hayot. On y privilégie le rétablissement de l’espace intérieur de style gothique.

Ce moulin restauré date du 15è siècle et a été aménagé dans son état actuel au 17è siècle.
Le barrage, le bief, les vannes et la machinerie sont toujours en place.

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