Le village est intégré au comté du Hainaut après avoir été cédé au roi de France.
L’industrie du fer bat son plein. Plusieurs forges sont actives dans le village.
Le village comporte de nombreux métiers : sabotiers, fabricants de charbon de bois et préparateurs d’écorces pour la tannerie.
Cet arboretum a été planté au 20è siècle par l’ingénieur forestier Blondeau pour déterminer les essences les plus adaptées au reboisement de cette région calcaire.
Une trentaine de panneaux didactiques jalonnent le parcours afin d’identifier les arbres, composés d’un mix de feuillus et de résineux.
Ce château en moellons de calcaire datant du 16è siècle a appartenu à plusieurs maîtres des forges au cours de son histoire : Non seulement la famille Bivort mais également les de Horne, les Baillet ou les Delhalle.
Le château est remanié avec deux ailes disposées en U. Il prend l’allure d’un manoir classique.
Le château passe à la famille Bivort.
Ce château a été bâti à l’emplacement d’un oratoire chrétien franc au 6è ou au 7è siècle, lui-même bâti à la place d’un temple païen.
Cette ancienne cense abritait autrefois des forges et des fourneaux. Depuis 1977, il est devenu le centre administratif de la commune de Viroinval.
Date de construction de l’ancienne cense.
D’importantes transformations sont réalisées par Auguste Licot, cofondateur des usines La Providence, il donne son nom au château.
La restauration du domaine est achevée.
Le domaine est racheté par la commune.
Le domaine est restauré.
Le château devient le centre administratif de la commune de Viroinval.
Cette église de style néo-classique a été construite entre 1829 et 1830 sur les plans de l’architecte Jean Kuypers. Elle remplace une église plus ancienne bâtie à un autre emplacement ; sur la butte du Mousty.
L’église comporte 3 nefs séparées par 2 rangées de 5 colonnes carrées. Celle du centre est couverte d’un voûte en berceau (la face de l’arc présente une courbure constante). Elle abrite une chaire de vérité datant de 1769.
Chaque collatéral (parties latérales de la nef) se termine par un autel de style baroque. Ils datent vraisemblablement du 19è siècle. La table des autels est en marbre rouge. Les retables (des structures verticales sculptées ou peintes) sont blancs et dorés. Ils sont ornés d’une statue et d’un tableau.
L’abside (niche) est semi-circulaire est percée de 3 oculi (ouvertures rondes).
Le chœur contient un autel en pierre brute datant du 20è siècle.
Le maître-autel quant à lui a un style baroque. Il est une quasi réplique des 2 autels latéraux (table en marbre rouge et noir et retable blanc et doré).
Le globe surmonté d’une croix symbolise la domination du Dieu judéo-chrétien sur le monde.
La chapelle castrale est détruite par les troupes françaises durant les guerres de Charles-Quint.
La première église paroissiale de Nismes est construite sur la butte du Mousty. On appelle également cet endroit le Pont d’Avignon.
Début de la construction de la nouvelle église sur les plans de l’architecte hollandais Jean Kuypers, l’ancienne église étant devenue trop petite.
La construction de l’église est terminée. La Belgique devient indépendante.
On reconstruit en partie la nouvelle église.
L’église est consacrée.
L’ancienne église sur la butte du Mousty est démoile.
Il s’agit de la première église paroissiale de Nismes, construite en 1606 à l’emplacement d’une chapelle castrale.
Ce musée a pour thème le Petit Format d’Art Contemporain et s’est enraichi grâce à des dons d’artistes depuis 1981. Le petit format ne dépasse pas le format d’une feuille A4. La collection est riche d’environ 4000 pièces.
Ce parc entièrement rénové entoure le château communal et permet une belle promenade dans la nature avec sa rivière qui le traverse, ses canaux, sont étang, ses cascades et sa fontaine. Il y a également une plaine de jeux et un mini-golf.
Une plaine de jeux avec de nombreux modules, au cœur du remarquable parc communal.