Ce village déjà cité en 1130 en tant que seigneurie féodale (les barons de Rahier) se situe à la source du Ruisseau du Hornay, un affluent indirect de l’Amblève. Son habitat traditionnel est généralement en moellons de grès.
Un barbecue avec deux tables de pique-nique dans le bois, proche de la lisière de Rahier. Il s’y trouve également un terrain de pétanque.
Ce projet a été réalisé par l’ASBL Rahier Initiatives, grâce à un appel à projets de la Cera Foundation datant de septembre 2004. La première mise à feu du barbecue a eu lieu le 4 juin 2006 en présence de personnalités du villag, de la commune et des donateurs.
Une petite charmille sur les hauteurs septentrionales du village de Rahier, proche d’un panorama remarquable en direction de Stoumont et la vallée de l’Amblève.
Une croix en bois située dans le petit parc jouxtant le parking de la route qui traverse le village.
La tour d’origine de cette église héritée d’une ancienne chapelle date du 12è siècle. La nef date du 17è siècle. L’ensemble avec son énorme chêne planté en 1630 a été classé en 1977.
La porte d’entrée est en chêne massif. Elle est garnie de clous en fer forgé. Il s’agit vraisemblablement de la porte extérieure de la chapelle primitive.
Les fonts baptismaux de style roman datent du 12è siècle. Ils sont composés d’une cuve à 4 têtes d’angle.
On peut y découvrir deux grandes dalles funéraires en marbre noir. L’une d’entre elles est à la mémoire de Gilles de Rahier, décédé en 1661 et de son épouse Marguerite de Fraipont. L’autre dalle est dédiée au baron Godfrois de Rahier, décédé en 1714 et à son épouse Anne-Marie Philippine d’Argenteau, ainsi qu’aux seigneurs de Rahier, qui possédaient un château derrière l’église.
De nombreuses croix en schiste sont adossées au mur de l’église et du cimetière. La plus ancienne date de 1694.
Il existe à cet endroit une chapelle primitive dépendant de Bodeux. Cet édifice en moellons, d’une longueur de pas plus de 4 m, se compose d’une tour avec 3 meurtrières étroites entourées de pierres de taille.
On ajoute des fonts baptismaux de style roman.
Deux grandes dalles funéraires en marbre noir sont ajoutées.
Le chêne attenant est planté en même temps que la construction de la nouvelle nef unique, terminée par un chœur à 3 pans.
La sacristie et le porche à entrée latérale sont ajoutés.
Le site formé par l’église, le chêne et le cimetière est classé.
L’église est classée comme monument.
Un incendie ravage la sacristie, provoquant de nombreux dégâts.
L’église est restaurée après 8 ans de travaux.
Une ancienne fontaine en fonte qui n’est plus opérationnelle, située près d’un bac-abreuvoir.
Ce haut monument en pierre bleue est dédié aux victimes des deux guerres. On y trouve 21 noms de victime de la première guerre mondiale. Il a été réalisé par G. Bertrand de Florzé et a été inauguré en 1919.
Le monument est appelé monument aux héros et non aux morts car certains soldats sont revenus vivants de l’épopée guerrière et ont été mis à l’honneur lors de son inauguration. Le chêne situé à ses côtés a été planté lors de celle-ci.
Ce monument est érigé à la mémoire des 44 victimes de la chasse aux sorcières qui a eu lieu entre 1604 et 1621 dans l’ancienne mayeurie de Rahier.
Figurent comme noms sur le monument :
de Martinville :
Mérole, femme de Jacques Jean de Mez
Suzanne, femme de Jean le Maréchal
la femme de Jaspar Smette
la femme de Glison Mathy Piette
de Froidville :
Anne fille de Jude
Servais le laid Gillet
la femme de N. Picot
la femme de Remacle Leruss
la femme de Collinet
la veuve de Jean de Pier
de Meuville :
Anne le Clerq, la femme de Jean Wathelet
Maroie, la femme de Michel le gros Henry
Maroie Massotte, la femme de Jean Gillet
Henry Picot, marréchal ferrant et échevin
Peronne, la femme de Henry le Cocqueau
la femme de Henry Vieux Jean
de Xhierfomont
Gillet Jean Antoine
N. Trodoux, la femme du grand Antoine
Jeanne Bastin, la femme d’Etienne Jean Marie
la femme de Louis Guillaume
la femme de Henry de Viez
du Moulin :
Gilson le Rossay, meunier et échevin
ainsi que 22 autres victimes dont le nom n’est pas connu.
La salle des fêtes du village.
Une statue de la Vierge située juste derrière une croix de bois, dans le petit parc arboré jouxtant le parking situé sur la route traversant le village. Elle a été placée en 2015.
Ce chêne pédonculé monumental situé devant l’église a été planté en 1630 lors de la construction de la nouvelle nef. Sa circonférence à 1.50 m mesurée en 2013 était de 6.36 m.