Cette ville touristique très dynamique qui s’étend dans une boucle de la méandreuse Semois date du 10è siècle et est célèbre pour son château-fort construit sous le duc Godefroid de Bouillon.
Cet arboretum a été créé en 1906.
Il comporte 150 espèces indigènes et exotiques.
Il s’agit de feuillus et de résineux.
Le Tsuga mertensiana est un des plus hauts de Belgique.
L’Abies grandis mesure quant à lui 48 m de haut.
Egalement quelques sapins originaires des Montagnes Rocheuses aux Etats-Unis.
Cette aire de barbecue située au gué du Han du Han peut accueillir jusqu’à 24 personnes.
Aire de barbecue pouvant accueuillir jusqu’à 24 personnes.
Ce belvédère date de 2001. Il est situé à 175 m au-dessus de la Semois, a une hauteur de 25 m et est accessible par 116 marches. La vue sur la ville s’étend au-delà jusqu’à la frontière française.
Chapelle dédiée à Notre-Dame de Walcourt érigée en 1880 par un particulier de Noirefontaine, en remerciement pour une grâce obtenue.
A l’intérieur, on peut y trouver 4 statues de saints guérisseurs :
Chapelle dédiée à Notre-Dame de Walcourt érigée en 1880 par un particulier de Noirefontaine, en remerciement pour une grâce obtenue.
A l’intérieur, on peut y trouver 4 statues de saints guérisseurs : Sainte-Apolline (contre les maux de dents), Saint-Donat (contre la foudre), Saint-Walfroy (contre les rhumatismes) et Sainte-Gertrude (contre les souris parasites).
Il s’agit d’un lieu de méditation reconnu.
Le chemin qui y mène depuis le Gué du Han du Han est dénommé Pazay du Han et a été aménagé en 1977.
Ce château-fort représente le plus ancien vestige de la féodalité en Belgique.
Sa construction est présumée au 8è siècle par Turpin, sous les ordres de Charles Martel.
Il se compose d’une tour d’Autriche de 1551, d’une tour de l’Horloge, d’un arsenal, d’une entrée avec inscription en l’honneur de Louis XIV de 1684, d’un pont-levis et d’un corps de garde du 17è siècle.
Construction présumée du château par Turpin, sous les ordres de Charles Martel.
Le château est transformé par Godefroid le Barbu.
Godefroid de Bouillon vend le château et son duché aux Princes Evêques de Liège afin de financer la première croisade.
Raymond de Bar prend le château par surprise mais il le perd la même année après un siège par le prince-évêque.
Le château est ravagé en grande partie par Louis de Nassau, au service de Charles V.
Le château est restauré par Vauban.
Le château est de nouveau restauré. Cette fois par Guillaume Ier.
Fin de l’occupation militaire du château.
La forteresse est déclassée par les autorités belges.
Après la bataille de Sedan, l’armée prussienne utilise des parties du château en tant qu’hôpital.
Cet édifice de style néo-classique mélangeant grès, schiste, calcaire et pierre de France a été construit en 1848 sur les plans de l’architecte Dumont. Il a été construit à l’emplacement du collège des Augustins.
Le bâtiment comporte une tour et 3 nefs de 7 travées.
Le chœur possède une travée droite. Il est fermé par une abside semi-circulaire sans fenêtre.
Le clocher de plan carré est sur deux niveaux. La partie basse comporte les cadrans d’horloge.
La flèche de plan octogonal est en ardoises.
A l’intérieur, à l’entrée, on y trouve des peintures qui évoquent l’épopée de Godfroid de Bouillon.
Sur les côtés, ce sont des peintures qui font part de l’évangile et de la vie de Jésus.
Une nouvelle statue de Saint-Eloi a été installée en 2017, à la place d’une autre devenue vétuste.
Ce monument a été érigé en mémoire de 3 Bouillonnais, fusillés par la Gestapo le 21 juillet 1944.
Ce musée a été aménagé dans l’ancien palais gouvernemental datant du 18è siècle.
Il présente une collection d’objets relatifs aux métiers de jadis pratiqués dans la région.
On y évoque (à l’aide de figurines, objets archéologiques et artistiques) des ducs de Bouillon et de la première croisade vers Jérusalem.
On peut y découvrir la reconstitution d’un intérieur ardennais.
On y trouve également une salle historique rassemblant toutes sortes de documents sur le vieux Bouillon, des monnaies, livres et gravures.
On peut y voir le bureau de Pierre Rousseau, qui en 1760 installa à Bouillon une imprimerie, une collection de coiffes féminines typiquement régionales ainsi qu’une
grande maquette du château fort tel qu’il se présentait au 12è siècle.
En outre : des armes de toutes sortes de la période 11è-15è siècle, un ensemble d’objets d’art byzantin et islamique, de la période 8è-13è siècle, une statue de Marie-Madeleine, une croix relique en émail, tous objets du 13è siècle.
Une collection d’oeuvre du peintre régional Albert Raty.
Le musée est ouvert : de 9:00 à 18:30 en avril, mai, juin, septembre et octobre.
En juillet et août : de 9:00 à 19:30
Cette table de pique-nique se situe près du très beau Pont de Cordemoy, avec vue sur le château-fort.
Une vaste aire de pique-nique au pied du château-fort.
Une vaste plage herbeuse en rive gauche de la Semois, en amont du Pont de France.
Une vaste plage herbeuse en rive droite de la Semois, juste en aval du Pont de la Poulie (ou Pont de Cordemoy), à l’ouest de Bouillon. Le pied du château-fort est situé juste de l’autre côté de la rivière.
Une aire de jeux dans un cadre somptueux.
Point de vue remarquable sur l’Abbaye de Cordemois.
Un point de vue remarquable sur la méandre de Buhan, à l’est de Bouillon.
Point de vue remarquable sur le Barrage à Aiguilles et le Bastion de Bretagne.
Un point de vue remarquable sur le Château de Bouillon.
Point de vue remarquable sur le Pic du Diable, formé par une boucle serrée de la Semois.
Ce pont en schiste de style gothique aux ogives brisées caractéristiques date de 1935 et permet d’atteindre l’Abbaye de Cordemois. Il est aussi appelé Pont de la Poulie.
Il franchit la Semois à l’ouest de la ville.
Son architecte fut Henri Vaes. Il a été construit à la demande de l’abbaye Notre-Dame d’Orval, afin de permettre le passage alors dévolu à un passeur d’eau, vers l’Abbaye de Clairefontaine.
L’Auberge de Jeunesse domine la ville et offre une vue imprenable sur la Semois et sur l’une des plus impressionnantes forteresses d’Europe.
Auberge située dans un ancien moulin du 17è.
Gîte à la ferme.