Lieu appelé aussi le "Couvent Vert" car il est le lieu supposé d’un couvent qu’aurait construit le seigneur de Montjoie au 14è siècle.
La route qui y conduit traverse quelques petites chênaies, restes de massifs boisés plus importants.
Ce lieu peut être le point de départ de promenades vers les Fagnes et le Rurbusch, les bois du Regenberg.
Ce camp militaire, situé à une altitude moyenne de 630 m, occupe une vaste zone qui sert de plaine de manœuvres pour les militaires. On y effectue essentiellement des tirs d’entraînement de l’artillerie.
A certaines périodes de l’année, des festivités sont organisées au camp et des visites de celui-ci sont alors possibles.
Pour se rendre au site classé du "Hohe Mark" (vieux taillis de hêtres), il est indispensable de s’adresser préalablement au syndicat d’initiative d’Elsenborn.
Le camp a été utilisé par les Allemands comme camp d’internement et de travail pour les soldats russes durant la seconde guerre mondiale.
Un petit cimetière à Nidrum perpétue le souvenir de ces hommes morts ici.
Le camp est créé sous le régime prussien.
Cette église a été construite en 1837 sur les plans de l’architecte Kastenholz,
à l’emplacement d’une chapelle datant du 17è siècle.
Cette tourbière est située en zone D (réserve naturelle interdite même avec guide), entre le Rurbusch et la Küchelscheider Wald.
Son appellation est à rapprocher du Schwarzbach qui coule 1 km au nord
Ce hêtre remplace un ancien arbre de plus de 200 ans, un arbre-repère pour la zone d’entraînement militaire aménagée en 1894 par l’empereur Guillaume II. 6 bornes de l’ancienne frontière Juliers-Luxembourg ont été plantées autour.
L’apparence du Truschbaum d’origine rappelait un bouquet de fleurs, probablement à l’origine de son nom.
Devenu très vieux, on a maintes fois tenté de le sauver mais une tempête en a finalement eu raison en janvier 1984.
Le nouveau date de novembre 1984. Le bourgmestre, le commandant du camp, les écoliers et instituteurs de l’école d’Elsenborn ont participé à la plantation.