Cette ville d’un peu plus de 5000 habitants en bord d’Ourthe, qui tire son nom de sa localisation proche de la confluence Ourthe-Amblève, est entourée de paroi rocheuses dont la plupart sont reprises au patrimoine exceptionnel de Wallonie.
La légende raconte que ce donjon a été habité par les seigneurs de Comblen au 12è siècle.
On les appelait les Rodjes Moussîs car ils étaient vêtus de rouge et faisaient partie de l'Ordre des Templi
La légende raconte que ce donjon a été habité par les seigneurs de Comblen au 12è siècle.
On les appelait les Rodjes Moussîs car ils étaient vêtus de rouge et faisaient partie de l'Ordre des Templiers.
Cette église a été construite en 1853.
On y trouve un vitrail dédié à l’Abbé Peters, résistant martyr de la seconde guerre mondiale.
Cette remarquable grotte calcaire karstique comporte un abîme de 22 m de profondeur. Elle permet de découvrir d’une manière ludique le monde souterrain.
Elle a été explorée en 1900. Elle fut ouverte au public en 1929.
On y a découvert des squelettes datant du Moyen-Age. Elle a servi de prison à cette époque !
La visite dure environ 1h.
Accès aux handicapés impossible : escalier de 600 marches. Prévoir un vêtement chaud.
Fermé l’hiver pour l’hibernation des chauves-souris.
Ce bâtiment à la façade en calcaire fut construit en 1850 pour le maréchal-ferrant L. Dalem. Le linteau sculpté de I’entrée représente des outils de sa profession.
Une autre maison du Roi Albert se situe le long de la route Comblain-au-Pont à Chanxhe.
Avec les années toutes deux ont subis des transformations.
Ce monument a été édifié en hommage et commémoration à l’Abbé Peters, curé de Comblain-au-Pont, résistant fusillé le 31 août 1943.
Monument érigé le 19 octobre 1919 et dédié aux morts des deux guerres mondiales.
La sculpture est signée Georges Petit.
Un musée qui fut inauguré en 1933 sous le nom de "Musée de Comblain-au-Pont".
En raison de l’importance de ses collections, il fut rebaptisé le 14 février 1961 en "Musée Ourthe-Amblève" et le 15 février 1977, il devint un musée communal.
L’édifice qui l’abrite porte deux dates : 1656 au-dessus de la porte d’entrée tandis qu’une porte du vestibule est datée de 1626.
Il s’agit d’un ancien couvent qui appartient à la commune.
Ce musée comprend trois sections consacrées à la préhistoire wallonne, à l’achéologie et à l’histoire régionale, et offre trois niveaux et une cave voûtée, et sert souvent de cadre à des expositions de prestige et originales.
Toutes ces collections concernent le folklore (vieux outils artisanaux, divers objets, etc), des fossiles.
Il y a aussi une bilbliothèque.
La légende raconte que ce rocher vient boire dans l’Ourthe lors des nuits de pleine lune. Son origine est due au reflets projetés dans la rivière par le sommet du pic.
Une table de pique-nique située juste derrière l’administration communale.
Une table de pique-nique au sein d’un sentier qui grimpe vers la tour.
Depuis ce carrefour belle vue sur Comblain-au-Pont et la Tour Saint Martin.
Une très belle vue sur Comblain-au-Pont et la vallée de l’Ourthe.
C’est ce pont a donné son suffixe à l’appellation du village.
Son origine remonte au 18è siècle. Il a été planifié par l’architecte Jean-François de Neufforge, né à Comblain en 1714 et décédé à Paris en 1791.
Il a été détruit à la révolution française.
Cette réserve naturelle est constituée d’un massif dolomitique remarquable.
Il y a 3 rochers bien distincts, vus de la vallée et de gauche à droite :
1) La Grande Face, appelée aussi Grande Falaise (totalement encombrée de végétation)
A la base s’ouvre l’entrée surbaissée du Trou de la Roche Noire ou des Lutons et/ou encore de La Cloche.
2) La Tête du Sphinx et/ou du Lion (A droite et un peu plus haut) dont la façade sud accuse 25 mètres de hauteur, la face nord de 10 à 15 mètres de haut est déversée et parsemée de nombreux trous
3) Le Gendarme (Encore un peu plus à droite dans le bois)
La végétation rare est composée de pelouses calcaires sèches et de boisements calcicoles.
Le site est sous la surveillance de la DNF et géré avec la collacoration de l’ASBL "Les Roches Noires".
Des excursions y sont régulièrement organisées par l’association Ardenne et Gaume. L’accès est libre sur les sentiers.
Deux voies ouvertes :
- face sud : La Tête du Sphinx qui se gravit obligatoirement et exclusivement sur coinceurs
- face Nord : Le Gruyère, assurance du haut
Végétation rare, pelouses calcaires sèches, boisements calcicoles.
Surveillé par la DNF et géré avec la collacoration de l’ASBL "Les Roches Noires".
Accès libre sur les sentiers, les visiteurs sont tenus de respecter le règlement du site en vigueur.
Un grand merci à Mr Vittoz, qui a complété cette fiche de précieux renseignements.
Il s’agit d’un massif vertical en calcaire.
Sa formation géologique particulière fait l’objet d’une controverse scientifique.
On a retrouvé au sommet des rochers les vestiges d’un village antérieur aux gaulois.
On y a retrouvé également des tranchées remontant aux guerres napoléoniennes contre l’Autriche, lors de la bataille de la Redoute.
Egalement des fortins datant de la seconde guerre mondiale attestant le lieu particulièrement stratégique.
La réserve naturelle des Roches Noires est située sur la localité de Comblain-au-Pont.
Elle fait partie du massif rocheux et forestier situé à mi-chemin entre Comblain-au-Pont et le village de Mont-Comblain.
La végétation rare est composée de pelouses calcaires sèches et de boisements calcicoles.
Le site est sous la surveillance de la DNF et géré avec la collaboration de l’ASBL "Les Roches Noires".
Des excursions y sont régulièrement organisées par l’association Ardenne et Gaume. L’accès est libre sur les sentiers.
Accès libre sur les sentiers, les visiteurs sont tenus de respecter le règlement du site en vigueur.
Cette stèle est dédiée aux morts de la première guerre mondiale. Elle comporte 11 noms et se situe sur la façade de l’école communale fondamentale.
Ce donjon féodal en moellons de grès date du 12è siècle. Il a été classé en 1933, dernier vestige du manoir des sires de Comblez. Il domine le village de Comblain-au-Pont. Dans la drève se dressent des tilleuls centenaires.
Des vestiges attestent qu’il existait déjà une nécropole à cet endroit avant l’édification de la tour.
La tour est entourée d’un vieux cimetière désaffecté qui offre une vue panoramique sur la ville.
La tour de fortification est édifiée.
Comblain retourne à l’abbaye de Stavelot.
Une seconde église est construite sur le site après l’abandon de la forteresse. Le donjon sert de tour à cette église.
La tour est classée comme monument.
Des fouilles sont entamées sur le site par la Région wallonne et la Fondation Roi Baudouin.
Les travaux de restauration de la tour sont terminés.
Ce home acceuillait des enfants placés par la justice à partir de 1975.