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Sy

Ferrières

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Ce pittoresque village en cul-de-sac majoritairement bâti en pierre calcaire, est lové dans une boucle de l’Ourthe. Petit mais touristique, il est desservi par une gare et entouré de rochers impressionnants.

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Les points d’intérêt de Sy

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chapelle

Chapelle Notre-Dame de Lourdes de Sy

Chapelle Notre-Dame de Lourdes de Sy
© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne
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Rue Principale
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Cette chapelle en moellons calcaires fut construite entre 1866 et 1872. Elle fut agrandie en 1902.
Les vitraux datent de 1912.

Elle a dépendu de la paroisse de Filot jusqu’en 1881, de l’Eglise de Ferrières jusqu’en 1914 puis de la paroisse de Vieuxville.

croix

Croix Bovy

Croix Bovy
© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne
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Route de Filot
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Christ en croix métallique sise entre deux arbres le long de la route peu avant le sentier de la Croix du Curé.

croix

Croix de la Chapelle de Sy

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Rue Principale
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Christ en croix un peu au delà de la chapelle.

croix

Croix du Curé

Croix du Curé
© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne
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Bois de Pierreux
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Meurtre d’un curé

Cette croix fut érigée en mémoire du curé de Xhignesse, assassiné en 1778.

Source : texte repris du panneau de présentation de la Croix du Curé sur la route de Sy

De toutes les histoires relatives aux évènements survenus dans la région, c’est celle du curé de Xhignesse qui a le plus frappé l’imagination populaire. Elle s’est littéralement imprimée dans l’âme de nos villageois. En voici un résumé qui, nous n’en doutons pas provoquera le désir de mieux connaître tous les détails de cette tragique affaire.

Au préalable, disons que Xhignesse conserve une vieille église d’architecture romane primitive. Ajoutons aussi que dans Xhignesse, Xhoris, "Xhavée", le x est muet et le h est très aspiré.

Ce récit est à lire de préférence dans le cadre sauvage qui a vu se dérouler cette pénible affaire, c’est à dire dans la Xhavée (ravin) de Corneva qui aboutit à la Roche Noire.

Un dimanche d’octobre 1778, Sire Evrard Deleau, curé de Xhignesse, en pénétrant dans son église, fut stupéfait de constater que de hardis et habiles cambrioleurs avaient emporté le Saint-Sacrement ainsi que tous les objets du culte présentant quelque richesse. Afin de célébrer la messe, il fallut faire prendre à la chapelle de Hamoir tout le nécessaire. Le pasteur informa ses ouailles et termina son émouvante allocution par ces mots: "Les loups ravisseurs sont aussi de fins renards. En disant cela, son regard se porta fortuitement vers les bancs des hommes où côte à côte, se tenaient les trois frères Renard: Gilles, Michel et Jean-Joseph. Il n’en fallut pas plus pour que des soupçons prissent naissance surtout que les Renard n’étaient guère prisés des villageois à cause de leur caractère énergique et violent parce que ils avaient assez bien réussi et que leur état suscitait la bien connue jalousie villageoise.

Les langues se délièrent et l’opinion publique tenait les auteurs du vol: les Renard. (Ceci s’avéra faux car les vrais voleurs furent arrêtés plus tard et avouèrent). Les trois frères furent tenus à l’écart et se rendirent compte de la suspicion dont ils étaient les victimes.

Un profond ressentiment s’ancra de plus en plus à leur coeur vis-à-vis du curé Deleau qui, cependant, avait eu l’obligeance de préciser en chaire ce qui n’avait été que coïncidence regrettable, mais néfaste par l’interprétation qu’en avait donné la vox populi. Les Renard, en exprimant leur reconnaissance, ne furent pas sincères et les sentiments d’hostilité ne s’atténuèrent pas ..... au contraire.

En ce temps là existait à Filot, comme dans beaucoup de villages à l’époque, une "brassin", brasserie banale que les particuliers louaient suivant les besoins des familles. Le 16 novembre 1778, les Renard aidés en cela par Simon Hubin et Louis Missoul, préparaient la bière à Filot. Comme le travail se faisait jour et nuit, les prestations étaient alternatives. Les deux ouvriers devaient reprendre leu travail à dix heures du soir après un repos de trois heures. Avant leur départ, ils virent Gilles et Michel se coucher sur la paille, s’envelopper de couvertures et prendre sur place, un repos bien mérité, tandis que Jean-Joseph se mettaient à l’oeuvre. C’était la préparation d’un alibi car sitôt les ouvriers partis, les faux dormeurs se levèrent et tirèrent d’une cachette deux mannequins parfaitement façonnés aux bonnets de coton bleu pareils aux leurs. Ils s’en allèrent par une porte de derrière.

A dix heures, les deux aides rentrèrent et Jean-Joseph, montrant les dormeurs demanda le silence. Une heure après, à un signal convenu, Jean-Joseph appela les aides à l’extérieur pour leur montrer .... une étoile à queue qu’ils ne virent pas, bien entendu, sinon les "traces" dans une ciel naturellement rouge annonciateur de malheur. Pendant ce temps, les mannequins avaient disparu pour faire place aux vrais dormeurs qui sitôt les aides rentrés, manifestèrent par de bruyants bâillements et de longs étirements, qu’ils sortaient d’un profond sommeil.

Le jour même - 16 novembre 1778 - le matin, avaient eu lieu à Bomal les funérailles du curé de l’endroit, Monsieur Debras. Son confrère de Xhignesse y officia puis, à l’issue du repas offert par la famille, il devait se rendre à Barvaux où à 17 heures, on l’attendait pour une affaire importante de domaine sacerdotal. Il avait prévenu sa soeur que son retour serait donc tardif. Dans un village tout se sait. Les Renard étaient au courant et ce soir là ... le Révérend Deleau ne rentra pas.

Deux hommes l’assaillirent dès son entrée au bois de Pierreux, le brutalisèrent à mort en disant: "Tiens pour des fins renards". La pauvre victime fut transportée dans la carrière abandonnée et soigneusement recouverte de pierres. Les Renard, Gilles et Michel, croyaient avoir à jamais enseveli leur forfait. Ils avaient d’ailleurs un alibi.

Le lendemain matin, Mademoiselle Deleau ameuta la population et des recherches commencèrent. Grâce au témoignage d’une petite fille de Vieuxville, on sut que le pasteur y était repassé dans la soirée et que le champ d’investigation se réduisait au trajet Vieuxville-Xhignesse. Les Renard, comme tous les habitants, se mirent très affligés, à la recherche du disparu. Gilles proposa de prospecter le terrain de façon méthodique par va-et-vient rectilignes et parallèles. Il choisit pour son groupe la direction de la carrière se proposant de la contourner pour s’y arrêter. C’est ainsi que la nuit venue, harassés mais non découragés les chercheurs décidèrent de continuer le lendemain, en direction de l’Ourthe car tous pensaient à un accident plutôt quà un crime. Les gens rentrèrent au logis accablés et fourbus pendant que les Renard se fixaient un rendez-vous pour le soir même dans le haut du bois de Pierreux pour exécuter un projet nouveau: transporter le cadavre et le jeter dans l’Ourthe en crue.

Un habitant de Hamoir-Lassus, Jean Sadoz, s’en allait tous les matins à la petite mine de Ville et s’en revenait le soir. Très poltron de nature, il s’était fait accompagner, ce jour-là, de son petit chien. Au retour, dans la nuit, Castor grogna au moment où ils arrivaient à la crête du Pierreux - Bois. Sadoz, qu’on connaissait mieux sous l’appellation de Jean-Jean, fit taire son chien et se blottit derrière un buisson. Un homme arriva et s’adossa au tronc d’un vieux chêne , deux autres survinrent peu après. Jean-Jean plus mort que vif s’efforçait de rendre son chien muet. Les trois hommes discutèrent et ainsi se firent reconnaître: c’étaient les Renard. Après quelques atermoiements suscités par le plus jeune, Gilles les convainquit de traîner le cadavre vers la Roche Noire et de l’y jeter dans l’Ourthe. L’aîné s’en vint couper quelques baguettes au buisson même qui cachait un Jean-Jean à la limite de l’évanouissement, il en fit une hart pour traîner le corps. Ils s’éloignèrent.

Après de longues minutes d’attente, Sadoz aperçut les trois hommes traînant la massa noire. Continuant son chemin après leur passage, Jean-Jean se mit à respirer plus normalement et son coeur battit moins fort. Pas pour longtemps, car Castor aboya, ce qui jeta l’effroi bien plus encore chez Sadoz que chez les Renard qui pensèrent à un cabot en braconnage.

En longeant la crête du ravin de Corneva, le voyageur nocturne devait revoir les tueurs au moment où ceux-ci, ayant aperçu un feu au confluent décidèrent de jeter le corps dans le torrent grossi par les pluies plutôt que de risquer d’être vus par les bateliers en difficulté qui se chauffaient et réparaient les avaries à la lueur du brasier. Pour les criminels, le but serait atteint car bientôt, pensaient-ils, l’Ourthe charrierait le cadavre que le torrent allait lui céder.

Jean-Jean rentra chez lui bien plus tard que d’habitude, plus poltron que jamais et bien décidé à ne jamais dire ce qu’il avait vu et entendu.

Les recherches continuèrent, la justice fut sur pied nuit et jour, tous les habitants de la régions étaient préoccupés de cette disparition mystérieuse.

Le timoré Jean-Jean craignait les Renard et aussi de n’être pas cru s’il parlait: n’était-il pas le seul témoin ? Sa conscience fut torturée, il en devint malade. Parfois, il voyait le fantôme de l’abbé Deleau lui reprocher son silence.

Un jour d’été, sa femme, ayant fait paître ses deux vaches et son veau dans un bois du chevalier de Donéa, fut prise sur le fait par un garde qui dressa procès-verbal. Elle n’en dit rien à son mari qui reçut, le lendemain, la visite du huissier porteur d’un papier timbré. Comme Jean-Jean ne savait pas lire, il pria l’homme de loi de lui en faire connaître le libellé. Aux premiers mots qui concernaient une comparution en justice, Jean-Jean s’écria éperdu: "Ah mon Dieu. Comment a-t-on découvert cela ; même ma femme n’en savait rien. "L’huissier, déconcerté, s’enquit: "Que dites-vous là ? De quoi s’agit-il ? - "Mais des Renard, n’est-ce pas. Sadoz comprit bientôt son erreur, il voulut parler d’autre chose, mais, pressé de questions, menacé, anéanti, il révéla son secret.

La justice s’en mêla. Devant l’état de santé de Jean-Jean et à cause de l’alibi des Renard, les gens de justice restèrent perplexes.

Jusqu’au jour où des curieux visitèrent encore le ravin de Corneva. Le torrent était presque à sec. Au pied d’une cascade dans le bassin que les eaux formaient dans leur chute, on découvrit le corps de l’abbé Deleau la soutane était encore entourée de la hart de coudrier.

C’était le condamnation à mort des frères Renard.

Le 2 août 1780, la haute cour de Stavelot Malmedy (à laquelle ressortissait Hamoir comme faisant partie du comté de Logne) décrétait que les Renard seraient après supplices, attachés une croix de St André, pour y avoir avec une barre de fer, les bras, cuisses et jambes brisés, et après y avoir resté un quart d’heure sur icelle, étranglés, jusqu’à ce que mort s’ensuive, puis détachés et leurs cadavres tirés sur roue et y être attachés à la chaîne pour servir d’exemple aux bons et de terreur aux méchants.

Le lendemain, la sentence fut exécutée à Florihez près de Malmedy.



Au cours d’une promenade, amis lecteurs, vous découvrirez au bois de Pierreux la croix du curé de Xhignesse dont vous connaissez la fin tragique. Le temps use la pierre, l’inscription s’efface lentement.

"O vous qui passez, priez pour le repos de l’âme de feu le Révérend Sire Everard Deleau, curé de Xhignesse, qui fut icy proditoirement attendu, assailli et assommé le 16 novembre 1778. R.I.P.".

chapelle

Grotte de la Vierge de Lourdes de Sy

Grotte de la Vierge de Lourdes de Sy
© CC BY-SA 3.0 Jean Housen
adresse
Rue Principale
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Cette grotte a été façonnée derrière l’église de Sy en remerciement de diverses guérisons. Une statue de la Vierge se trouve dans un encart de la falaise jouxtant la chapelle.

bâtisse remarquable

Maison éclusière de Sy

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Route de Luins
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Cette bâtisse, située sur un talus la protégeant des inondations, date du 16è, du temps où l’Ourthe est naviguée par les « Out’leus » (navigateurs de l’Ourthe) et leurs « bètchètes » (embarcation à f

Cette bâtisse, située sur un talus la protégeant des inondations, date du 16è, du temps où l’Ourthe est naviguée par les « Out’leus » (navigateurs de l’Ourthe) et leurs « bètchètes » (embarcation à fond plat et disposant d’un renforcement métallique de son fond ainsi qu’une proue très relevée).

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Monument Richard Heintz

Monument Richard Heintz
© CC BY-SA 3.0 Jean Housen
adresse
Rue Richard Heintz 3
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Ce monument est dédié à la mémoire du peintre impressionniste liégeois, surnommé "Le Maître de Sy", né le 25 octobre 1871 à Herstal.

plaine de jeux

Plaine de jeux du Bati

Plaine de jeux du Bati
© CC BY-SA 3.0 Jean Housen
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Rue de Luins
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Une plaine de jeux le long de l’Ourthe.

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point de vue

Point de vue de Nandouire

Point de vue de Nandouire
© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne
adresse
Route de Vieuxville
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Une vue générale sur le hameau de Sy au-dessus d’un rocher abrupt : le Rocher de Nandouire.

point de vue

Point de vue du Rocher de la Cathédrale

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Un point de vue sur l’Ourthe sur le promontoire du Rocher de la Cathédrale.

rocher

Rocher de la Cathédrale

adresse
Sy
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Ce rocher fut gravi pour la première fois en 1930 par le Roi Albert I et Xavier de Grunne.

rocher

Rocher de la Vierge Noire

Rocher de la Vierge Noire
© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne
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De ce rocher étaient jetés les condamnés dans l’Ourthe.

Jadis lorsqu’une personne était condamnée à être pendue, elle était attachée par les pieds et les mains avec le visage couvert pour être jetée dans l’Ourthe depuis le sommet. Rare était le rescapé.
Une autre définition qui est tout aussi croyable est que les bateliers, à l’époque imploraient la Vierge afin de ne pas avoir de soucis en ce lieu à cause des forts remous. Son nom devrait venir suites aux terribles drames qui se sont déroulés en cet endroit. En amont de ce point, la rivière fait un coude et, avant l’exécution des travaux de dérivation pour l’établissement de la voie ferrée, les eaux venant se briser contre la base du rocher creusaient par leur tourbillonnement un gouffre profond et dangereux ; c’est le gouffre noir qui avait la réputation d’avoir englouti beau nombre d’embarcation et de cadavres et qui à ainsi fait naître cette légende et le nom de rocher.
Une statue de la Vierge fut placée là par les bateliers qui y voyaient ainsi le moyen d’exorciser les méfaits du courant en cet endroit.
La Vierge actuelle date de 1989 et placée par les propriétaires du lieu afin d’y continuer la présence.

Source : Edmond RAHIR dans son livre « Promenades dans les vallées de l’Amblève et de l’Ourthe » Librairie J. Lebègue 1899.

rocher

Rocher Richard Heintz

Rocher Richard Heintz
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Rocher du Sabot
Ce rocher vit le 26 mai 1929 la chute et le décès du célèbre peintre.
Un panneau commémoratif est placé à l’endroit de la chute.

La plus petite ville du monde dans son écrin de nature
L’Ourthe de Melreux-Hotton à Hamoir en passant par Barvaux, Bomal, Logne, Sy et Verlaine. L’Aisne de Blier à sa confluence avec l’Ourthe. Le Val de la Lembrée avec Ferrières et Vieuxville. Sans oublier le site mégalithique de Wéris.

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L'Ourthe de Durbuy à Comblain-au-Pont
Sur les hauteurs de l’Ourthe qui serpente dans toute la région du sud au nord, de nombreux villages typiques, plus pittoresques et historiques les uns que les autres, se nichent sur ses hauteurs.

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