Une source d’eau minérale ferrugineuse à donné son nom à ce hameau au fond de la vallée du Ruisseau du Pouhon. Sa toponymie provient du wallon "pouhî" qui signifie puiser. L’industrie du fer y était très prospère du 15è au 17è siècle.
Cette aire de barbecue couverte du Syndicat d’Initiative de Harzé est utilisable SUR RÉSERVATION.
Il est nécessaire d’aller chercher et de ramener les grilles.
Une caution peut être demandée pour leur prêt.
Cette chapelle en moellons de calcaire contient une grande statue de la Vierge Marie.
Cette chapelle fut construite en 1524 par Colienne de Neufforge, à deux pas du ruisseau "La Lembrée" au cœur d’une végétation luxuriante.
Pouhon est alors le centre d’une industrie métallurgique florissante.
Le sanctuaire est élevé pour répondre à l’accroissement incessant de la population du village.
Chaque année, en novembre, la fête de la St-Hubert y est célébrée avec faste.
Une ferme pédagogique équestre, élevage de pures races espagnoles, hébergement pour chevaux. Leçons, stages, équitation adaptée,...
Cette source fut captée dans les années 1950 et exploitée par la famille Desmet.
Il y avait, à l’époque une dizaine d’ouvriers, et l’eau embouteillée s’appelait " Dharze".
Source d’eau minérale naturelle gazeuse, d’une pureté et d’une légèreté sans pareilles. Cette eau est recueillie dans des installations de captage ultra-modernes, qui donnent à l’eau de source DARZE une garantie supplémentaire de qualité. La composition des minéraux et les gazs naturels qu’elle contient, font de la DARZE la plus digestive des eaux de source. La double capsule hermétique garde la DARZE vive et pétillante... jusqu’à la dernière goutte !"
Cette usine fut fermée dans les années 1980 suivant diverses législations.
La source elle même appartiendrait, actuellement, au groupe Spadel.
Le terme "pouhon" provient du wallon "pouhî" signifiant "puiser". Le pouhon est une source d’eau minérale pouvant être ferrugineuse ou saline ou bien encore alcaline ou sulfureuse.
Cette source, se
Cette source, selon son importance donne parfois naissance à un ru, voire même à un ruisseau. C’est le cas dans le Bois du Pouhon à Harzé, là où est établie dans un écrin de verdure la mystérieuse chapelle Sainte-Anne ...
La construction de la chapelle remonte au 16è siècle (1524). Il faut savoir qu’au 15è siècle déjà, l’industrie du fer était une activité très répandue à différents endroits du territoire de la commune d’Aywaille. De nombreuses forges et fourneaux virent le jour dans plusieurs villages et plus précisément là ou coulait l’eau nécessaire à leur fonctionnement (les soufflets servant à activer les feux des fourneaux étaient actionnés au moyen d’une roue hydraulique).
Avec le développement de toutes ces activités, les populations s’étaient densifiées aux alentours de Harzé, Nonceveux ou encore Quarreux et souhaitaient disposer d’un lieu de culte afin de satisfaire à leurs obligations chrétiennes.
Le maître des forges, Collienne de Neufforge, dit "des Pouhons", avait établi ses ateliers le long de ce ruisseau. Cet écuyer, seigneur de Warge et de Crossée, était un industriel puissant qui possédait plusieurs établissements C’est lui qui prit l’initiative de faire construire la chapelle tant réclamée.
Quelques fondations de murs sont encore visible depuis le chemin allant de la chapelle au site de barbecue.