Ce village situé à 5 km au sud de Bastogne, aux confins du bassin Rhénan, était déjà habité au 3è siècle avant Jésus-Christ, par une tribu celte ou germanique appelée les Sègnes, entourés des Eburons et des Trévires.
Le village est habité par une tribu celte ou germanique : les Sègnes, entre celle des Eburons et celle des Trévires. Ceux-ci vivent de la forêt, de l’élevage et de la culture de terres essartées.
La seigneurie de Losange, village tout proche, est citée pour la première fois.
La seigneurie de Losange est acquise par l’abbaye de Stavelot sous l’empereur Henri III et la prélature de l’abbé Poppon.
Le duché de Luxembourg est constitué.
Le Duché de Luxembourg est cédé aux États Bourguignons à la suite d’endettements successifs.
On trouve la première trace écrite faisant mention de Lutrebois, dans un registre de 1469 appelé le Chasse-ménages de la prévôté de Bastogne. Ce dernier a été dressé pour le Duc de Bourgogne, Charles le Téméraire.
Il est fait mention dans une lettre de Jospeh Kawet, d’un franc homme (possédant un fief libre de toute servitude) du village.
François de Vaulx, le prévôt de Bastogne, achète les droits seigneuriaux à Losange. La seigneurie se compose alors des hameaux de Lutrebois, Watrange, Harlange, Boulaide et Livarchamps.
La région est annexée par la France. Losange, Villers-la-Bonne-Eau, Lutremange, La Haye, Chiversoux, Remoifosse et Livarchamps quittent la mairie de Hotte pour former avec Lutrebois, séparée alors de Doncols, une mairie autour de Villers-la-Bonne-Eau.
Le traité dit des XXIV articles prévoit la scission du Luxembourg.
Le traité de Londres rend la scission du Luxembourg effective. Lutrebois intègre la nouvelle Province belge de Luxembourg avec Arlon comme chef-lieu et Bastogne comme arrondissement.
Alors que Lutrebois fait partie de la commune de Villers-la-Bonne-Eau, cette dernière fuisionne avec Bastogne. Son dernier bourgmestre est le comte Patrick d’Udekem d’Acoz.
Cette chapelle rectangulaire à pans coupés compte une sacristie située du côté sud du chœur ainsi qu’un un jubé au-dessus du hall d’entrée.
Une petite chapelle est mentionnée sur le flanc nord au centre du village.
La chapelle est fermée sous l’occupation napoléonienne.
Le village quitte la juridiction ecclésiastique du diocèse de Metz pour rejoindre celle de Namur.
La chapelle est réhabilitée suite à l’indépendance de la Belgique.
Une chapelle plus grande est construite sur le flanc sud, toujours au centre du village.
Les peintures sont réalisées.
L’annexe de la sacristie est terminée.
La chapelle est détruite suite à l’offensive des Ardennes.
Les vitraux sont replacés avec la participation du fond des dommages de guerre.
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Ce gîte situé dans le domaine de Renval offre une capacité de 66 lits.