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3 hameaux gravitent autour de ce village autrefois commune : Faweux, Pouhon et La Levée. Il est situé à environ 1500 m de la rive gauche du Ruisseau du Pouhon, un affluent de la Lembrée.
Comme on le retrouve dans de nombreux toponymes locaux, une "heid" désigne une terre en pente parsemée de bruyères.
L’industrie du fer prend beaucoup d’essor dans la vallée du Ruisseau du Pouhon.
Le village est cité pour la première fois.
Une chapelle est construite dans le village.
La chapelle fait place à une église.
L’église est restaurée pour la première fois.
Le village est incendié et un civil est pendu.
L’église subit une seconde restauration.
Premier café avec un téléphone public.
Le village est électrifié.
L’eau alimentaire est reliée au village.
Ernonheid, alors commune regroupant Faweux, Pouhon et La Levée, passe sous l’égide d’Aywaille lors de la fusion des communes.
Cet arbre se situe au pied de la Croix Saint-Christophe.
Cette croix forestière comporte un chronogramme traduisant sa date à travers des chiffres romains.
Cette église contient une fresque exceptionnelle de l’artiste local Pierre Petit, représentant le Lac de Tibériade sur 40 m², la barque menacée par les flots, la tempête apaisée.
Elle a été construite en 1921 à la place d’une ancienne chapelle qui datait elle-même de 1666.
Une chapelle est construite à Ernonheid.
Elle acquiert le droit de posséder des fonts baptismaux et d’y célébrer les sépultures.
Elle est consacrée en l’honneur de Saint-Joseph.
L’église est détruite durant la guerre.
L’église est rebâtie telle qu’actuellement. Seule l’ancienne tour subsiste.
Il s’agit du bâtiment de l’ancienne école communale de Ernonheid, avant janvier 1977.
Il a été reconverti en salle équipée pouvant accueillir 100 personnes.
Ce monument est dédié aux soldats morts de la première guerre mondiale. Il a été inauguré le 10 juillet 1932.
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