Dans le petit parc arboré situé derrière la chapelle Sainte-Brigitte se trouve ce barbecue avec une table de pique-nique.
De cette ferme de taille moyenne isolée subsiste la façade principale en moellons réglés de grès rose et calcaire.
Elle date du début du 19è.
Cet édifice rectangulaire en moellons de calcaire entouré de tilleuls a été bâti en 1834 grâce à la générosité de Jean-François Kerres et de Marie-Elisabeth Pelzer.
À l’intérieur, on peut y voir une représentation des apôtres datant du 18è siècle et des statues baroques de Saint-Roch et de Sainte-Geneviève.
Cette chapelle en moellons calcaires dans un petit parc arboré a été reconstruite en 1749. Elle est surmontée d’un clocheton et d’une croix en fer forgé.
Ces deux longs bâtiments de ferme parallèles est entouré de douves sur 3 côtés. Ce château a été construit au 14è siècle. Guillaume de Hirtz a fait construire le massif donjon actuel carré à deux niveaux en moellons de grès.
Ce bâtiment en moellons rehaussé de briques possède un remarquable portail d’entrée datant du 16è siècle. Il est flanqué de tourelles circulaires assez massives.
Cette vaste habitation de plaisance isolée dans un pré date de la seconde moitié du 18è siècle. Elle a été construite à l’emplacement d’un château-fort de plaine (Wasserburg) dont il subsiste encore quelques traces.
Cette potale baroque du 18è siècle en calcaire est installée au centre d’une petite place fleurie. Elle repose sur un socle carré sous une chapelle au fronton courbe.
Cette potale en calcaire formée d’une niche baroque au fronton bombé date du milieu du 18è siècle.
Le fronton porte l’inscription : "CASPAR VILVOY / 17. CATHARIN HAMMEL.54".
Ruisseau qui va se jeter dans le Die Weser puis dans le Lac d'Eupen.
Cette vaste bâtisse également appelée Château de Merols. Elle est prolongée par une ferme carrée remarquable.
La "Hooghuis de Merols" est un simple château-fort de plaine (Wasserburg en allemand).
Le manoir appartient à Bauduin Crummel et il le lègue à sa fille.
Il est vendu à la famille de Belven.
La famille de Belven vend le manoir à Henri de Carsfeld.
La fille de Laurent de Meuth, qui avait reçu le manoir du second mari de l’épouse de Henri de Carsfeld, vend le manoir à André de Waldenburg. Il est à l’origine du château actuel puis il en fait don à son frère qui lui donne son patronyme.
Le manoir appartient à Nicolas-Jean de Hodiamont (1745-1930). Il le remanie et en embellit les abords.
Le château appartient aux familles de Résimont, puis Keller, ensuite Franssen de Cortenbach.