Cette chapelle dédiée à Notre-Dame de Bon Secours date de 1708 et se situe dans un site classé en 1963.
Elle est bordée de deux tilleuls vénérables.
Cet édifice, qui remplace un bâtiment plus ancien démoli en 1780, a été consacré le 10 septembre 1845.
Les orgues de l'église furent restaurées en 1992, sous l'égide de H. Schonbroodt, professeur d'o
Cet édifice, qui remplace un bâtiment plus ancien démoli en 1780, a été consacré le 10 septembre 1845.
Les orgues de l'église furent restaurées en 1992, sous l'égide de H. Schonbroodt, professeur d'orgue au Conservatoire de Bruxelles.
Il s’agit d’un lieu où les magistrats locaux rendaient justice. Cette place de la justice était déjà signalée au 11è siècle.
Les noms des rues tchinâ, tronleû, vôye di lêwe… des centres al tour, li mostî, et autres lieudits tchèfosse, â batch, tchafor… évoquent la vie au village autrefois.
En 860, l’Empereur Lothaire II d
Les noms des rues tchinâ, tronleû, vôye di lêwe… des centres al tour, li mostî, et autres lieudits tchèfosse, â batch, tchafor… évoquent la vie au village autrefois.
En 860, l’Empereur Lothaire II donnait des revenus à l’église de Sprimont. Il donne « La Tour » ou maison forte de Sprimont, embryon du futur château, à l’abbaye de Stavelot.
Cette forteresse n’était autre que Neufchâteau-sur-Amblève qui devait jusqu’à la fin, en 1578, constituer la défense militaire de Sprimont. Cette forteresse était plus ancienne que Sprimont même, car en 741, Griffon, fils de Charles Martel y fut enterré.
Le portail d’entrée est surmonté d’une pierre datée de 1642 et porte les armoiries de l’Etat dont dépendait Louveigné (principauté abbatiale de Stavelot).
Un loup figure sur une pierre.
Histoire du ban de Sprimont par Paul BAAR et
Patrimoine Monumental de Belgique
Louveigné, terre abbatiale liée à l'Abbaye de Stavelot-Malmedy, disposait de sa propre cour de justice.
De 1795 à 1815, sous le régime français, Louveigné était une commune et un canton judiciaire du
Louveigné, terre abbatiale liée à l'Abbaye de Stavelot-Malmedy, disposait de sa propre cour de justice.
De 1795 à 1815, sous le régime français, Louveigné était une commune et un canton judiciaire du département de l’Ourthe.
Un tribunal de justice de paix siège toujours à Louveigné.
Château construit en 1881.