Cette ancienne croix en bois est située au sommet d’un col d’une altitude de 554 m.
Les bûcherons construisaient autrefois des fours pour fabriquer le charbon de bois. Certains cratères dans la forêt témoignent encore de cette pratique.
Cette croix est implantée au milieu du Bois Saint-Jean.
Dans un muret, cette croix funéraire en schiste très décorée a été placée à la mémoire de Bertrand Chalon, décédé en 1825.
Cette bâtisse construite en longueur, en moellons de grès peints, a été construite probablement dans la 1è moitié du 19è siècle à partir de matériaux de réemploi du 17è siècle.
Cette chapelle est située juste à côté de l’ancien moulin, aujourd’hui reconverti en gîte.
Cette chapelle funéraire néo-gothique en moellons de grès et pierres de taille calcaires, située au fond du cimetière, a été construite à la fin du 19è siècle.
Cette chapelle a été donnée à la fabrique d’église en 1960.
Un petit édifice en grès et briques avec une croix au dessus de la porte d’entrée.
Une petite chapelle de plan rectangulaire en moellons de grès et de schiste à l’est du village. Le toit est en ardoises artificielles. Elle date de la fin du 19è siècle.
Ce château somptueux privé est serti au cœur du domaine de Bois Saint-Jean, un écrin de plus de 600 ha de forêts. Il est visible depuis la route Wibrin - Les Tailles.
Cette entreprise a été créée en 1993 par Yves Lemaire et son épouse Anita, passionnés de chocolat.
Dans un muret, cette croix funéraire en schiste très décorée a été placée à la mémoire de Bertrand Chalon, décédé en 1825.
Cet édifice classique en moellons de grès date du milieu du 18è siècle. Il dépendait du chapitre de Saint-Jean l’Évangéliste, à Liège sous l’Ancien Régime, depuis le 12è siècle.
Cette grande église paroissiale de style néo-gothique a été reconstruite en 1871 sur les plans de l’architecte Bouvrie. Elle a été restaurée en 1953 par l’architecte E. Godin. Le mobilier est de style néo-gothique contemporain.
Un site stratégique pour réguler la dynamique régionale d’espèces végétales remarquables.
Cette ancienne ferme perpendiculaire néo-classique en schiste blanchi est millésimée 1881 sur sa grille d’entrée.
Le jet de ce bac-fontaine joliment fleuri en pierre provient de la bouche d’un gros poisson. L’explication nous donne l’origine du toponyme Samrée, rey signifiant ruisseau et sam signifiant saumon.
Ce monument est dédié aux victimes de la seconde guerre mondiale. De part et d’autre du monument sont inscrits 24 noms de personnes tuées entre mai 1940 et janvier 1945.
Ce monument situé juste à côté de l’église est dédié aux héros des deux guerres ainsi qu’aux victimes civiles de la seconde guerre mondiale.
Ce monument a été érigé en l’honneur de quatre soldats tués du bataillon : John T. Graham, Everett. W. Christensen, Isaac Suhon et John McMahon.
Une placette arborée avec deux tables de pique-nique, même munies de coussins ainsi qu’une petite charmille font tout le charme de cette entrée du village.
Une table de pique-nique en retrait du village, à la lisière de la forêt, non loin du Moulin de Bérismenil.
La plaine de jeux du village.
Cette maison en moellons de schiste et de grès, de style néo-classique, entouré d’un mur, date de 1863. La petite dépendance qui sert de garage avec un ancien fenil date des années 1950.
Accès : Autorisé toute l’année.
Pendant la période de la chasse, du 21 septembre au 31 décembre, le sentier est inaccessible les jours de battue et pendant les périodes d’affût. Voir les affichettes au point de départ.