Cette croix millésimée à la fin du 16è ainsi qu’en 1777, est située à une altitude de 333 m.
Elle est située sur une ancienne voie qui reliait Mongwy à Montmédy.
Les habitants les plus pauvres de Torgny venaient s’y recueuillir pour l’angélus.
La croix a été vendue en 1936 par le curé de Torgny, pour payer les frais du tricentenaire de la chapelle de l’ermitage de Torgny.
Elle fut retrouvée des années plus tard chez un carrier de Saint-Mard puis remise à son emplacement d’origine.
Son nom provient des terrains communaux laissés en occupation aux habitants du village.
Une famille y a recueilli un enfant qui avait été abandonné au pied de la croix. C’est pourquoi elle fut également appelée la "Croix Jamin-Poupart", du nom de cette famille.
Ce calvaire élevé en 1832 à l’initiative de Jean-Baptiste Lhommel, a servi plus tard de sépulture à deux artilleurs francais, tués entre Couvreux et Montquintin durant la 1è guerre mondiale. La croix de bois a été remplacée en 1978.
Ce calvaire du 18è siècle a vraisemblablement été érigé par Etienne Danloup et Odile Genin, la fille du meunier de Radru, en remerciement d’une grâce accomplie : l’arrivée d’un enfant. C’étaient des tenanciers de cabaret au village.
Croix érigée en mémoire à la mission prêchée en 1935.
Ces manifestations et processions étaient destinées à attirer les fidèles par leur côté grandiose.
Cette croix fut érigée en 1746 sous deux tilleuls remarquables, en mémoire de F. Demasep.
Première croix menant à l’ermitage, elle était déjà mentionnée sur la carte Ferraris datant de 1771.
Une petite croix en bois posée sur un socle en béton, proche de la Chapelle du Bonlieu.
Une aire de barbecue en pleine forêt, dans la vallée du Radru, entre Torgny et Lamorteau.
Fontaine en fonte placée en 1866, sur décision du conseil communal.
Elle remplace une fontaine légèrement plus ancienne (1859) suite à un dysfonctionnement de cette dernière.
Elle est munie de 4 bor
Le culte à Notre-Dame de Luxembourg remonte à 1636, date de l’épidémie de la grande peste, où les 2/3 du village succombèrent à la maladie.
Cette chapelle a été construite en 1636, à la suite d’une grave épidémie de peste. La promesse est faite d’y faire chaque année une procession.
Elle est dédiée à Notre-Dame de Luxembourg, consolatrice des affligés.
Ce calvaire du 18è siècle a vraisemblablement été érigé par Etienne Danloup et Odile Genin, la fille du meunier de Radru, en remerciement d’une grâce accomplie : l’arrivée d’un enfant. C’étaient des tenanciers de cabaret au village.
Croix érigée en mémoire à la mission prêchée en 1935.
Ces manifestations et processions étaient destinées à attirer les fidèles par leur côté grandiose.
Cette croix fut érigée en 1746 sous deux tilleuls remarquables, en mémoire de F. Demasep.
Première croix menant à l’ermitage, elle était déjà mentionnée sur la carte Ferraris datant de 1771.
Cette église de style néo-roman est dédiée à Saint-Martin de Tours, reconstruite en 1948 par l’architecte Joseph Remy d’Arlon.
Cette église, construite en 1860, a permis aux paroissiens d’éviter de se rendre à la messe à Rouvroy, le lieu étant souvent inondé.
Cette construction particulière s’est faite sous l’égide de Dominique Schmit, un pieux laïc qui l’a construite pour compenser un sentiment de culpabilité.
Cet ancien lavoir est composé d’une charpente en bois datant de 1901.
Il a été classé le 29 avril 1982.
Habitée autrefois par la famille de Franque, on raconte que cette maison aurait dû accueillir le roi de France Louis XVI lors de sa fuite après la Révolution française, mais avant, celui-ci fut arrêté le 20 juin 1791 à Varennes-en-Argonne.
Cet ancien moulin sur le Radru, long de 9 km, est devenu un gîte touristique.
Cette aire de pique-nique comportant plusieurs tables est située juste à l’entrée de la réserve naturelle Raymond Mayné.
Cette réserve naturelle d’une superficie de 6 ha porte le nom du passionné qui découvrit la première cigale. Son exposition au sud a permis le maintien d’une flore et d’une faune à caractère méditerranéen.
Ouvert tous les jours de 13:30 à 17:30, sauf le lundi
Fermé le dimanche du 1 octobre au 31 mars
Ce vignoble est cultivé sur un sol calcaire granuleux et orienté au sud en profitant d’un microclimat chaud et sec.