La tour carrée de cette église remonte au 11è siècle. Sa flèche élancée est de section octogonale. Elle contient plus de 30 sculptures polychromes aux coloris très vifs.
Selon la légende, un comte de Salm, rentrant de croisade, a interprété le refus de son cheval de franchir un ruisseau, comme un signe divin. Il a donc fait bâtir une chapelle dans le village le plus proche.
L’intérieur est particulièrement coloré et lumineux.
La tour carrée a été bâtie après la première croisade (1100).
Il existe déjà une église St-Pierre à Beho. Ceci est confirmé par une bulle signée par le pape Jean XXII en Avignon.
L’église menace de ruines. Il est décidé de reconstruire la nef au même emplacement en réutilisant les matériaux d’origine. Cette date est gravée au-dessus de la porte d’entrée du sanctuaire ainsi que, croit-on, les armoiries des comtes de Salm.
Les pièces principales du mobilier sont sculptées en bois de chêne par Maître Jean Georges Scholtus de Bastogne (dont il ne reste aujourd’hui qu’une piéta).
Les dates sont martelées et rendues presque indéchiffrables par les sans-culottes français.
Un incendie ravage l’église. L’architecte Maurice Robert, de Gouvy, prévoit un plan de rénovation. Il est concrétisé par Louis Marie Londot, de Namur, qui lui donne son aspect polychromique caractéristique.
Le rénovation débute.
La rénovation est achevée.
Cette église est originale par sa tour à trois niveaux, en mœllons gréseux, terminée par un bulbe ardoisé campanulé (en forme de cloche).
Cette église remarquable avec son clocher bulbeux, aux allures un peu orientales est l’œuvre de l’architecte Cunibert, qui a construit de nombreux édifices religieux dans les Cantons de l’Est.
Cette église en moellons (17è) incorpore des parties plus anciennes. Elle a été citée une première fois en 1131.
La tour est d’origine romane.
Cette propriété de chasse à courre a été construite en 1880 sur un domaine de plus de 80 ha, contenant un grand lac de ± 5 ha, traversé par plusieurs ruisseaux.
Cette église remarquable avec son clocher bulbeux, aux allures un peu orientales est l’œuvre de l’architecte Cunibert, qui a construit de nombreux édifices religieux dans les Cantons de l’Est.
Cette église en moellons (17è) incorpore des parties plus anciennes. Elle a été citée une première fois en 1131.
La tour est d’origine romane.