Cette ferme pédagogique en moellons de calcaire produit du beurre, du lait, de la glace et du fromage.
L’architecture est de type semi-clôturé.
La cour intérieure pavée est accessible par un porche-colombier datant du 18è siècle.
La ferme est bâtie. Elle appartient vraisemblablement à l’Abbaye de Stavelot.
Le porche-colombier est ajouté.
Les bâtiments et dépendances agricoles sont remaniés.
Ce Collège épiscopal, classé partiellement en 1979, a été fondé par Adélard de Roanne, avec l’appui de l’abbé de Stavelot. Son nom ancien Bernardfagne proviendrait du premier ermite Bernard.
Ecole communale de My.
Cette ferme du 18è siècle est bâtie en moellons de calcaire. La porte est en anse de panier de briques et la toiture est en ardoises.
Une ferme du 19è siècle partiellement clôturée. En contrebas se trouve un étang. Il s’agit probablement d’une ancienne dépendance de l’Abbaye de Bernardfagne.
Ce bâtiment carré en moellons calcaire date des 18è et 19è siècles. Il est attenant au château Ange Wibin-Gillard et comporte 4 ailes.
Cette ferme est datée de 1795 par ancres.
Cette gentilhommière a été construite probablement à la fin du 16è siècle. Elle est dotée d’une façade de deux niveaux élevée en moellons de calcaire au rez-de-chaussée et en briques à l’étage.
Cette bâtisse en moellons de calcaire avec un toit en ardoise, date du 19è siècle et a été agrandie vers 1915-1917.
La porte centrale est accessible par un perron.
Avant la fusion, ce bâtiment comprenait également l’école communale.
Cette maison en moellons calcaires date de la seconde moitié du 18è siècle.
Elle a été bâtie sur un noyau plus ancien qui date du 17è siècle.
Cet ancien moulin sur la Lembrée en moellons de grès schisteux chaulés est couvert d’une bâtière de chèrbins (ardoises très épaisses en forme d’écaille).
Il est entré en activité au 17è siècle et les a cessées à la 2è guerre mondial
Ce moulin dont la date de construction demeure inconnue était déjà considéré comme très ancien en 1826 !
La salle des fêtes du village.
Une croix en fer portant un Christ peint en blanc qui s’élève devant l’ancienne poste du village sur un muret en pierre de taille. Elle est millésimée 1768.
Une ancienne croix en bois de rogations, peinte en blanc et ne comportant plus de Christ.
Cette croix en fer forgé a été élevée en 1840 à la fin de l’exploitation du minerai de fer dans la région.
Cette église de style pseudo-gothique a été reconstruite en 1878 et achevée en 1881, d’après les plans de l’architecte J. Rémont. Le clocher qui était en mauvais état a été remplacé par une structure légère en inox.
Ce jardin clos restauré à l’initiative de l’association locale Qualité-Village-Ferrières situé à côté de l’église Saint-Martin contient plusieurs croix et monuments funéraires en fonte et en calcaire remarquables.
Cette bâtisse en moellons de calcaire avec un toit en ardoise, date du 19è siècle et a été agrandie vers 1915-1917.
La porte centrale est accessible par un perron.
Avant la fusion, ce bâtiment comprenait également l’école communale.
Ce monument est dédié aux morts de la première guerre mondiale.
Ferrières est jumelé avec Chablis en Bourgogne-Franche-Comté (France) depuis le 28 juin 1964. Ce monument a été placé à l’occasion du cinquantième anniversaire du jumelage. La petite place de Ferrières porte d’ailleurs son nom.
Ce monument où s’élève une grande statue de Jésus a été élevé en 1922 par la paroisse de Ferrières, en reconnaissance de ce qui a été épargné durant la première guerre mondiale.
La Place s’appelait, jadis « Li Pieri ». En 1823, elle porte le nom de « Li Bâti », pour être actuellement Place de Chablis.