Les façades de cette maison sont classées depuis 1988. C’est la plus imposante et la plus élégante du village.
De 1920 à 1978, elle a abrité une pharmacie. C’est ainsi que l’appellent toujours les habitants du village.
Des annexes bordent la cour qui la précède du côté oriental.
Probablement bâtie sur le site de l’ancienne demeure des seigneurs de Reuland : en effet, à l’intérieur, on remarque des traces de constructions plus anciennes, ainsi qu’un âtre monumental.
La longue façade à double corps, percée de sept travées qui éclairent les deux niveaux.
Au centre : le portail richement sculpté dans le schiste ardoisier est peint en gris clair, comme les encadrements des fenêtres, taillés dans la même pierre.
Les façades sont enduites en blanc.
Les armoiries de la famille d’Orley et date, sculptées sous l’accolade couronnant la baie d’imposte de la porte ont été repeintes.
Toit à la mansart, aujourd’hui couvert d’ardoises, est percé de deux petites lucarnes.
Pierre armoiriée rappelle le souvenir de Johan Jacob von Orley (1672-1747) et de son épouse Maria Anna von Stein (décédée en 1743).
Ferme en moëllons d’arkose qui enserre une cour intérieure datant de 1765 et classée depuis 1978.
Cette vaste habitation précédée d’un porche formait autrefois un ensemble regroupant une boulangerie, une chapelle et des dépendances agricoles. Elle date du 18è siècle. On l’appelle aussi le Vieux Château de Commanster.
Maison construite au XXème siècle pour accueillir le Préposé des Eaux et Forêts (DNF) dans la surveillance et la gestion du domaine sylvicole environnant.
Cette bâtisse appartient à la Région Wallonn
Cette vaste demeure en crépi blanc, située en rive gauche de l’Ulf, est caractérisée par son arvo (passage couvert), qui mène depuis le centre du village au Ravel de la ligne 47.
Cette construction a été édifiée sur des bases anciennes profondément transformées.
L’étang qui s’étend derrière le moulin permet une petite promenade.
Cet ancien prebytère a servi jadis d’école en 1899. Il ferma ses portes 1970 car la population scolaire était inférieure aux normes légales.
La Société de Musique y trouva refuge pendant quelques années.
Château des von Reuland, famille célèbre depuis le 12 ème siècle.
Auparavant, des fortifications avaient déjà été édifiées à cet endroit suite à l’invasion des Normands et des Hongrois aux 9è et 10è siècles.
La chapelle est un édifice classé et restauré, à l’aspect grandiose.
Son cimetière, ceint d’un mur, entoure l’église avec panorama sur la vallée.
Ce n’est qu’en se rapprochant que l’on prend conscience de ses petites dimensions.
Cet édifice a été construit en 1759 à la place d’une autre chapelle datant de 1666. Il a été pourvu d’une tour au 19è siècle.
Il est situé au cœur du petit village disposé à flanc de coteau. Il forme ici un cirque ouvert sur la vallée de
Cette chapelle date de 1907. Elle est dédiée à Saint-Quentin.
Elle comporte une nef à deux travées. Sa toiture est en ardoises et elle est surmontée d’un clocheton à cheval.
Cette grande demeure en moellons de schiste est revêtue de crépi blanc.
Comme en attestent des chronogrammes apposés au-dessus des portails d’entrée côté cour et côté jardin, sa construction da
Cette croix de chemin en pierre de taille est dédiée au sacré Cœur de Jésus.
Cette église paroissiale fut construite en 1771, caractérisée par sa flèche bulbeuse. Elle fut agrandie en 1912.
Eglise en moëllons chaulés comportant des vitraux voûtés et un clocher à 2 pans.
Cette vaste demeure en crépi blanc, située en rive gauche de l’Ulf, est caractérisée par son arvo (passage couvert), qui mène depuis le centre du village au Ravel de la ligne 47.
Visite gratuite
Ancienne école.
Livres, photographies, extraits de journaux se rapportant à l’écrivain.
Fermé les jours fériés.
Visites guidées sur demande un jour à l’avance, pour groupe de
Cet abri en bois recèle une table de pique-nique. Il offre une très belle vue sur la vallée du Reelerfurtbach, un sous-affluent de l’Our.
Cette table est située le long du Ravel de l’ancienne ligne 47, à l’extrémité nord du village.
Une petite statue de la Vierge Marie abritée dans une niche au sommet du talus.
Cette zone a été acquise par l’organisation de conservation de la nature Natagora en 2004. Son entretien est assuré par la mise en pâturage de bovins durant l’été.