Cette ancienne ferme et ancien moulin banal fut acheté en 1597 à Marie de Harzé.
Il était alimenté par le Ruisseau d’Insegotte.
Ferme et ancien moulin banal des Gottes ou d’lnsegotte. Moulin acheté en 1597 à Marie de Harzé, Roland des Gottes, son mari et Béatrix leur fille par I’abbaye de Stavelot. La banalité s’étendait aux habitants de Grand-Trixhe, Werbomont et Bosson.
Ce n’est que vers 1600 que les manants de ces hameaux purent se rendre au moulin de Bosson, nouvellement construit.
A I’origine, le moulin des Gottes était activé directement par le ruisseau d’lnsegotte. Un étang artificiel fut creusé pour Ia régularisation du cours d’eau.’ll existait un important moulin à farine implanté au nord et un plus modeste destiné à la mouture plus grossière de l’orge, aujourd’hui disparu.
En contrebas de la route, ensemble regroupant, en ordre dispersé, des bâtiments élevés en moellons aux 18è et 19è siècle. Remaniements pour les dépendances.
Au nord-ouest, beau logis homogène 18è en moellons essentiellement de grès ferrugineux
assisés sous bâtière de cherbins à croupettes.
Source : Patrimoine Monumental de Belgique.
Cet ancien moulin a été transformé en laiterie.
Cet ancien moulin à grains, en pierre, remonte à 1631. Il a été remanié en 1704 et en 1896.
Il est alimenté par le Ruisseau de Fy.
Cet ancien moulin, construità partir du 18è, a fonctionné jusque dans les années 1950.
L’origine de ce moulin à grains, bâti en pierres et à deux étages, remonte à 1536.
Le Moulin de la Lembrée a été rénové et est utilisé comme maison de vacances.
Cet ancien moulin à grains en pierre a été construit en 1454.
La meule est maintenue sous un vieux chêne.
Cet ancien moulin à grains en pierre date de 1483. A l’origine, il s’agissait d’un moulin à écorces.
Cet ancien moulin à grains en pierre a été construit en 1634. Il fut restauré en 1742 après un incendie.
Il est resté en fonctionnement jusqu’en 1939.
Statue de la Vierge abritée dans un petit monument en pierre comportant l’inscription :
"Reconnaissance à Marie, Reine de l’Univers 1948".
Cette chapelle a été construite en 1954.
Elle fut déplacée dans les années 1970 pour faire place à un rond-point.
Cette chapelle de style ogival date de 1868.
Son origine est liée au manoir, qui possédait vraisemblablement une chapelle castrale.
Elle contient une ancienne pierre tombale : celle de Jean Everard,
Cette chapelle date de 1878. Sous un plafond plat centré d’un ombilic en stuc, deux pilastres de maçonnerie supportent une table d’autel en pierre.
Cette chapelle reste un lieu de pèlerinage fréquenté par les gens atteints de maladies des yeux. L’édifice est moderne, il date de 1832, et fort simple un petit bâtiment en moellons calcaire avec parements en pierres de taille.
Cette chapelle néo-romane en briques et en calcaire jouxte le Tilleul des Lognards. Elle date de 1862.
Le chronogramme indique : "Salnte Barbe I a La Mort aCCorDez-noUs / Votre proteCtion".
Ce vaste complexe architectural comprend le château, le parc, la chapelle St-Etienne, un ancien cimetière, le colombier du 17è siècle et une ferme castrale semi-clôturée avec dépendances du 18è.
Demeure de style éclectique en pierres et colombages édifiée en 1850 et présentant plusieurs parties distinctes.
Centre de vacances "Vacances vivantes" ASBL (Groupes de 20 personnes minimum).
Potale de 19è sur tronc du tilleul.
Christ en croix.
Christ en croix située près de la borne fontaine.
Cette potale en calcaire comporte une croix en fer date du milieu du 19è siècle. L’inscription qu’elle comporte est : "S. M. DEDIEU PRIEZ POUR NOUS, NOUS QUI AVONS RECOURS A VOUS 18A V M"
Un Christ en croix au pied d’un hêtre.
Cette croix d’occis en calcaire, érigée en mémoire de Jean-Joseph Chevron décédé à l’âge de 23 ans, date de 1850.
Croix de style baroque datant de 1788, située à l'ombre d'un vieux tilleul.
Elle repose sur une base récente en moellons.
Cette potale haute en calcaire date du milieu du 19è.
Croix érigée à la mémoire de J.T. Senni et de Marie-Louise Mercier décédés en 1844 à Filot.
Cet édifice en moellons calcaires date de 1531.
Il fut vraisemblablement bâti à la place d’un bâtiment plus ancien d’origine romane.
Cette église de style roman a été reconstruite en 1971.
Elle est caractérisée par des murs très épais.
Ses fenêtres et ses voûtes sont en arc de plein cintre.
Ferme en L en moellons calcaires qui date du 18è.
Cette ferme du 18è siècle est bâtie en moellons de calcaire. La porte est en anse de panier de briques et la toiture est en ardoises.
Cette ferme en moellons de grès et de calcaire possède une pierre aux armes millésimée 1750 de François de Faymonville, prieur de Bernardfagne (Saint-Roch).
Une ferme du 19è siècle partiellement clôturée. En contrebas se trouve un étang. Il s’agit probablement d’une ancienne dépendance de l’Abbaye de Bernardfagne.
Cette ferme est datée de 1795 par ancres.
Cette borne-fontaine date du 19è.
Elle marque comme d’autres les traces du passage de Saint-Remacle.
Elle est alimentée par un chantoir, une cavité naturelle dans laquelle s’engouffre l’eau.
Fontaine (19è) composée de trois auges et d’un massif quadrangulaire de calcaire, orné d’une moulure et terminé en pyramide.
Cette gentilhommière a été construite probablement à la fin du 16è siècle. Elle est dotée d’une façade de deux niveaux élevée en moellons de calcaire au rez-de-chaussée et en briques à l’étage.
Quatre gîtes dans une ferme d'élevage bovin et de culture.
Cette ferme perpendiculaire en moellons de grès et calcaire date de la fin du 18è siècle. Elle appartenait à l’abbaye de Stavelot.
Cette bâtisse a été construite en 1868. Elle servit jusqu’au 1 janvier 1977 d’ administration communale et d’école primaire. Actuellement transformée en musée de la Vie Rurale.
Cette maison en moellons de calcaire date de 1782.
Bâtiment en moellons calcaires qui date de la seconde moitié du 19è.
Ce bâtiment, qui date de la seconde moitié du 19è est élevé en moellons de calcaires.
Cette maison en moellons de grès et de calcaire date de 1774.
Groupe de maisons en moellons calcaires datant des 17è et 19è siècles.
Il fut légué en 1735 par Henry-Louis de Harre et sa sœur au desservant de la chapelle de Filot.
Maison de maître en pierre calcaire avec tour.
Cette habitation en moellons calcaires date du 3è quart du 18è siècle.
Certaines maisons de ce quartier remarquable, pour la plupart en moellons, datent du 17è. D’autres ont été bâties au 19è.
A l’entrée de l’allée du Château de Ville, il commémore les résistants PACCHIOTTI Louis et RENAVILLE Alphonse qui ont été fusillés à cet endroit par les Allemands le 9 septembre 1944.
Monument dédié aux combattants des deux guerres.
Monument à la mémoire des combattants de Xhoris tués au combat durant la 1è guerre mondiale.
Constitué grâce à la générosité des habitants de Xhoris, ce musée a été inauguré le 21 décembre 1975 dans la maison qui était autrefois la maison communale de Xhoris, avant la fusion des commune.
Xhoris est fusionné avec Cleurie.
Le jumelage a eu lieu le 27 juillet 1964.
Une table de pique-nique sous les tilleuls, en sortie du village.
Cette potale date de 1756.
Cette petite potale est située au coeur du hameau.
Cette habitation en retrait de la rue, en moellons de grès et de calcaire, dans une petite cour encadrée de murs en moellons de grès, date du second tiers du 19è siècle.
Cette stèle fut édifiée lors du 30è anniversaire de la libération des camps en 1975.
Cet arbre séculaire a été classé par arrêté royal le 5/11/1965.
Ce tilleul fait partie des arbres ayant une croyance certaine : un arbre à clous.
Tilleul plus que centenaire le long de la voirie menant de Filot à Xhoris.