Large point de vue vers Verleumont au premier plan puis vers Arbrefontaine et le parc éolien du Lambiester.

Point de vue sur la vallée de la Salm et Salmchâteau.

Cette vaste plateforme d’orientation semi-circulaire se trouve au devant d’un panorama époustouflant sur la vallée de la Lienne.

Un abri en blocs de béton muni d’un banc, à la croisée de chemins forestiers.

Un ancien bac-abreuvoir en deux parties en pierre de taille.

Un vaste abri équipé de plusieurs bancs de pique-nique ainsi que d’un barbecue à disposition du public.
Une rotonde pouvant accueillir 25 personnes est également disponible sur réservation au 080 31 95 86.

Bibliothèque du réseau inter-prêt de Verviers.

Ce calvaire du 18è siècle est constitué de 14 stations d’architecture rustique. Elle aboutit à une chapelle carrée avec un autel et une statue de la Vierge. La croix qui s’y trouve date de 1736.

Cette chapelle située au centre de la localité est fermée par une grille en fer forgé.

Cette chapelle en pierre de schiste blanchi se trouve à l’extrémité du chemin de croix. Sa toiture est en ardoises locales (cherbins) et sa porte d’entrée trouée d’un cœur comporte un arc en plein cintre.

Cette chapelle située au carrefour de la Rue du Centre, du Pont de Lienne et de la Rue de la Gare date du milieu du 19è siècle.

Cette chapelle crépie et au toit en herbins (ardoises) est datée de 1922. Elle est munie d’un clocheton carré de forme octogonale. On y a ajouté deux annexes.

Une croix en bois dotée d’une toiture à deux pans, juchée sur le promontoire d’un muret en schiste.

Une croix de bois avec un Christ en bronze adossée au mur d’une maison.

Une croix de chemin en bois renforcée par un encerclement en fer forgé.

Une petite croix en bois apposée sur le mur blanchi d’une maison.

Un Christ en croix de bois sur un pignon de bâtisse.

Cette église néo-romane au clocher bulbeux date de 1961, après la destruction de l’ancien sanctuaire (avec des vestiges du 7è siècle) lors de la bataille des Ardennes. Elle contient une châsse de Saint-Symètre datant du 12è siècle.

Après Saint-Antoine, qui fut patron de la chapelle dès 1589, ce fut Saint-Maurice qui eut l’honneur de prendre sa place en 1620.
Ce n’est qu’en 1628 qui la paroisse d’Arbrefontaine fut érigée.

Cette construction néo-romane, entourée du cimetière, d’architecture mosane typique du 11è, a été bâti de la seconde moitié du 19è siècle à la place d’une ancienne chapelle.

Cet hôpital dédié aux soins de santé mentaux a été fondé en 1884.
Il est désormais appelé "L’Accueil".

Ce monument dessiné par l’architecte J. Bourguignon de Spa et réalisé par O. Devechis de Lierneux est dédié aux morts des deux guerres.

Une table de pique-nique située au cœur du hameau.

Une table de pique-nique dans un recoin de la route menant à Regné.

Ces pistes parallèles de ski alpin sont situées à 510 m d’altitude. Elles ont respectivement une longueur de 600 et 800 m. 2 téléskis sont disponibles. Il y a aussi 3 pistes de ski de fond.

Une passerelle constituée de grandes dalles sur le Ruisseau d’Arbrefontaine, un affluent de la Lienne.

Vestige de l’ancienne ligne vicinale qui reliait autrefois Lierneux à Vielsalm sur 15 km. Ouverte en 1904, le transport de bois de mine constituait son essentielle exploitation. Elle subsista jusqu’en 1958 et fut démontée en 1963.

Cette réserve naturelle d’une superficie de 85 ha est gérée par la DNF. Il s’agit d’un site de grand intérêt biologique composé de prairies humides, de pâtures, de morceaux de forêts marécageuses, de résineux et de peupleraies.

Cette réserve située à une altitude de 375 m longe la rive droite du Ruisseau d’Arbrefontaine, un affluent de la Lienne, au sud du village d’Odrimont. Cette prairie humide est liée à la nature argileuse du sol où 3 mares ont été creusées.

Ce restaurant propose une cuisine exotique provenant d’un grand nombre de pays, intégré au sein du centre de loisirs "Vally of shangri-lah".

Une ancienne gare construite en pierres locales, située sur la ligne 499 du tramway vicinal SNCV et qui a relié Lierneux et Vielsalm entre 1904 et 1958. Il s’agissait de l’unique dépôt de la ligne.