Cette église qui date de 1857, construite sur les plans de Cordonnier, architecte provincial, habitant à Neufchâteau, remplace une petite église du 18è siècle devenue vétuste.
La chapellenie des Hayons est érigée en paroisse et ne dépend dès lors plus de Bellevaux.
Un nouveau presbytère est construit. Il est payé par les autorités communales et la remise par le baron de Moffarts.
Une horloge payée par Victor Body, de La Cornette, qui était à l’époque ingénieur au Congo est ajoutée à l’église.
L’église est partiellement détruite par la foudre.
L’église est restaurée et acquiert deux nouvelles cloches.
Les villageois fêtent le 150è anniversaire de l’église. L’office est célébré par le curé Jean-Marie Wilmotte, par le doyen Monseur et l’abbé Arnould.
Cette église est dédiée à Saint-Florent, le nom du constructeur du château de Dohan, Florent Lardenois de Ville.
Au départ chapelle castrale, elle a été transformée en église en 1817.
Cette église en pierres blanchies et harpée en beige-jaune aux angles a été construite en 1832. Une sacristie est venue s’y ajouter en 1937 qui est l’œuvre de Bacq-Laroche, architecte de Neufchâteau.
Auberge située dans un ancien moulin du 17è.
Cette aire de barbecue située au gué du Han du Han peut accueillir jusqu’à 24 personnes.
Une aire de barbecue construite en 1977 par les scouts d’une école d’architecture de Liège pouvant accueillir jusqu’à 12 personnes.
Cette chapelle abritant une grotte date de 1900. Elle a été restaurée en 2005. Un Sacré-Cœur en fonte datant de 1922 a été dérobé en 2002 et a été remplacé par une Sainte-Vierge en 2003.
Ce château date de 1619.
Il possède une importante porte cochère dont le fronton porte les armes de la famille Duchesne de Ruville, qui fut propriétaire du château jusqu’à la Révolution française.
Cette église est dédiée à Saint-Florent, le nom du constructeur du château de Dohan, Florent Lardenois de Ville.
Au départ chapelle castrale, elle a été transformée en église en 1817.
Une table de pique-nique le long de la Semois, au croisement du Mont de Zatrou et de la Rue de la Vannette.
Point de vue remarquable sur une longue boucle de la Semois et la Roche Percée.
La légende raconte qu’au pied de cette roche s’ouvre un trou et qu’un ermite l’aurait occupé. Il s’y serait livré à son inquiétante et horrible passion : l’étranglement de vierges.
Cette paroi rocheuse remarquable est située à une altitude de 315 m.
La légende raconte qu’un berger vit un jour comment les sorcières, au temps du sabbat, s’élançaient dans l’air depuis le faîte de cette roche.
Cette statue est encastrée dans un rocher, à la confluence du Ruisseau des Aleines avec la Semois, près de l’ancienne forge du Maka.