Cette statue de la Vierge s’élève sur un muret en moellons de calcaire. Elle est entourée d’un arceau décoré de roses.
Cette chapelle en grès d’ardoises est caractérisée par un porche soutenu par des colonnes en bois.
Elle a été inaugurée le 6 août 1944 avec pour vocation d’offrir un lieu de culte aux habitants du village, durant la 2de guerre mondiale.
Une petite chapelle en moellons de calcaire, située au carrefour entre Lognoul et le Houpet. Elle est millésimée 1897 et a été bâtie par le forgeron Michel Chabot qui habitait à côté.
Cette chapelle date de 1954. Elle porte plusieurs dénominations suivant qu’on désigne le propriétaire ou les localisations.
Cette petite chapelle dédiée à Notre-Dame des Pauvres a été inaugurée par Monseigneur Kerkhofs, évêque de Liège, le 14 novembre 1954.
Cette chapelle de style ogival date de 1868.
Son origine est liée au manoir, qui possédait vraisemblablement une chapelle castrale.
Elle contient une ancienne pierre tombale : celle de Jean Everard,
Cette chapelle en pierres badigeonnées à la chaux est couverte de grosses ardoises des Forges (Chevron). Elle a été citée en 1868.
Cette petite chapelle arrondie en moellons de grès date de 1935. Elle comporte un portail garni de roses et possède des vitraux façonnés par un maître-verrier liégeois.
Un barbecue couvert avec plusieurs tables de pique-nique dans un parc situé le long de la voirie bordant la Réserve Naturelle de la Picherotte.
Un barbecue public en retrait de la route, avec plusieurs tables de pique-nique.
Une zone de barbecue avec des tables de pique-nique.
Un belvédère qui offre un très beau panorama sur la région de Ferrières.
La salle des fêtes du village.
Cette chapelle en grès d’ardoises est caractérisée par un porche soutenu par des colonnes en bois.
Elle a été inaugurée le 6 août 1944 avec pour vocation d’offrir un lieu de culte aux habitants du village, durant la 2de guerre mondiale.
Une petite chapelle en moellons de calcaire, située au carrefour entre Lognoul et le Houpet. Elle est millésimée 1897 et a été bâtie par le forgeron Michel Chabot qui habitait à côté.
Cette petite chapelle dédiée à Notre-Dame des Pauvres a été inaugurée par Monseigneur Kerkhofs, évêque de Liège, le 14 novembre 1954.
Cette chapelle en pierres badigeonnées à la chaux est couverte de grosses ardoises des Forges (Chevron). Elle a été citée en 1868.
Cette petite chapelle arrondie en moellons de grès date de 1935. Elle comporte un portail garni de roses et possède des vitraux façonnés par un maître-verrier liégeois.
Vaste propriété familiale du 17è comprenant une demeure d’inspiration néo-romane et plusieurs dépendances du 17è et 18è siècle.
Château en grès brun du 19è à 3 niveaux, coiffé d’une bâtière à croupes recouverte de herbins, percée de 3 lucarnes à frontons et piquée de 3 épis.
Cette croix porte un Christ torsadé, sur une croix de bois avec un pied peint en brun, forgé par René Maquoi d’après un modèle fourni par la famille Billy.
Le tout est fixé sur une croix de bois avec un pied peint en brun.
Une croix en fer portant un Christ peint en blanc qui s’élève devant l’ancienne poste du village sur un muret en pierre de taille. Elle est millésimée 1768.
Une croix de dévotion en bord de route et à l’entrée du bois, qui fut recueillie et replacée par Pierrot Dethier en 1982.
Une croix en bois portant un petit Christ en fonte noir, au carrefour de trois chemins.
Les conscrits étaient des gens dont les territoires furent conquis durant les guerres napoléoniennes, au début du 19è, et qui étaient enrôlés dans son armée.
Cette croix, située au carrefour des routes Ferrières - Saint-Roch et Rouge Minière - Grimonster date de 1828.
Une ancienne croix en bois de rogations, peinte en blanc et ne comportant plus de Christ.
Cette croix d’occis qui s’élève dans le talus est dédiée à L. Eloi, décédé à cet endroit le 22 septembre 1858.
Cette croix en fer forgé a été élevée en 1840 à la fin de l’exploitation du minerai de fer dans la région.
Cette croix en pierre de taille est dédiée au garde-champêtre Victor Lamer, tué par un coup de feu à cet endroit le 18 octobre 1928 à minuit, à l’âge de 66 ans.
Cette potale date du 19è siècle et a été récemment restaurée. Elle est caractérisée par sa niche de plein cintre. Elle renferme une petite Vierge à l’Enfant en fonte.
Cette église contient une fresque exceptionnelle de l’artiste local Pierre Petit, représentant le Lac de Tibériade sur 40 m², la barque menacée par les flots, la tempête apaisée.
Cette église de style pseudo-gothique a été reconstruite en 1878 et achevée en 1881, d’après les plans de l’architecte J. Rémont. Le clocher qui était en mauvais état a été remplacé par une structure légère en inox.
Cette ferme du 18è siècle est bâtie en moellons de calcaire. La porte est en anse de panier de briques et la toiture est en ardoises.
Cette ferme pédagogique en moellons de calcaire produit du beurre, du lait, de la glace et du fromage.
L’architecture est de type semi-clôturé.
La cour intérieure pavée est accessible par un porche-colombier datant du 18è siècle.
Deux anciens bacs-abreuvoirs en briques située le long du Chemin de la Fontaine.
Cette fontaine à auge basse est construite sous 2 marroniers (1832).
Le massif quadrangulaire de calcaire est surmonté d’une urne de fonte.
Cette gare se situait sur la ligne de tram vicinal reliant Melreux à Comblain-la-Tour.
Cette gentilhommière a été construite probablement à la fin du 16è siècle. Elle est dotée d’une façade de deux niveaux élevée en moellons de calcaire au rez-de-chaussée et en briques à l’étage.
Ce jardin clos restauré à l’initiative de l’association locale Qualité-Village-Ferrières situé à côté de l’église Saint-Martin contient plusieurs croix et monuments funéraires en fonte et en calcaire remarquables.
Il s’agit du bâtiment de l’ancienne école communale de Ernonheid, avant janvier 1977.
Il a été reconverti en salle équipée pouvant accueillir 100 personnes.
Cette bâtisse en moellons de calcaire avec un toit en ardoise, date du 19è siècle et a été agrandie vers 1915-1917.
La porte centrale est accessible par un perron.
Avant la fusion, ce bâtiment comprenait également l’école communale.
Ce monument est dédié aux soldats morts de la première guerre mondiale. Il a été inauguré le 10 juillet 1932.
Ce monument est dédié aux morts de la première guerre mondiale.
Ce monument est dédié aux personnes fusillées le 7 septembre 1944 à Grand Trixhe.
Ce monument est dédié à la mémoire de personnes du village tuées en septembre 1944.
Monument dédié à Suzanne Boscheron, Josette Petit et Hortense Swinnen.
Ferrières est jumelé avec Chablis en Bourgogne-Franche-Comté (France) depuis le 28 juin 1964. Ce monument a été placé à l’occasion du cinquantième anniversaire du jumelage. La petite place de Ferrières porte d’ailleurs son nom.
Ce monument où s’élève une grande statue de Jésus a été élevé en 1922 par la paroisse de Ferrières, en reconnaissance de ce qui a été épargné durant la première guerre mondiale.
Monument commémoratif en pierre avec plaque de cuivre et inscription "A Marcel LAUNOY qu’a tchanté nosse payis 1881-1944".
Cet ancien moulin sur la Lembrée en moellons de grès schisteux chaulés est couvert d’une bâtière de chèrbins (ardoises très épaisses en forme d’écaille).
Il est entré en activité au 17è siècle et les a cessées à la 2è guerre mondial
Ce musée est établi dans un hôtel de maître datant du début du 20è siècle.
Il possède une collection de plus de 1000 jouets datant de la fin du 19è aux années 50.
Une table de pique-nique au cœur du petit village.
Une table de pique-nique près d’une petite rotonde au pied d’un beau point de vue sur Ferrrières.
La Place s’appelait, jadis « Li Pieri ». En 1823, elle porte le nom de « Li Bâti », pour être actuellement Place de Chablis.
Un point de vue sur la région de Ferrières.
Ce très ancien poteau indicateur en fonte datant de la fin du 19è siècle. Il est juché sur une haute base octogonale et couronné d’une pomme de pin.
Cette réserve naturelle ornithologique privée d’intérêt scientifique date de 1976 et s’étend sur 106 hectares.
Elle est composée d’un parc, d’un bois composé essentiellement de feuillus et de quelques pâturages.
Anciennes prairies humides de fauche au milieu d’une zone essentiellement forestière.
Un bas-marais à jonc épars et à sphaignes occupent les zones les plus marécageuses.
La flore, très hygrophile,