Une croix en fer portant un Christ peint en blanc qui s’élève devant l’ancienne poste du village sur un muret en pierre de taille. Elle est millésimée 1768.
L’originelle croix en fonte a été brisée en 1789 lors de la révolution française par les sans-culottes. Elle a été réparée par le forgeron Warzée au fourneau de Férot, là où bien d’autres croix du 18è siècle de la région furent confectionnées.
D’après les registres communaux de Bra, elle fut placée en mémoire d’une histoire tragique où suite à un cambriolage, la propriétaire qui voulut récupérer son bien en poursuivant le voleur à travers les campagnes environnantes fut tuée par ce dernier. Puis ce fut ensuite le voleur qui fut tué à son tour par le beau-frère de la victime lors de l’altercation.
Ces deux croix posées à l’ombre de deux pins et d’un chênes datent du 19è siècle.
Cette croix porte un Christ torsadé, sur une croix de bois avec un pied peint en brun, forgé par René Maquoi d’après un modèle fourni par la famille Billy.
Le tout est fixé sur une croix de bois avec un pied peint en brun.
Une croix de dévotion en bord de route et à l’entrée du bois, qui fut recueillie et replacée par Pierrot Dethier en 1982.
Ce Christ en croix sur socle calcaire et pierres mémoires commémore la mort de professeurs et d’élèves durant la guerre.
Une croix en bois portant un petit Christ en fonte noir, au carrefour de trois chemins.
Une croix élevée dans un petit monument et près de laquelle sont plantés des hêtres séculaires. Elle date de 1880.
Les conscrits étaient des gens dont les territoires furent conquis durant les guerres napoléoniennes, au début du 19è, et qui étaient enrôlés dans son armée.
Cette croix en fer est surplombée d'une anse métallique reposant au sommet de deux marches en béton au pied du talus.
Cette croix, située au carrefour des routes Ferrières - Saint-Roch et Rouge Minière - Grimonster date de 1828.
Une ancienne croix en bois de rogations, peinte en blanc et ne comportant plus de Christ.
Croix en calcaire.
Cette croix d’occis qui s’élève dans le talus est dédiée à L. Eloi, décédé à cet endroit le 22 septembre 1858.
Cette croix en fer forgé a été élevée en 1840 à la fin de l’exploitation du minerai de fer dans la région.
Cette croix en pierre de taille est dédiée au garde-champêtre Victor Lamer, tué par un coup de feu à cet endroit le 18 octobre 1928 à minuit, à l’âge de 66 ans.
Christ sur croix de bois dans une haie le long de la voirie.
Croix érigée à la mémoire de J.T. Senni et de Marie-Louise Mercier décédés en 1844 à Filot.
Cette potale date du 19è siècle et a été récemment restaurée. Elle est caractérisée par sa niche de plein cintre. Elle renferme une petite Vierge à l’Enfant en fonte.
Cette grotte artificielle est consacrée au Cœur immaculé de Marie.
Cette petite potale est située au coeur du hameau.
La salle des fêtes du village.
Une ancienne croix en bois de rogations, peinte en blanc et ne comportant plus de Christ.
Cette croix en fer forgé a été élevée en 1840 à la fin de l’exploitation du minerai de fer dans la région.
Cette église de style pseudo-gothique a été reconstruite en 1878 et achevée en 1881, d’après les plans de l’architecte J. Rémont. Le clocher qui était en mauvais état a été remplacé par une structure légère en inox.
Cette ferme pédagogique en moellons de calcaire produit du beurre, du lait, de la glace et du fromage.
L’architecture est de type semi-clôturé.
La cour intérieure pavée est accessible par un porche-colombier datant du 18è siècle.
Ce jardin clos restauré à l’initiative de l’association locale Qualité-Village-Ferrières situé à côté de l’église Saint-Martin contient plusieurs croix et monuments funéraires en fonte et en calcaire remarquables.
Cette bâtisse en moellons de calcaire avec un toit en ardoise, date du 19è siècle et a été agrandie vers 1915-1917.
La porte centrale est accessible par un perron.
Avant la fusion, ce bâtiment comprenait également l’école communale.
Ce monument est dédié aux morts de la première guerre mondiale.
Ferrières est jumelé avec Chablis en Bourgogne-Franche-Comté (France) depuis le 28 juin 1964. Ce monument a été placé à l’occasion du cinquantième anniversaire du jumelage. La petite place de Ferrières porte d’ailleurs son nom.
Ce monument où s’élève une grande statue de Jésus a été élevé en 1922 par la paroisse de Ferrières, en reconnaissance de ce qui a été épargné durant la première guerre mondiale.
Ce musée est établi dans un hôtel de maître datant du début du 20è siècle.
Il possède une collection de plus de 1000 jouets datant de la fin du 19è aux années 50.
La Place s’appelait, jadis « Li Pieri ». En 1823, elle porte le nom de « Li Bâti », pour être actuellement Place de Chablis.