Ce pont enjambe l’Ourthe entre les villages de Werpin et de Hampteau.
Deux passerelles en bois au-dessus du Ruisseau de l’Alu permettent le passage au sec pour les piétons, juste avant sa confluence avec l’Aisne.
Cette passerelle piétonne relie l’Avenue de Villez (N860 vers Houffalize) au Parc de Rompré.
Une petite passerelle en bois qui surplombe un fossé affluent du Ruisseau de Pierreux.
Une passerelle piétonne et cycliste sur l’Ourthe entre Jupille et Marcourt.
Ce ponceau métallique permet de passer ce gué sur l’Estinale à pied sec pour monter dans le Bois du Prangeleux.
Ce pont sur l’Ourthe relie les deux parties principales de la ville : de la place côté sud à la rue principale piétonne côté nord.
Un grand abri ouvert en bois près des Rochers de Renissart.
Cette chapelle a été construite vers 1870-1875 par la famille Raskin. Elle fut rebâtie et agrandie en 1919. Détruite lors de l’offensive 1944-1945, elle a été reconstruite en 1953.
Une petite chapelle moderne en pierres bleues, protégée par une grille enfer forgé.
Un petit oratoire en moellons de grès datant du 19è siècle.
Dans ce cimetière inscrit au Patrimoine civil public de Wallonie reposent 666 soldats et aviateurs du Commonwealth.
Un petit cinéma à l'ancienne à l'ambiance chaleureuse.
Un Christ en croix blanc superposé sur une croix en bois.
Une croix d’occis en calcaire en mémore de Jacques Joseph Gaillard (1789-1850)
de Menil-Favay, mort inopinément alors qu’il revenait du Moulin de Hotton, chargé
d’un lourd sac de farine.
Cette église moderne construite après la seconde guerre mondiale est en moellons de calcaire équarris. Elle se rattache au presbytère par un passage couvert.
Cette église de style classique fut construite en 1835 en grès et en calcaire.
Agrandie en 1887 du chœur et du transept en style néo-roman, on peut y voir deux confessionnaux en chêne du 17è siècle.
Cette grotte sans entrée naturelle, ouverte au public en 1962, a été découverte en 1958 dans une carrière de Hampteau par un facteur Bruxellois nommé Thirion qui passait ses vacances à Hotton.
Cette grotte se situe sur le versant ouest de la rive gauche de Ruisseau de l’Agauche, un petit affluent de l’Ourthe, qui se jette dans celle-ci en aval de Hotton.
Cette grotte située sur la rive droite de l’Isbelle fait l’objet de fouilles archéologiques depuis le début du 20è siècle.
Ce kiosque de la fanfare royale de Hotton, inscrit au Patrimoine civil public de Wallonie, a été construit en 3 étapes : le socle en 1924, la superstructure en 1928 et la passerelle en 1938. Il a été entièrement restauré en 1983.
Moulin à eau et à farine (1927) possédant une roue en fer et une autre en bois. Bâtiment en moellons de calcaire sous haute bâtière d’ardoises à coyaux.
Une table de pique-nique sur l’Ile d’Oneux, près de la plaine de jeux.
Une table de pique-nique au pied du rocher de Renissart, le long de l’Ourthe.
Cette petite aire de pique-nique est situé juste en face de l’immense Vierge du village.
2 tables de pique-nique situées dans un parking un peu plus au sud que le Hotton War Cemetery.
Une table de pique-nique au rond-point de la Rue Haute, près de la petite voiture du tram de l’ancienne ligne vicinale.
Une zone de baignade située sur l’Ourthe, en contrebas de l’église, le long de laquelle s’étend une plage herbeuse.
Une plaine de jeux sur un îlot formé par deux bras de l’Ourthe. Sortie possible vers la Rue Simon par une passerelle.
Cette ancienne carrière de calcaire et de grès a été exploitée entre 1899 et 1960. Elle servait à la construction de maisons en moellons et de routes. Elle a été érigée en réserve naturelle domaniale en 2012.
Il s’agit d’un centre d’interprétation de la rivière, de découverte et sensibilisation aux milieux aquatiques.
Ces rochers situés sur la rive droite de l’Ourthe en amont du pont de Hotton sont dotées de 17 voies d’escalade équipées de broches qui ont été ouvertes début 1990.
Un escalier en colimaçon mène à une vue panoramique sur Hotton et Melreux.
Cette petite grotte calcaire givétienne dont l’entrée mesure 1.70 m de haut sur 2.20 m de large a servi d’abri depuis la préhistoire, des ossements retrouvés attestant la présence de l’homme.
Cette statue géante de la Vierge Marie a une hauteur totale, socle compris, de 11,30 m, la Vierge elle-même faisant 7 mètres de haut.
Elle a été offerte par le père Janus, grâce à la récolte de fonds publics, après une épidémie.