Cette carrière calcaire est caractérisée par une biodiversité intéressante. On y trouve des populations rares de crapauds calamites ou accoucheurs. Le grand duc d’Europe y niche sur les falaises.
Cette zone constitue également une halte pour certains oiseaux migrateurs.
On trouve également quelques plantes typiques des zones calcaires.
Cette réserve naturelle de 138 ha est l’une des zones humides les plus connues en Wallonie. Elle contient un étang de 80 ha vieux de plusieurs siècles, servant à alimenter les forges de la région.
Cette zone de bivouac est disponible sur réservation du 1 juillet au 30 septembre inclus et uniquement en ligne. Ces aires sont destinées aux randonneurs, cyclistes et cavaliers et non aux campeurs de longue durée.
Ce château de style néo-gothique a été remanié sur les plans de l’architecte Suys.
Cette église mononef avec des éléments de style Louis XV a été bâtie en 1826. Elle a été réaménagée entre 1969 et 1971.
Cette église de style néo-gothique a été bâtie en 1855. Elle possède des dalles funéraires datant des 17 et 18è siècles.
Cette église de style néo-roman à 3 nefs a été construite en 1870 sur les plans de l’architecte Ladislas Degreny.
Il s’agit de grottes touristiques situées sur la rive gauche de l’Eau Noire. Elles ont été creusées dans les calcaires du Dévonien moyen et supérieur (Frasnien, Givétien) dans le massif de la Calestienne.
Ce quadrilatère en moellons de calcaire construit dans la seconde moitié du 17è siècle témoigne de la présence de la seigneurie de la Motte et de la présence d’un important centre métallurgique qui a fonctionné durant tous les temps modernes.
Une plaine de jeux derrière le parking de l’entrée des grottes.
Il s’agit d’un récif coralien fossile, témoin d’une ère où la mer couvrait la région. On appelle ce type de récif un BIOHERME. Il s’étend sur environ 47 ha. Des plantes rares ont colonisé l’endroit, telles que le lin à feuilles étroite