Une fermette rénovée datant du 19è siècle.
Une petite aire de barbecue avec 3 tables de pique-nique idéalement située en aval du barrage.
Ce barrage et ses infrastructures en béton clair contrôlent l’une des nombreuses boucles de l’Ourthe. Etabli de 1953 à 1959 pour réguler la rivière, cet ouvrage du génie civil est long de 116 mètres.
Ce belvédère situé au nord du lac offre une vue sur une partie de celui-ci.
Cette chapelle funéraire néo-gothique en moellons de grès et pierres de taille calcaires, située au fond du cimetière, a été construite à la fin du 19è siècle.
Cette chapelle a été bâtie en 1882. Elle a été donnée à la fabrique d’église en 1905.
Une petite chapelle de plan rectangulaire en moellons de grès et de schiste à l’est du village. Le toit est en ardoises artificielles. Elle date de la fin du 19è siècle.
Le 11 novembre 1948, la chapelle est classée par la Commission des Monuments et des Sites. Elle a été restaurée en 1961.
Il s’agit d’un char américain de type M4A3.
Il a été neutralisé par les Allemands en 1945.
En 1950, alors que les ferrailleurs sont en train de découper le char, les habitants de Wibrin récupèrent celui-ci pour l’exposer.
Une croix en bois rénovée, avec une toiture à deux pans, à l’entrée nord du hameau de Filly, proche de la Rue de Houffalize.
Une croix en bois surmontée d’un toit à deux pans en zinc travaillé.
Une croix de chemin en bois rustique.
Cette croix en bois massif porte un Christ en fonte.
Cette croix a été érigée en souvenir de Lucien Hennes, de Edgard Hennes et d’André Fagnoul, assassinés par les Allemands le 5 janvier 1945.
Cette croix fut érigée à la mémoire de Hubert Louis d'Olomont, décedé inopinément à cet endroit le 31 mai 1881.
Cette grande église paroissiale de style néo-gothique a été reconstruite en 1871 sur les plans de l’architecte Bouvrie. Elle a été restaurée en 1953 par l’architecte E. Godin. Le mobilier est de style néo-gothique contemporain.
Cette église est posée sur un socle de schiste.
La Tour romane date du 10è et la Chapelle Jean Nicolas du 19è.
A l’intérieur, on y trouve les statues en bois de Sainte-Anne, Sainte Lucie, Saint-Antoine, Saint-Eloi.
Cette église néo-romane en pierres a été construite avec des matériaux récupérés du sanctuaire d’Ollomont, lors de sa démolition en 1908.
Cette ancienne ferme perpendiculaire néo-classique en schiste blanchi est millésimée 1881 sur sa grille d’entrée.
Ce monument est dédié aux victimes de la seconde guerre mondiale. De part et d’autre du monument sont inscrits 24 noms de personnes tuées entre mai 1940 et janvier 1945.
Cette sculpture monumentale en marbre rose du Portugal a été inauguré en 1991. 12 états européens sont représentés par 12 stèles dont la forme évoque des menhirs, on y pénètre par un portique stylisé en forme de dolmen.
Point de vue sur l’Ourthe depuis la crête du Hérou.
Cette maison en moellons de schiste et de grès, de style néo-classique, entouré d’un mur, date de 1863. La petite dépendance qui sert de garage avec un ancien fenil date des années 1950.
Un site d’exception classé : un éperon rocheux composé de phyllades, d’une longueur de 1,5 km, 80 mètres au-dessus de l’Ourthe. Cette dernière ne sachant l’éroder, a formé un méandre serré autour de la barrière de roches.
Cette stèle a été apposée en l’homme à ces deux résistants tués en septembre 1944.
Il s’agit des fondations d’une villa romaine datant vraisemblablement du 3è siècle, probablement abandonnée à la suite d’un incendie. Sa dimension était de 24 x 30 m. On y a retrouvé un hypocauste (chauffage central ancestral).