Cette stèle a été apposée en l’homme à ces deux résistants tués en septembre 1944.
Ces deux jeunes maquisards de 18 et 22 ans ont été abattus à Nadrin, alors qu’ils partaient ravitailler leurs camarades basés dans les bois. Ils avaient pris la fuite à la vue d’une colonne d’Allemands qui s’approchaient d’eux.
Ils ont reçu à titre posthume la Croix de Chevalier de l’Ordre de Léopold II avec palme, la Croix de Guerre avec palme ainsi que la médaille de la Résistance et la Médaille commémorative de la Guerre 1940-1945.
Les décorations ont été remises à leur famille lors d’une séance collective de remise de médailles à l’Hôtel de Ville de Bastogne le 16 avril 1947.
Ce monument est dédié aux victimes de la seconde guerre mondiale. De part et d’autre du monument sont inscrits 24 noms de personnes tuées entre mai 1940 et janvier 1945.
Cette hélice d’avion fichée sur un cairn de moellons de grès a été érigée le 20 mai 1984 en mémoire du mitrailleur le sergent James H. Young, abattu avec son avion dans les environs de cet endroit.
Cette sculpture monumentale en marbre rose du Portugal a été inauguré en 1991. 12 états européens sont représentés par 12 stèles dont la forme évoque des menhirs, on y pénètre par un portique stylisé en forme de dolmen.
Une fermette rénovée datant du 19è siècle.
Cette chapelle funéraire néo-gothique en moellons de grès et pierres de taille calcaires, située au fond du cimetière, a été construite à la fin du 19è siècle.
Cette chapelle a été bâtie en 1882. Elle a été donnée à la fabrique d’église en 1905.
Une petite chapelle de plan rectangulaire en moellons de grès et de schiste à l’est du village. Le toit est en ardoises artificielles. Elle date de la fin du 19è siècle.
Le 11 novembre 1948, la chapelle est classée par la Commission des Monuments et des Sites. Elle a été restaurée en 1961.
Il s’agit de la plus grande forteresse celtique de Belgique, occupée entre le 8è et le 6è siècle avant Jésus-Christ.
Elle s’étend sur 13 ha et la longueur du double rempart est supérieure à 1750 m.
Une croix en bois surmontée d’un toit à deux pans en zinc.
Une croix de chemin forestier.
Une croix érigée en mémoire de Kenny, décédé à 22 ans à cet endroit.
Cette grande église paroissiale de style néo-gothique a été reconstruite en 1871 sur les plans de l’architecte Bouvrie. Elle a été restaurée en 1953 par l’architecte E. Godin. Le mobilier est de style néo-gothique contemporain.
Cette église néo-romane en pierres a été construite avec des matériaux récupérés du sanctuaire d’Ollomont, lors de sa démolition en 1908.
Un site stratégique pour réguler la dynamique régionale d’espèces végétales remarquables.
Cette ancienne ferme perpendiculaire néo-classique en schiste blanchi est millésimée 1881 sur sa grille d’entrée.
Ce monument est dédié aux victimes de la seconde guerre mondiale. De part et d’autre du monument sont inscrits 24 noms de personnes tuées entre mai 1940 et janvier 1945.
Cette hélice d’avion fichée sur un cairn de moellons de grès a été érigée le 20 mai 1984 en mémoire du mitrailleur le sergent James H. Young, abattu avec son avion dans les environs de cet endroit.
Cette table de pique-nique est située au calme, le long de l’Ourthe, en contrebas du Cheslé, une ancienne forteresse celte reconstituée.
Point de vue sur l’Ourthe depuis la crête du Hérou.
Cette maison en moellons de schiste et de grès, de style néo-classique, entouré d’un mur, date de 1863. La petite dépendance qui sert de garage avec un ancien fenil date des années 1950.
Un site d’exception classé : un éperon rocheux composé de phyllades, d’une longueur de 1,5 km, 80 mètres au-dessus de l’Ourthe. Cette dernière ne sachant l’éroder, a formé un méandre serré autour de la barrière de roches.
Tremplin pour deltaplanes.
Il s’agit des fondations d’une villa romaine datant vraisemblablement du 3è siècle, probablement abandonnée à la suite d’un incendie. Sa dimension était de 24 x 30 m. On y a retrouvé un hypocauste (chauffage central ancestral).