Cette chapelle a été construite en 1636, à la suite d’une grave épidémie de peste. La promesse est faite d’y faire chaque année une procession.
Elle est dédiée à Notre-Dame de Luxembourg, consolatrice des affligés.
En 1977, une religieuse dominicaine, soeur Marie-Bernard se fait consacrer ermite et consacre sa vie au travail et à la contemplation : le lieu retrouve sa vocation spirituelle.
Chaque année, le 5ème dimanche après Pâques, les marronniers séculaires accueillent une procession en dévotion à la Vierge.
Construction de la chapelle,
Un ermitage est annexé à la chapelle.
Les jeunes filles ne trouvant pas de mari et les dames en attente de maternité viennent en pélérinage à la chapelle.
Une religieuse dominicaine, soeur Marie-Bernard se fait consacrer ermite et consacre sa vie au travail et à la contemplation : le lieu retrouve sa vocation spirituelle.
Le culte à Notre-Dame de Luxembourg remonte à 1636, date de l’épidémie de la grande peste, où les 2/3 du village succombèrent à la maladie.
Selon la tradition populaire, un des comtes de Chiny, Louis Il, victime d’un accident de chasse ou d’une maladie soudaine fut soigné et guéri au presbytère de Rouvroy.
Cette chapelle date du 19è siècle.
Ce monument remarquable en style gothique flamboyant se situe à l’emplacement de la statue de la vierge miraculeuse à l’origine du développement d’Avioth. Il était destiné à recevoir les offrandes des pèlerins.
Une aire de barbecue en pleine forêt, dans la vallée du Radru, entre Torgny et Lamorteau.
Fontaine en fonte placée en 1866, sur décision du conseil communal.
Elle remplace une fontaine légèrement plus ancienne (1859) suite à un dysfonctionnement de cette dernière.
Elle est munie de 4 bor
Le culte à Notre-Dame de Luxembourg remonte à 1636, date de l’épidémie de la grande peste, où les 2/3 du village succombèrent à la maladie.
Ce calvaire du 18è siècle a vraisemblablement été érigé par Etienne Danloup et Odile Genin, la fille du meunier de Radru, en remerciement d’une grâce accomplie : l’arrivée d’un enfant. C’étaient des tenanciers de cabaret au village.
Croix érigée en mémoire à la mission prêchée en 1935.
Ces manifestations et processions étaient destinées à attirer les fidèles par leur côté grandiose.
Cette croix fut érigée en 1746 sous deux tilleuls remarquables, en mémoire de F. Demasep.
Première croix menant à l’ermitage, elle était déjà mentionnée sur la carte Ferraris datant de 1771.
Cette croix millésimée à la fin du 16è ainsi qu’en 1777, est située à une altitude de 333 m.
Elle est située sur une ancienne voie qui reliait Mongwy à Montmédy.
Cette église de style néo-roman est dédiée à Saint-Martin de Tours, reconstruite en 1948 par l’architecte Joseph Remy d’Arlon.
Cette église, construite en 1860, a permis aux paroissiens d’éviter de se rendre à la messe à Rouvroy, le lieu étant souvent inondé.
Cette construction particulière s’est faite sous l’égide de Dominique Schmit, un pieux laïc qui l’a construite pour compenser un sentiment de culpabilité.
Cet ancien lavoir est composé d’une charpente en bois datant de 1901.
Il a été classé le 29 avril 1982.
Habitée autrefois par la famille de Franque, on raconte que cette maison aurait dû accueillir le roi de France Louis XVI lors de sa fuite après la Révolution française, mais avant, celui-ci fut arrêté le 20 juin 1791 à Varennes-en-Argonne.
Cet ancien moulin sur le Radru, long de 9 km, est devenu un gîte touristique.
Cette aire de pique-nique comportant plusieurs tables est située juste à l’entrée de la réserve naturelle Raymond Mayné.
Cette réserve naturelle d’une superficie de 6 ha porte le nom du passionné qui découvrit la première cigale. Son exposition au sud a permis le maintien d’une flore et d’une faune à caractère méditerranéen.
Ouvert tous les jours de 13:30 à 17:30, sauf le lundi
Fermé le dimanche du 1 octobre au 31 mars
Ce vignoble est cultivé sur un sol calcaire granuleux et orienté au sud en profitant d’un microclimat chaud et sec.