Cette chapelle a été construite en 1910 suite à un don de la famille Laurent.
On peut y admirer une Vierge en bois sculpté, réalisée et offerte par Monsieur William, suite au vol de la statue initiale.
Ce bâtiment date vraisemblablement du 18è siècle. On dit qu’elle a été construite pour rendre grâce à Saint-Hubert pour avoir protégé un enfant perdu dans les bois d’une meute de loups.
Une statue de la Vierge Marie dans une niche en moellons de grès.
Ce sapin aujourd’hui décapité par la foudre a été le témoin de l’agression de Joseph Gavroye, agé de 15 ans, par un allemand de 18 ans. Une plaque commémorative subsiste sur un poteau à proximité.
Il s’agit d’une grande rotonde en bois qu’il est possible de louer sur réservation.
Ce bâtiment date vraisemblablement du 18è siècle. On dit qu’elle a été construite pour rendre grâce à Saint-Hubert pour avoir protégé un enfant perdu dans les bois d’une meute de loups.
Cette croix d’intercession en schiste d’ ardoisie date de 1811 et se situe dans le voisinage immédiat de l’église.
Un Christ est apposé entre deux chandeliers.
Croix de bois sur petit socle.
Cette croix en schiste d’ardoise creusée dans une niche date d’environ 1820.
Le tronc invite à une prière pour les trépassés.
Cette croix d’une hauteur de 1.40 m en schiste ardoisier et aux bras courtauds contient une épigraphe commémorative.
Cette église basilicale de style néo-gothique a été bâtie en 1857 à l’emplacement d’un édifice primitif datant de 1715. Elle possède une tour carrée à contreforts en ardoises et un clocher pyramidal.
L’abbé Karenhoeven fut le 1e prêtre.
Cette église en moellons schisteux au clocher bulbeux en forme d’obus. Elle a été construite à l’emplacement d’une chapelle primitive dont certains documents datant de 1604 l’attestent.
Ces étangs furent jadis des "trous de carrières" où l’exploitation de divers produits s’effectuait : sable, manganèse, coticule, schiste et tourbe.
Cette ferme dotée d’une grange et d’une étable a été convertie en dépendances du corps de logis. Le large pignon en façade est millésimé "1809" et gravé sur la clé du portail.
Cette fange protégée d’une superficie de 280 ha a été dégagée des épicéas qui l’avaient envahie, dans le cadre du projet LIFE Ardenne liégeoise. Elle a retrouvé son aspect originel et elle est fréquentée par des canards et des castors.
Une plaque commémorative apposée sur un rocher à la mémoire de Jean-Marie Dum, (7 août 1939 - 10 août 1997). Botaniste et écologue, il a ardemment défendu le Plateau des Tailles pour préserver son milieu écologique.
Cette piste d’une longueur de 46 km se trouve à une altitude de 650 mètre.
On y pratique le ski de fond.
Il est possible de louer du matériel, d’avoir un moniteur et de se restaurer.
Plusieurs tables de pique-nique situées dans un espace vert de loisirs (plaine de jeux, rotonde pour barbecue), au pied de la piste pour luges.
La piste se situe à 630 mètres d’altitude et possède une longueur de 62 Km.
Il est possible d’y faire de la luge, du ski alpin, du ski de fond ou du ski-bob.
Une plaine de jeux avec un grand module en bois et 2 toboggans.
Une petite plaine de jeu très récente et moderne en face de l’église, dont le sol est constitué de dalles en matière molle.
Ce bloc rocheux plat a une hauteur d’environ 10 m et possède une envergure de 8.5 m sur environ 3 m. Il est également appelé Pîre al’Falhouze, ce qui signifie en wallon la Pierre à la Falaise.
Cette stèle a été inaugurée en juin 2011 en hommage à seize soldats américains dont les 5 occupants d’une Jeep furent pris sous le feu d’un char allemand.
L’ancienne plaque a été remplacée en 2019.
Une plateforme d’observation en bois avec quelques souches de bois pour s’y reposer. On y trouve également sur son pourtour intérieur d’intéressantes informations didactiques sur la flore et la faune locales.