Cette ville d’un peu plus de 5000 habitants en bord d’Ourthe, qui tire son nom de sa localisation proche de la confluence Ourthe-Amblève, est entourée de paroi rocheuses dont la plupart sont reprises au patrimoine exceptionnel de Wallonie.
Au nord comme à l’est de Comblain-au-Pont, on peut admirer de superbes panoramas sur cette ville qui tire d’ailleurs son nom du mot "confluence", où effectivement l’Amblève se jette dans l’Ourthe.
C’est le versant oriental qui fait l’objet de cette balade pas trop longue (5 km) mais il faudra donc prendre un peu de hauteur -et c’est là la petite difficulté du trajet- pour profiter de la superbe vue qui s’offre au sommet du massif rocheux du Thier Pirard.
Au-dessus, on découvre le village d’Oneux, avant de redescendre par un sentier en zigzags le long de ces fameuses tartines surplombant l’Ourthe en rive droite.
" Je veux une pareille de Nutella ! "
En contrebas, on atteint la route principale qui mène à Aywaille avant de reprendre le Ravel pour rejoindre le point de départ, en traversant à nouveau le fameux pont de Comblain.
Cette église a été construite en 1853.
On y trouve un vitrail dédié à l’Abbé Peters, résistant martyr de la seconde guerre mondiale.
Comblain-au-Pont s’articule autour de cette place remarquablement aménagée. On y trouve l’administration communale, le musée du Pays d’Ourthe-Amblève, le donjon de Montuy ainsi que de nombreux commerces.
Un marché hebdomadaire s’y tient chaque jeudi mais chaque jeudi de l’Ascension est organisé un grand marché qui s’étend aux rues adjacentes.
Un musée qui fut inauguré en 1933 sous le nom de "Musée de Comblain-au-Pont".
En raison de l’importance de ses collections, il fut rebaptisé le 14 février 1961 en "Musée Ourthe-Amblève" et le 15 février 1977, il devint un musée communal.
L’édifice qui l’abrite porte deux dates : 1656 au-dessus de la porte d’entrée tandis qu’une porte du vestibule est datée de 1626.
Il s’agit d’un ancien couvent qui appartient à la commune.
Ce musée comprend trois sections consacrées à la préhistoire wallonne, à l’achéologie et à l’histoire régionale, et offre trois niveaux et une cave voûtée, et sert souvent de cadre à des expositions de prestige et originales.
Toutes ces collections concernent le folklore (vieux outils artisanaux, divers objets, etc), des fossiles.
Il y a aussi une bilbliothèque.
Ce monument a été édifié en hommage et commémoration à l’Abbé Peters, curé de Comblain-au-Pont, résistant fusillé le 31 août 1943.
C’est ce pont a donné son suffixe à l’appellation du village.
Son origine remonte au 18è siècle. Il a été planifié par l’architecte Jean-François de Neufforge, né à Comblain en 1714 et décédé à Paris en 1791.
Il a été détruit à la révolution française.
Ce village situé sur les hauteurs sud-est de la confluence Ourthe-Amblève est caractérisé par un bâti principalement construit en grès jaune dit grès de paille.
Il est aussi connu pour sa côte difficile pour les cyclistes arborant un dénivelé de 200 m entre Pont-de-Sçay et Hoyemont.
Cette croix en fonte a été fabriquée par la fonderie Joseph Davin d’Andenne.
Derrière le Christ, on y trouve une amphore entourée d’un serpent dont la queue toucherait une fleur à cinq pétales s’ouvrant sur un demi-cercle.
Elle porte l’inscription "SOUVENIR DE LA MISSION 1923".
Ces roches à la forme explicite sont formées de calcaires tournaisiens et viséens.
C’est ce pont a donné son suffixe à l’appellation du village.
Son origine remonte au 18è siècle. Il a été planifié par l’architecte Jean-François de Neufforge, né à Comblain en 1714 et décédé à Paris en 1791.
Il a été détruit à la révolution française.
Ce home acceuillait des enfants placés par la justice à partir de 1975.