Cette ville d’un peu plus de 5000 habitants en bord d’Ourthe, qui tire son nom de sa localisation proche de la confluence Ourthe-Amblève, est entourée de paroi rocheuses dont la plupart sont reprises au patrimoine exceptionnel de Wallonie.
Comblain-au-Pont est décidément entourée de falaises très rocheuses. A l’est se développent les fameuses Tartines et au nord du patelin, ce sont les Roches Noires.
Pour les atteindre, il va falloir faire l’effort au départ pour grimper sur la colline qui surplombe l’Ourthe. Et pour ce faire, nous allons monter par cette fameuse tour qui domine Comblain-au-Pont : la Tour Saint-Martin.
C’est environ 1 km plus loin en gardant le cap nord que l’on rejoint le massif rocheux qui fait l’objet de cette balade.
Histoire de revenir par un autre côté, et de rester sur le thème des rochers, nousa llons redescendre dans la vallée par le pic Napoléon, un peu plus à l’est, avant d’atteindre l’Ourthe et le Pont de Scay.
Juste après avoir traversé l’Ourthe, pour revenir au point de départ, il suffit de longer la rive droite de l’Ourthe vers l’amont, qui nous ramène au centre après avoir à nouveau traversé l’Ourthe au niveau du Pont de Comblain-au-Pont.
Finalement une balade pas trop longue… mais riche en découvertes !
Un musée qui fut inauguré en 1933 sous le nom de "Musée de Comblain-au-Pont".
En raison de l’importance de ses collections, il fut rebaptisé le 14 février 1961 en "Musée Ourthe-Amblève" et le 15 février 1977, il devint un musée communal.
L’édifice qui l’abrite porte deux dates : 1656 au-dessus de la porte d’entrée tandis qu’une porte du vestibule est datée de 1626.
Il s’agit d’un ancien couvent qui appartient à la commune.
Ce musée comprend trois sections consacrées à la préhistoire wallonne, à l’achéologie et à l’histoire régionale, et offre trois niveaux et une cave voûtée, et sert souvent de cadre à des expositions de prestige et originales.
Toutes ces collections concernent le folklore (vieux outils artisanaux, divers objets, etc), des fossiles.
Il y a aussi une bilbliothèque.
Ce monument a été édifié en hommage et commémoration à l’Abbé Peters, curé de Comblain-au-Pont, résistant fusillé le 31 août 1943.
Cette église a été construite en 1853.
On y trouve un vitrail dédié à l’Abbé Peters, résistant martyr de la seconde guerre mondiale.
La légende raconte que ce donjon a été habité par les seigneurs de Comblen au 12è siècle.
On les appelait les Rodjes Moussîs car ils étaient vêtus de rouge et faisaient partie de l'Ordre des Templi
La légende raconte que ce donjon a été habité par les seigneurs de Comblen au 12è siècle.
On les appelait les Rodjes Moussîs car ils étaient vêtus de rouge et faisaient partie de l'Ordre des Templiers.
Ce donjon féodal en moellons de grès date du 12è siècle. Il a été classé en 1933, dernier vestige du manoir des sires de Comblez. Il domine le village de Comblain-au-Pont. Dans la drève se dressent des tilleuls centenaires.
Des vestiges attestent qu’il existait déjà une nécropole à cet endroit avant l’édification de la tour.
La tour est entourée d’un vieux cimetière désaffecté qui offre une vue panoramique sur la ville.
Cette réserve naturelle est constituée d’un massif dolomitique remarquable.
Il y a 3 rochers bien distincts, vus de la vallée et de gauche à droite :
1) La Grande Face, appelée aussi Grande Falaise (totalement encombrée de végétation)
A la base s’ouvre l’entrée surbaissée du Trou de la Roche Noire ou des Lutons et/ou encore de La Cloche.
2) La Tête du Sphinx et/ou du Lion (A droite et un peu plus haut) dont la façade sud accuse 25 mètres de hauteur, la face nord de 10 à 15 mètres de haut est déversée et parsemée de nombreux trous
3) Le Gendarme (Encore un peu plus à droite dans le bois)
La végétation rare est composée de pelouses calcaires sèches et de boisements calcicoles.
Le site est sous la surveillance de la DNF et géré avec la collacoration de l’ASBL "Les Roches Noires".
Des excursions y sont régulièrement organisées par l’association Ardenne et Gaume. L’accès est libre sur les sentiers.
Deux voies ouvertes :
- face sud : La Tête du Sphinx qui se gravit obligatoirement et exclusivement sur coinceurs
- face Nord : Le Gruyère, assurance du haut
Végétation rare, pelouses calcaires sèches, boisements calcicoles.
Surveillé par la DNF et géré avec la collacoration de l’ASBL "Les Roches Noires".
Accès libre sur les sentiers, les visiteurs sont tenus de respecter le règlement du site en vigueur.
Un grand merci à Mr Vittoz, qui a complété cette fiche de précieux renseignements.
La réserve naturelle des Roches Noires est située sur la localité de Comblain-au-Pont.
Elle fait partie du massif rocheux et forestier situé à mi-chemin entre Comblain-au-Pont et le village de Mont-Comblain.
La végétation rare est composée de pelouses calcaires sèches et de boisements calcicoles.
Le site est sous la surveillance de la DNF et géré avec la collaboration de l’ASBL "Les Roches Noires".
Des excursions y sont régulièrement organisées par l’association Ardenne et Gaume. L’accès est libre sur les sentiers.
Accès libre sur les sentiers, les visiteurs sont tenus de respecter le règlement du site en vigueur.
Il s’agit d’un massif vertical en calcaire.
Sa formation géologique particulière fait l’objet d’une controverse scientifique.
On a retrouvé au sommet des rochers les vestiges d’un village antérieur aux gaulois.
On y a retrouvé également des tranchées remontant aux guerres napoléoniennes contre l’Autriche, lors de la bataille de la Redoute.
Egalement des fortins datant de la seconde guerre mondiale attestant le lieu particulièrement stratégique.
Ces roches à la forme explicite sont formées de calcaires tournaisiens et viséens.
Cette ville d’un peu plus de 5000 habitants en bord d’Ourthe, qui tire son nom de sa localisation proche de la confluence Ourthe-Amblève, est entourée de paroi rocheuses dont la plupart sont reprises au patrimoine exceptionnel de Wallonie.
C’est ce pont a donné son suffixe à l’appellation du village.
Son origine remonte au 18è siècle. Il a été planifié par l’architecte Jean-François de Neufforge, né à Comblain en 1714 et décédé à Paris en 1791.
Il a été détruit à la révolution française.
Ce bâtiment à la façade en calcaire fut construit en 1850 pour le maréchal-ferrant L. Dalem. Le linteau sculpté de I’entrée représente des outils de sa profession.
Ce home acceuillait des enfants placés par la justice à partir de 1975.