Cette ville touristique très animée en saison, d’un peu plus de 4000 habitants, est un véritable écrin serti dans la vallée de l’Ourthe, en plein cœur des Ardennes belges.
Une découverte un peu inédite en plein cœur de la perle ardennaise, dans un lieu un peu à l’écart de son habituelle effervescence.
Depuis un parking de la Rue Rompré, situé à deux pas du Musée du Jambon d’Ardenne, la promenade rejoint le Pont du Faubourg, l’un des ponts principaux qui relie le piétonnier à la Place du Bronze.
Faites néanmoins très attention avec les enfants car les berges ne sont pas protégées. Donc on donne bien la main, là !!
Parallèlement à la Rue Clérue, qui file vers Houffalize, un sentier court le long des maisons attenantes à la rivière. Il rejoint une passerelle qui traverse à nouveau l’Ourthe.
Elle aboutit alors dans un très beau parc parsemés de belles œuvres artistiques faites de matériaux naturels. On y découvre également des étangs, une fontaine et de petits escaliers.
Reste à rejoindre notre point de départ, peu après la sortie du parc.
Les ruines de son château féodal datant du 11è siècle dominent la ville et lui confèrent un caractère particulièrement pittoresque.
Une petite rue commerciale la traverse et attire pas mal de badauds.
Une zone d’activité économique a été créée sur le plateau de Vecmont afin de diversifier ses atouts.
Les grès de La Roche sont des poteries artisanales peintes avec du bleu de cobalt et vernissée au sel. Un musée leur est consacré dans la ville.
Cette tradition a été initiée par Henri Hoffman en 1836. La famille Kalb a poursuivi l’activité dès 1878.
Les activités y sont légions : nombreux circuits VTT et rando, restaurants gastronomiques, hôtels, kayak et hébergements de toutes sortes.
Dans cet atelier centenaire, on fabrique de manière artisanale de de la poterie en grès bleu, glacé au sel. Quant au musée du jambon d’Ardenne, il s’agit de la reconstitution d’un ancien atelier de boucher-salaisonnier des années 1900.
Quand la température du four atteint 1 200 degrés, on introduit le sel de glaçage.
Trois ouvrières se partagent le travail : l’une tourne, l’autre grave, la troisième peint. Les objets ainsi réalisés résistent au four de cuisine et au lave-vaisselle.
Certaines pièces (lampes, bougeoirs…) sont uniques.
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