Cette commune est le centre économique du Pays de Herve, notamment dans le domaine agro-alimentaire : viandes, charcuteries, sirops, cidres, biscuits, bières...
Elle compte environ 4000 habitants.
Cette rando traverse exclusivement des paysages ouverts faits de prés et de bocages, typiques du Pays de Herve.
Depuis la vallée de la Bel, un petit affluent de la Berwinne, elle consiste à rejoindre dans un premier temps la crête de Battice.
De celle-ci apparaît cette fameuse transition paysagère entre deux vues radicalement différentes : lorsque l’on se retourne en arrière, le Pays de Herve apparaît très ouvert et assez vallonné, parsemé de quelques bosquets.
Par contre face à soi, un immense paysage s’ouvre avec sur toute la ligne d’horizon, rien que des forêts. Il s’étend jusqu’aux Hautes Fagnes et jusqu’aux crêtes du sud de Spa, derrière la vallée de la Vesdre, but de cet itinéraire.
Seul bémol, la densité de voies (routes, autoroutes, chemin de fer) et de maisons est particulièrement dense entre Thimister et Andrimont mais nous allons essayer de nous frayer un passage par des routes pas trop fréquentées ou dotées d’un trottoir, faute de chemins rustiques de ce côté. Et ce durant 3 ou 4 km.
Cela n’empêche d’atteindre les hauteurs nord de la vallée de la Vesdre dans des petits coins assez pittoresques et parfois inattendus, comme la Promenade des Récollets qui nous amène par une crête assez arborée, au centre de Verviers.
La Ruisseau la Bel y rencontre la Berwinne au nord de la localité.
Son ancestral marché aux grains est devenu un marché aux produits frais hebdomadaire (mardi et dimanche).
Le patron du village, Saint-Hubert, tire son origine d’une légende qui raconte que ce dernier permit à un seigneur parti chasser, égaré et implorant de retrouver son chemin.
La ligne 38 fut construite en 1875 par la société privée des Chemins de Fer du Plateau de Herve. Elle fut achevée 20 ans plus tard pour pouvoir desservir Plombières.
Elle permettait l’acheminement du charbon de Fléron vers l’Allemagne et de Plombières vers la Meuse. Elle participait aussi au trafic voyageurs, et ce jusque 1957. Puis ce fut le déclin du trafic marchandises. La ligne fut déferrée en 1992. Elle est devenue depuis un très beau Ravel qui relie toujours Chênée à Hombourg.
Cette église paroissiale de style gothique date de 1910, bâtie sur les plans de l’architecte Emile Deshayes originaire de Charneux-Herve.
Haut de 64 m, son clocher est visible de tous les recoins du
Cette église paroissiale de style gothique date de 1910, bâtie sur les plans de l’architecte Emile Deshayes originaire de Charneux-Herve.
Haut de 64 m, son clocher est visible de tous les recoins du Pays de Herve.
Les vitraux sont l’œuvre du maître-verrier Ganton-Defoin.
Le patron la paroisse est Saint-Hubert, représenté par une statue figurant dans la nef centrale et sculptée par Francis Jacobs de Hermée.
Les orgues quant à elles sont l’œuvre de Nagel-Nijs, de Kozen et datent de 1991.
L’ancien cimetière qui l’entoure, au milieu d’un parc, comporte certaines pierres funéraires qui remontent parfois au 16è siècle.
Le village se situe sur la commune de Thimister-Clermont, spécialisée dans la fabrication du cidre.
Auparavant, Froidthier était desservi par la ligne 38 qui reliait Chênée à Hombourg. Celle-ci ayant été transformée en Ravel, il est maintenant possible de rejoindre le centre du village à pied ou à vélo.
L’église, qui se situe au centre du village, a été construite en 1845.
Ce village situé à un bon km en rive droite de Vesdre était déjà cité en 1322 en tant que seigneurie appartenant à Godefroid sire d’Andrimont, sur l’antique route Tongres-Trèves.
Des vestiges gallo-romains ont été retrouvés lors de fouilles dans ce village, attestant d’une présence humaine sur la voie romaine reliant Tongres à Trèves.
Eglise dont la statue de la Vierge est liée à un miracle.
La légende relatée dans la chapelle à l’intérieur de l’église.
17 juillet 1646 Le première pierre de l’édifice est posée.
1650 L’église e
Eglise dont la statue de la Vierge est liée à un miracle.
La légende relatée dans la chapelle à l’intérieur de l’église.
17 juillet 1646 Le première pierre de l’édifice est posée.
1650 L’église est achevée et consacrée par Monseigneur Stravius.
1664 La façade se voit ornée d’une statue de la Vierge en pierre de sable blanc...
18 septembre 1692 Verviers est soumis à un tremblement de terre de grande amplitude. La légende de Notre-Dame des Récollets raconte qu’après le tremblement de terre, la position de la Vierge a changé : de face au départ, elle apparaît de 3/4 avant penchée sur l’enfant Jésus qu’elle porte dans ses bras.
Les documents contemporains sont formels et sont basés sur le témoignage de 104 personnes, tous âges confondus. Ils confirmeront leur déposition 4 ans plus tard.
1810 Un incendie ravage l’église.
1892 La tour actuelle, oeuvre de l’architecte gantois Van Assche, est ajoutée.
Statue dédiée à l’officier municipal Joseph-Grégoire Chapuis, exécuté sur la Place publique.
Il souscrivait aux idées nouvelles et aux libertés obtenues sous le régime français (mariage civil, rattachement de la Principauté de Liège à la France...).
Ces idées ne sont pas au goût du Prince-Evêque de Liège et c’est lui qui l’a fait arrêter et condamné pour "servir d’exemple".
La mise à mort a lieu de manière barbare : le bourreau rate la décapitation à la hache. Après sa première tentative infructueuse, il termine le travail à la scie.
Fontaine installée le 22 mars 2002 sur une idée des services clubs verviétois, réunis au sein d’une asbl "Verviers Fontaine 2000" créée en 1999.
Les jets modulés partent du sol. Elle permet une promenade entre les jets en éventail.
Elle peut être arrêtée pour faire place à d’autres activités.
Elle comporte 7 pompes, 20 jets moussants, 69 jets verticaux et 84 spots multicolores alimentés par fibre optique.