Cette ville touristique très dynamique qui s’étend dans une boucle de la méandreuse Semois date du 10è siècle et est célèbre pour son château-fort construit sous le duc Godefroid de Bouillon.
Mieux vaut tout de suite annoncer la couleur : cette randonnée ne fait pas moins de 43 km par monts et par vaux !
Les pros de la marche avaleront plus ou moins aisément ce sympathique marathon mais pour ceux qui n’en ont pas le courage ou la force, il est toujours possible de la réaliser en deux jours (ou davantage !) pour soulager ses muscles d’une étape à l’autre.
Mais bon... ici, nous vous la présentons en une seule étape puisque c’est le principe de relier deux "capitales touristiques".
En effet, entre ces deux localités intéressantes à plus d’un titre que sont Bouillon et Redu, cette rando part à la rencontre d’une flopée de villages ardennais, remplis de charme et de douceur, tels que : Sensenruth, Mogimont, Opont, Beth, Our et Lesse.
Entre chacuns d’entre eux, un subtil mélange de forêts et de prés afin de sautiller allègrement entre la nature sauvage et des zones de civilisation. Un max de sensations et d’aventure en perspective !
Ce pont en schiste de style gothique aux ogives brisées caractéristiques date de 1935 et permet d’atteindre l’Abbaye de Cordemois. Il est aussi appelé Pont de la Poulie.
Il franchit la Semois à l’ouest de la ville.
Son architecte fut Henri Vaes. Il a été construit à la demande de l’abbaye Notre-Dame d’Orval, afin de permettre le passage alors dévolu à un passeur d’eau, vers l’Abbaye de Clairefontaine.
Ce village s’étend le long de la voie à 4 bandes N89 qui relie La Roche à Bouillon. Il a acquis le statut de commune sous le régime français jusqu’en 1977.
Cette ancienne commune, qui acquit autrefois ce statut durant le régime français se situe à 3 km de la rive droite de la Semois, au nord de Bouillon.
Elle correspond à l'ancienne seigneurie des Abbyes (aussi orthographiée Aby, Abbys ou Abys) qui faisait partie du duché de Bouillon. Le hameau de Beth, où se trouve l'ancien château de la seigneurie,
Elle correspond à l'ancienne seigneurie des Abbyes (aussi orthographiée Aby, Abbys ou Abys) qui faisait partie du duché de Bouillon. Le hameau de Beth, où se trouve l'ancien château de la seigneurie, est parfois renseigné sous le nom de celle-ci. Durant la période française, elle faisait partie du département des Forêts. Initialement, les habitants de la seigneurie des Abbyes dépendaient de la paroisse de Graide.
Le château de Beth a été transformé en monastère par des sœurs Visitandines en 1874. Il constitue actuellement un domaine privé et abrite un centre d’accueil pour enfants.
Durant la bataille de Maissin (violents combats qui ont eu lieu, les 22 et 23 aout 1914, dans le cadre de la contre-offensive de l'armée française contre l'armée allemande, dans l'Ardenne belge), une initiative des sœurs Visitandines de Beth (d'origine allemande) a contribué à préserver les villages de la commune d'Opont des représailles allemandes commises en de nombreux endroits impliqués dans cette contre-offensive, en réponse à l'entrée de l'armée française en Belgique (atrocités allemandes).
Source : Wikipedia
Durant la bataille de Maissin (violents combats qui ont eu lieu, les 22 et 23 aout 1914, dans le cadre de la contre-offensive de l'armée française contre l'armée allemande, dans l'Ardenne belge), une
Durant la bataille de Maissin (violents combats qui ont eu lieu, les 22 et 23 aout 1914, dans le cadre de la contre-offensive de l'armée française contre l'armée allemande, dans l'Ardenne belge), une initiative des sœurs Visitandines de Beth (d'origine allemande) a contribué à préserver les villages de la commune d'Opont des représailles allemandes commises en de nombreux endroits impliqués dans cette contre-offensive, en réponse à l'entrée de l'armée française en Belgique (atrocités allemandes).
Un hameau de la commune de Libin, qui doit son nom à la rivière le long de laquelle il s’étend. Sa chapelle dédiée à Notre-Dame Auxiliatrice de Walcourt est classée.
Cette église paroissiale en pierre calcaire a été construite en 1851 sur les plans de l’architecte Duvinage. Elle a été restaurée en 1868, 1886 et 1922.
Une aire pour camping-cars au nord-est du village.