CC BY-SA 4.0 Pierre-Jacques DESPA La balade des roches
En semaine, la ligne 43 est plutôt bien desservie par les trains, nous permettant sans attentes trop longues cette petite escapade sur les hauteurs de la rive gauche de l’Ourthe, jalonnée de nombreux rochers.
Nous allons donc quitter Poulseur par le sud, nécessitant de grimper sur la colline. Comme d’habitude pour les balades de gare à gare sur des lignes suivant les vallées, le profil altimétrique est souvent comparable : plus ardue au départ et plus facile dès le milieu !
L’itinéraire passe par la réserve naturelle des Roches Noires et la Tour Saint-Martin, avant de redescendre sur Comblain-au-Pont, où de nombreux lieux de ravitaillement sont accessibles. La gare de Rivage n’est dès lors plus très loin.
CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne Esneux côté jardin
Une balade riche en découvertes au sud-ouest d’Esneux : depuis 1970, elle porte le nom de Robert Delsaux, inspecteur forestier et elle a pour but de vous faire découvrir la riche collection d’arbres et de plantations expérimentales de l’arboretum de la Tessenire.
Celui-ci a été créé en 1918. Vous vous promenez ainsi dans un superbe parc aux arbres majestueux et remarquablement aménagé.
Au plus à l’ouest, vous bifurquez pour rejoindre le parc et les étangs du Mary qui font partie du même ensemble forestier, avant de revenir vers le barbecue de la Tessenire où il est possible de faire une pause bien agréable.
Il reste alors moins de 500 mètres à parcourir pour rejoindre notre point de départ, au parking aisé.
CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne Un cadre enchanteur à deux pas d’Esneux
Une promenade facile à travers des arbres majestueux, dans un bois très feutré.
CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne La balade des arbres remarquables et monumentaux d’Esneux
Pour les amateurs d’arbres majestueux, rien de mieux que de quitter la rue commerçante super animée d’Esneux, longée de nombreuses terrasses en été, pour passer en rive gauche de l’Ourthe et découvrir le vaste Parc du Mary, la Tessenire et son arboretum ou le domaine du Rond Chêne aux allées magnifiquement arborées.
Cette balade vous invite à flâner tout du long de ces belles surprises naturelles, qui se révèlent les unes après les autres lors de cette escapade dans ce parc animé d’Esneux.
CC BY-SA 3.0 Jean Housen Cette petite promenade toute facile se déroule dans le sanctuaire ombragé de Banneux Notre-Dame, où sous une couverture de pins, règne une atmosphère apaisante.
Elle se termine sur l’esplanade où bon nombre d’établissements vous permet de vous sustenter.
Bernard Dubourg A la confluence de l’Amblève avec l’Ourthe, panoramas assurés !
Les gares et haltes de la ligne 43 Rivage - Marloie sont, juste après sa séparation de la ligne 42 (Rivage - Gouvy), assez rapprochées.
C’est l’occasion d’en profiter pour prévoir plein de petites balades de gare à gare assez sympas le long de l’Ourthe.
Naturellement, il ne faut pas avoir peur de grimper un peu car l’Ourthe est engoncée dans une vallée relativement profonde. Et au début, accrochez-vous, c’est raide, surtout la toute première partie jusqu’à Lawé, un hameau d’une tranquillité totale.
Mais comme toujours, cet effort permet de découvrir, en prenant un peu de hauteur, des paysages magnifiques car l’entourage de la rivière est souvent fait d’un mélange de villages, de prés et de forêts, voire de rochers majestueux.
Celle-ci ne manque donc pas à ces aspects, d’autant qu’elle a comme particularité qu’il s’agit du point de rencontre de l’Amblève avec l’Ourthe, ce qui donne une configuration orographique d’autant plus intéressante !
Après avoir gagné le charmant et rustique village d’Oneux, on aboutit après la traversée de prés très sereins, à un escarpement rocheux particulier appelé, les Tartines. De par leur forme, ces rochers portent plutôt bien leur nom mais à cause de leur proximité, on ne pourra pas le constater lors de cette balade. Il vaut mieux pour cela prendre du recul lors d’une autre balade côté Comblain-au-Pont. Le sentier serpente jusque dans la vallée.
Il ne reste plus qu’à se laisser descendre vers l’arrivée. En bas, on peut trouver quelques points de ravitaillement.
Après avoir traversé l’Amblève au Pont de Liotte, la gare de Rivage apparaît un peu plus loin.
CC BY-SA 3.0 Jean Housen La traversée de la campagne theutoise
Depuis le célèbre sanctuaire, cette balade vous emmène jusqu’à Spa à travers bois et prés, en passant par le charmant village de Becco, au cours d’un périple d’une quinzaine de kilomètres, relativement vallonnés.
CC BY-SA 4.0 Jean Housen L’étonnante colline universitaire et boisée du Sart Tilman
Ces deux gares situées le long de l’Ourthe offrent une opportunité idéale pour découvrir la riche colline située à l’ouest de sa rive gauche : la colline du Sart Tilman.
Les nombreux bâtiments universitaires sont disséminés dans un cadre majoritairement boisé, ce qui confère à cet ensemble une atmosphère assez particulière.
Outre les facultés reliées entre elles par de nombreux sentiers pédestres, elles sont jalonnées par toute une série d’œuvres d’art à caractère généralement moderne : le Musée en plein air du Sart Tilman.
Mais avant de redescendre sur Angleur, on rencontre encore un aspect naturel un peu singulier et intéressant : la lande de Streupas, de laquelle on peut admirer un panorama certes assez urbain mais tout de même assez vaste avec l’approche de l’Ourthe de la grande agglomération liégeoise.
Puis Angleur approche à grands pas et la ville apparaît tout à coup à la sortie du bois.
CC BY-SA 3.0 Jean Housen Ambiance de recueillement aux limites septentrionales de la Porallée
Au sein du Sanctuaire de Banneux, il y règne une atmosphère très particulière. On y ressent à la fois une certaine effervescence car ce lieu attire pas mal de personnes, des touristes, des fidèles…
Et d’une manière assez contradictoire malgré le monde, on y ressent aussi une certaine sérénité car la majorité des infrastructures religieuses de ce sanctuaire est installée dans un sous-bois de pins sylvestres et d’épicéas, ce qui ajoute au charme particulier du lieu.
Les alentours sont relativement boisés avec au nord le Bois de Fraipont et le Bois de Tancrémont qui se prolongent jusqu’à la vallée de la Vesdre.
Au sud également, le massif du Grand Pierreux est prolongé par le Bois de la Porallée et pourraient nous amener jusqu’à Stoumont pratiquement sans quitter le bois, si ce n’est quelques routes qui l’entrecoupent.
Mais nous n’irons pas jusque là aujourd’hui ! Nous traverserons ce bois d’est en ouest le long du Ruisseau du Fond Bastin à environ 1500 m au sud de Banneux.
On aboutit ainsi à Adzeux, un village de la commune de Sprimont connu pour ces nombreux chantoirs, phénomène fréquent des reliefs karstiques (dont les caractéristiques géologiques résultent de l’érosion hydrochimique) typiques des terrains calcaires. L’eau des ruisseaux s’engouffre en effet en sous-sol en émettant un sorte de mélodie de ruissellement, d’où le nom de chantoir !
Un chemin nous ramène ensuite à Banneux le long de la lisière après environ 9 km.
CC0 Romaine Le tour des rochers du nord de Comblain-au-Pont
Comblain-au-Pont est décidément entourée de falaises très rocheuses. A l’est se développent les fameuses Tartines et au nord du patelin, ce sont les Roches Noires.
Pour les atteindre, il va falloir faire l’effort au départ pour grimper sur la colline qui surplombe l’Ourthe. Et pour ce faire, nous allons monter par cette fameuse tour qui domine Comblain-au-Pont : la Tour Saint-Martin.
C’est environ 1 km plus loin en gardant le cap nord que l’on rejoint le massif rocheux qui fait l’objet de cette balade.
Histoire de revenir par un autre côté, et de rester sur le thème des rochers, nousa llons redescendre dans la vallée par le pic Napoléon, un peu plus à l’est, avant d’atteindre l’Ourthe et le Pont de Scay.
Juste après avoir traversé l’Ourthe, pour revenir au point de départ, il suffit de longer la rive droite de l’Ourthe vers l’amont, qui nous ramène au centre après avoir à nouveau traversé l’Ourthe au niveau du Pont de Comblain-au-Pont.
Finalement une balade pas trop longue… mais riche en découvertes !
CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne Sur la colline de la dernière boucle de l’Ourthe
Cette colline est vraiment la porte de sortie sud de l’agglomération liégeoise.
Et derrière cette porte, c’est la campagne ! C’est Tilff, Esneux, Poulseur, puis on s’enfonce dans les Ardennes liégeoises.
Et pour sa première démonstration campagnarde, cette échappée est assez sympa à visiter.
Angleur, pourtant encore fort urbaine, est bordée au sud par le Bois Saint-Jacques qui s’ouvre tout à coup derrière les petites ruelles des confins de ville à travers un sentier pittoresque qui monte dans le bois.
Malgré que la balade ne soit pas bien longue (tout juste 4 km), nous l’avons classée rouge (difficile) car au début, il y a une bonne grimpette. Elle sera suivie d’une seconde un peu dans la foulée.
Bien que la ville tentaculaire soit toujours visible derrière les arbres, le contraste entre le passage de la ville à la nature est assez net car le bois est plutôt touffu et jalonné de nombreux grands arbres remarquables.
Ce sentier ascendant nous mène à la lande, qui fait partie de la réserve naturelle du Sart Tilman, liée à l’Université de Liège.
Un chemin la traverse en plein milieu. Il s’agit d’une seconde bonne grimpette qui justifie la couleur mais après, ça devient beaucoup plus facile !
On peut constater que la végétation évolue au cours de la montée. Cela révèle en fait que le sous-sol est constitué de différents types : sous-sol houiller, faille de Streupas, famennien supérieur, tournaisien…
Sur les hauteurs, l’itinéraire vient lécher le Sart Tilman au niveau des terrains de foot puis on se ré-enfonce dans le bois, un peu plus loin à nouveau dans la réserve naturelle du Sart Tilman du côté des lignes à haute tension. Elles occupent une zone remaniée d’un point de vue de la biodiversité par un projet LIFE Elia associant les couloirs des lignes électriques à la gestion de la nature.
Notre itinéraire redescend ensuite vers Angleur en serpentant par des sentiers très arborés. Vous y découvrirez quelques aménagements qui ont été réalisés par l’école communale d’Angleur-Centre, tels que des nichoirs et des petits panneaux didactiques.
CC BY-SA 4.0 Blaue Max Sur le sentier des panoramas sur Comblain et sur la confluence Ourthe-Amblève
Au nord comme à l’est de Comblain-au-Pont, on peut admirer de superbes panoramas sur cette ville qui tire d’ailleurs son nom du mot "confluence", où effectivement l’Amblève se jette dans l’Ourthe.
C’est le versant oriental qui fait l’objet de cette balade pas trop longue (5 km) mais il faudra donc prendre un peu de hauteur -et c’est là la petite difficulté du trajet- pour profiter de la superbe vue qui s’offre au sommet du massif rocheux du Thier Pirard.
Au-dessus, on découvre le village d’Oneux, avant de redescendre par un sentier en zigzags le long de ces fameuses tartines surplombant l’Ourthe en rive droite.
" Je veux une pareille de Nutella ! "
En contrebas, on atteint la route principale qui mène à Aywaille avant de reprendre le Ravel pour rejoindre le point de départ, en traversant à nouveau le fameux pont de Comblain.
CC BY-SA 3.0 Jean Housen Plein les yeux de l’Amblève au Wayai, en passant par le Ninglinspo !
La jonction entre ces deux vallées promet de magnifiques surprises !
A commencer par le bel aménagement entre Aywaille et Remouchamps, le long de l’Amblève via le Parc d’Aywaille.
Puis après le viaduc de Remouchamps arrive la belle campagne qui court-circuite le long méandre de l’Amblève du Val du Promontoire avec le Tilleul du pendu.
Ensuite, ô merveille : le Ninglinspo, que l’on remonte par le chemin principal jusqu’à la superbe charmille du Haut Marais.
Suit alors la campagne entre Vertbuisson et Winamplanche où l’on traverse la Réserve naturelle de Banoyard et le Thier d’Aihé -avec de beaux panoramas- avant de descendre vers l’Eau Rouge. Pas celle de Francorchamps mais bien celle de Winamplanche.
Le Chemin de la Vecqueterre nous ramène enfin à Spa et plus loin au Parc des 7 heures via le Chemin des Français, par derrière la ville pour éviter la grande Avenue reine Astrid.
CC BY-SA 4.0 Jean Housen Balade dans l’étonnant domaine de l’Université de Liège
Tous ces bâtiments universitaires éparpillés dans le bois donnent une impression assez particulière. Ils sont de surcroît égayés de toute une série d’œuvres d’art, souvent contemporaines, qui viennent encore ajouter au caractère assez singulier de cet endroit.
" C’est plein de statues très spéciales et avec de drôles de noms ! "
Plus classique, le Château de Colonster, en bord d’Ourthe, appartenant lui aussi à l’université, est une belle cerise sur le gâteau.
Nous vous invitons par cette balade à découvrir tous ces aspects en gravitant autour du Ruisseau du Blanc Gravier, un affluent de l’Ourthe, depuis l’Institut de Botanique.
CC BY-SA 4.0 Densrg Seraing côté jardin
Cette balade va vous faire découvrir une facette de Seraing que vous n’auriez jamais imaginée, à mille lieues des industries sidérurgiques déployées le long de la Meuse et pourtant à peine à 4 kilomètres.
" Tu as tout ce qu’il faut pour le barbec ? "
Sur les hauteurs méridionales de la ville existe un toponyme qui porte bien son nom : l’Air Pur. Et derrière… un vaste bois à dominante de feuillus avec toute une série d’aménagements qui invitent à la détente : le Bois de la Vecquée, quadrillé de drèves arborées, de bancs, d’un barbecue et d’un très bel arboretum.
CC0 Romaine Presque comme en montagne à deux pas de Liège
Qui l’eut cru que si près de Liège, on pourrait se promener sur des sentiers en promontoire au-dessus d’une falaise rocheuse puis redescendre dans la vallée, le tout avec de spectaculaires panoramas ?
Eh bien près d’Esneux, tout cela est possible autour de la très pittoresque vallée de l’Ourthe, qui forme ici des méandres serrés, offrant un enchevêtrement complexe de paysages tant boisés que découverts.
Cette balade débute à mi-hauteur sur la colline, grimpe sur le promontoire pour admirer le paysage de dessus la Roche aux Faucons.
Puis elle redescend dans la vallée par ses versants boisés, suit le méandre de Ham avant de remonter au hameau d’Avister pour boucler la boucle.
CC BY-SA 4.0 Jeran Renz Prise de hauteur au-dessus de l’Ourthe
Cette promenade vous invite à admirer le paysage offert par l’Ourthe liégeoise qui forme quelques beaux méandres avant de se jeter dans la Vesdre au sud-est de Liège.
Et ce n’est pas pour rien que deux beaux points de vue y ont été aménagés : le Petit Boubou et le Grand Boubou !
Au passage, un hommage au peintre Auguste Donnay qui a habité Méry au début du 20è siècle.
CC BY-SA 4.0 Jean Housen Promenade bien fournie autour de l’Ourthe et du Ruisseau de la Chawrèsse
Cette balade n’est pas bien longue, à peine un peu plus de 3 km pour découvrir les alentours de l’Abbaye mais elle comporte quelques points d’intérêts variés : outre l’abbaye, on y découvre la chapelle Sainte-Anne.
En s’éloignant un peu de l’itinéraire, on peut voir aussi la grotte qui lui est consacrée dans la paroi rocheuse du versant de la rive droite de l’Ourthe, lieu d’escalade pour les sportifs.
Puis c’est un peu de Ravel pour longer l’Ourthe à l’écart de la grand route.
Ensuite, on remonte par le ruisseau de Chawrèsse, assez rocheux, au point de créer plusieurs ouvertures telles que le Trou des Manants, la Grotte Veronika et la Grotte aux Cristaux.
Une dernière pause pique-nique avant de revenir sur le chemin de l’abbaye.
CC BY-SA 4.0 Pierre-Jacques DESPA Aywaille vu d’en haut
Cette balade vous propose une promenade sur les hauteurs occidentales d’Aywaille.
Pour observer la ville d’en haut, depuis un beau panorama, rien de tel que se rendre à la Croix de Septroux, qui domine avantageusement la vallée de l’Amblève.
Cette balade débute dans le hameau de Chambralles, se dirige vers le hameau de Septroux.
Elle atteint ensuite la fameuse croix puis revient à Chambralles par la Route de Hoyemont, qu’elle effleure légèrement.
CC BY-SA 4.0 Horst J. Meuter A la découverte de la boucle de Rosière et du village de Ham
Le long de la ligne 43 qui relie Liège à Marloie, les gares sont parfois assez rapprochées. En effet se suivent après Liège et Angleur : Tilff, Méry, Hony, Esneux et Poulseur. Ceci permet des balades faciles et tranquilles le long de l’Ourthe.
Celle-ci part vers la boucle que court-circuite le tunnel ferroviaire d’Esneux, au sommet de laquelle on trouve le village de Ham : la boucle de la Rosière.
Un village calme et pittoresque qui constitue le cœur de cette balade.
Au cours du trajet, on y trouve l’écluse de Fêchereux qui date d’une époque où l’Ourthe était navigable.
CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne Boucle de derrière les fagots !
Ces deux affluents de l’Amblève sont décidément des beautés naturelles remarquables ! Nous vous proposons de faire d’une pierre deux coups et de découvrir les deux vallées au sein d’un même itinéraire.
Le tracé est tout de même plutôt sportif que familial car il y a l’une ou l’autre grimpette clapante, notamment à Quarreux où il faut remonter sur les hauteurs.
Le programme est donc le suivant : remonter le Ninglinspo jusqu’à Vertbuisson, suivre la crête jusqu’à Ville-au-Bois, redescendre la Chefna jusqu’à Quarreux puis enfin rejoindre Sedoz par les hauteurs.
CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne Une des plus belles vallées de Belgique !
Le Ninglinspo, petit affluent de l’Amblève est vraiment une très belle surprise. Rien qu’à regarder la carte, on comprend tout de suite que ce parcours est jalonné d’une foule de petites curiosités qui rendent cette promenade si pittoresque. Mais c’est évidemment la nature de ce vallon grandiose qui pose le décor : rochers, cascades, ponceaux pédestres. Rien ne manque à l’appel pour égayer cette contrée. Sans oublier toutes ces cuves creusées par la rivière qui sont comme des baignoires naturelles et qui ne manquent pas d’attirer les amateurs de jeux d’eaux en été ! C’est le tour de ces "bains", aux noms plus romantiques les uns que les autres, que vous propose de découvrir cette balade !